En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Partie quelques petits jours avant les vacances de printemps, pour changer d'horizon, retrouver l'évasion pour les yeux, les oreilles, respirer un air plus léger.
Comme chaque année revoir Trouville, le charme de ses jolies maisons, le décor immense de sa plage et son quai, cette artère si particulière le long de la rivière La Touques où les oiseaux se réfugient.
De Jonathan Glazer avec Christian Friedel, Sandra Hüller, Johan Karthaus
Adaptation du roman de Martin Ami (*)
Le quotidien serein d’une famille nazie, voisine du camp d’Auschwitz.
Le générique annonce l’horreur : un titre en lettres blanches sur fond noir ; LA ZONE D’INTÉRÊT se dilue petit à petit pour laisser place à un écran noir durant quelques minutes. Brusquement, une musique macabre comme venue du fonds des ténèbres ; puis viennent des chants d’oiseaux sur un cadre idyllique présentant une famille typiquement aryenne pic-niquant tranquillement en bord de rivière.
En milieu de film l’écran devient entièrement rouge quelques minutes encore, comme pour laisser le temps de prise de conscience au spectateur.
Thème : Écrire un texte en losange - 1er ligne 1 syllabe. → 7 syllabes et revenir à 1 syllabe
Ah Voilà Un joli Petit minou Perdu dans la rue De peur je courre me cacher J’aperçois dans ses pattes Une petite souris Sans plus de vie Puis, il courre À tout Va.
De Julien Carpentier avec Agnès Jaoui, William Lebdghil, Salif Cissé
Pierre, 33 ans, fleuriste, voit sa vie basculer lorsque sa mère, Judith, fantasque et excessive, débarque dans sa vie après deux ans sans se voir. Pierre veut reprendre le cours normal de sa vie, mais rien ne se passe comme prévu. Leurs retrouvailles vont transformer Pierre et Judith à jamais.
Des instants de vie entre station-service, bistrot, hôtel, karaoké et dune du Pilat qui ouvrent sur une nouvelle relation remplie d’amour entre la mère et son fils.
L’écriture des dialogues, la qualité d’interprétation d’Agnès Jaoui et William Lebdghil génèrent beaucoup, beaucoup, beaucoup d’émotions sur une relation mère-fils ô combien difficile puisque la mère, bipoloraire, est internée…
Ce film entre rires et larmes, premier long métrage de Julien Carpentier, metteur en scène très prometteur, mérite d’être vu.
Née "Rosine Bernard" automne 1844 (septembre ou octobre, la date est imprécise car les papiers officiels ont brûlés en 1871 sous la Commune)
Sa mère Julie Bernard hollandaise demie-mondaine, réfugiée à Paris avec sa fille. Sarah petite fille est envoyée en nourrice à Quimperlé, puis au couvent de Granchamps" à Versailles. À ses 11 ans, naissance de sa sœur Régina. Elle envisagea d'être religieuse.