Ouille ! Oh ! Youyouille !
J'ai compris pourquoi les Français de nos jours n'acceptent pas facilement le changement, et Dieu sait si nos dirigeants essaient de lancer des réformes qui se voient bousculées par des grèves, des manifestations à tout bout de champ.
C'est le propre de chez nous, une tradition, l'héritage de nos ancêtres qui ont goûté durant la période 1934-1940 à l'union des différents partis de gauche ou de droite, voulant faire avancer le progrès, ce qui suscita de nombreux et importants rassemblements, de multiples manifestations de part et d'autre pour élaborer ou contrer les réformes populaires de l'époque, provoquant ainsi des démissions gouvernementales successives.
Des noms célèbres ont résonné à nos oreilles : la valse des présidents et ministres souvent nommés pour de très courte durée.
C'est avec attention que nous avons suivi ces évènements, aussi avec évocation de souvenirs pour les plus anciens d'entre-nous et retrouver des chansons de notre jeunesse pour lesquelles il n'a pas été nécessaire de vous supplier pour chanter en chœur des refrains connus.
C'était un sujet compliqué, très politique, dans une période en mouvement précédant le conflit mondial, mais comme toujours, bien expliqué.
Vous étiez là, vous avez eu réponses à vos questions, heureusement, car trop difficile à résumer, même si ce sont les racines de notre société actuelle.
Mais devant le déroulement des faits historiques, bien que pour la première fois, trois femmes occupèrent la place des sous-secrétaires d'Etat, une simple secrétaire d'Assoc... n'est pas en possession d'un bon siège pour être à la hauteur et fournir un compte-rendu détaillé. Aussi, comme disent les jeunes d'aujourd'hui : "Bof ! T'avais qu'à être là... Moi j'étais pas née !..."
Sans rancune, merci pour votre fidèle présence qui encourage notre historien de service, à poursuivre sa tâche, sans aucun projet contestataire ! Qu'on se le dise !
Ninette