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  • Teotihuacan

    La cité de Téotihuacan nous fut rendue familière grâce à une guide,  bien au fait des coutumes mexicaines et des recherches archéologiques, qui nous permit ainsi en les replaçant dans l'actualité de mieux apprécier la vie dans cette cité, dont la population a disparu depuis de nombreux siècles et où il reste encore beaucoup à découvrir.

    Dommage que l'horaire et les crampes d'estomac à redouter, empêchèrent la majorité de profiter des collections permanentes du Musée. Les quelques courageuses qui persévérèrent purent ainsi vérifier combien les Aztèques furent les fils spirituels des habitants de Téotihuacan.

    En plus des innombrables et superbes réalisations des indigènes des quatre continents (Europe exceptée) avant leur colonisation, les dernières survivantes ont ensuite admiré l'exposition "Artistes d'Abomey", présentée jusqu'au 31 janvier 2O10, qui nous confirma qu'il y a encore bien des merveilles à découvrir en Afrique, ce continent dont l'Histoire nous est si méconnue.

    Jean-Paul

  • Géricault et Delacroix

    meduse.jpgEn 1817 le peintre Géricault demanda à Eugène Delacroix de poser pour un des naufragés du "Radeau de la Méduse" : c'est lui l'homme replié sur lui-même au centre, le bras gauche étendu dont on voit surtout l'admirable nuque et le haut du dos. (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

    Jean-Paul

  • Expo "Sculptures de glace"

    Sculptures de glace sur les Champs Elysées jusqu'au 28/12.

    < A voir, c'est splendide vraiment, mais il faut bien se couvrir, prévoir l'appareil photo.

    Nous n'avons payé que 10 € alors que le prix affiché est de 14 € pour les adultes. Cela coûte moins cher quand même qu'un aller/retour à Bruges qui est la capitale européenne des sculptures sur glace !!

    Florence V.

  • Renoir au Grand Palais

    IMG_1825.jpg

    Cliquez sur l'image

    Qu'est-ce qui nous fait vibrer devant les tableaux de Renoir ?

    Sans doute l'éclat de la peau, les visages paisibles, la légèreté du geste, la jeunesse toujours représentée, l'amour de la vie, une certaine paix, tout un charme troublant enveloppé de douceur.

    Ceux qui nous accueillent "La danse à la ville", "La danse à la campagne", très connus, cependant, que d'émotion chaque fois ressentie devant la beauté de ces deux couples enlacés.

    Plus je fixe ces danseurs, plus je les vois se mouvoir. Tout juste si je ne perçois pas le "froufrou" de la superbe robe blanche !

    Dans le travail du Maître, que de grâce entre les femmes si différentes; celle à "La toilette se peignant", "La ravaudeuse" sur son ouvrage, "La jeune baigneuse aux cheveux longs" qui se cache derrière un drapé,  "Les laveuses" de Cagnes légères dans leur labeur et tant d'autres magnifiques, traitées avec finesse du tracé, délicatesse dans la couleur, et ces fonds floutés ajoutent une note veloutée.

    Ses enfants attirent nos regards, particulièrement "Jean dessinant" superbement vivant. Va-t-il lever la tête pour nous sourire ?

    • "Gabrielle et Jean"celui-ci joue sur les genoux de sa nourrice, là se dégage la chaleur maternelle dans le geste protecteur.
    • "Jean en tenue de chasse" d'un joli bleu, quelle réalité dans sa posture : il semble dire "- Bon, je suis beau ?"
    • Claude dit Coco en costume de clown flamboyant, aux joues rougies, ne paraît pas ravi d'être là. Ah ! Oui ! l'anecdote dit, qu'il ne voulait pas revêtir ce déguisement, car les bas lui grattaient les jambes !

    Renoir poète de la couleur, du mouvement des corps, de la mise en scène du quotidien, évocateur de la musique, comme ces "Jeunes filles au piano" rivalisent avec " La jeune femme à la guitare".

    Son auto-portrait, celui d'un homme âgé, souffrant, au regard vif et doux à la fois paraît nous demander; "- Alors ma peinture vous a-t-elle rendus heureux ?"

    C'était son but : donner du bonheur, de l'apaisement, de la quiétude aux regards qui caresseraient ses toiles.

    Ce brave homme voulait répandre le bien-être, toucher les cœurs par le reflet de son travail exprimant la joie de vivre.

    Pas de tourments ressentis dans ses tableaux, malgré la souffrance qu'il éprouvait due à la polyarthrite handicapante, un comble, aux mains... alors que crayons et pinceaux voltigeaient entre ses doigts.

    Cet artiste actif jusqu'au bout, très entouré, assisté dans son travail pour donner à la fin de sa vie, cette série de "Baigneuses" aux formes avantageuses.

    Depuis la dernière exposition de 1985, je gardais tant de souvenirs émerveillés, qu'ayant découvert quelques œuvres nouvelles prêtées, je reste toujours aussi émue devant mes préférées. Cette belle exposition enchanteresse, rend l'âme légère.

    Monsieur Renoir, merci, mille fois merci, vous avez gagné, votre pari !

    Ninette

  • À vous de jouer ? (70)

    Dans quel jardin parisien a été placée la stature de Mendès France ?

    • le parc Montsouris
    • le Luxembourg
    • les Tuileries

    Quelle institution peut de ses fenêtres admirer depuis 1988 les colonnes de Buren ?

    • le Conseil d'Etat
    • le Ministère de la Culture
    • le Conseil Constitutionnel

    Quelle est la hauteur de la pyramide de verre du grand Louvre ?

    • 15m
    • 20m
    • 23m

    Réponse jeudi prochain

    À vous de jouer n°69

    En quelle année fut érigée la stature de la Liberté à New York ?

    • en 1886

    Quelle est la longueur de l'enceinte des Fermiers Généraux à Paris ?

    • 24km

    En quelle année Benjamin Franklin inventa-t-il le premier paratonnerre ?

    • en 1856
  • Napoléon et le comte de Narbonne

    Louis_Marie_de_Narbonne-Lara.jpgLe comte de Narbonne, fils naturel de Louis XV et éphémère ministre de la Guerre de Louis XVI, décembre 1791 - mars 1792  fut nommé aide de camp particulier de Napoléon et devint confident durant la Campagne de Russie.

    Ceux qui se souvenaient de Bonaparte mitrailleur des royalistes le 13 vendémiaire an IV (5 coctobre 1795) devaient être surpris. On est loin du "Général Vendémiaire".

    Jean-Paul

  • Expo "la Révolution à la poursuite du crime"

    Révolution_poursuite_crime.jpgLe Musée de l'Histoire de France dans le Marais, propose jusqu'au 15 février 2010 l'exposition "La Révolution à la poursuite du crime".

    De nombreux documents nous sont présentés : une maquette de la Bastille, un cahier de doléances, les répliques des diamants de la Couronne volés le 11 septembre 1792, le procès-verbal de l'exécution du premier guillotiné, le 25 avril 1792 et la condamnation de la première guillotinée le 23 octobre 1792, et bien d'autres.

    Ne pas oublier que nous sommes dans l'Hôtel de Soubise, donc, il ne nous reste plus, qu'à admirer les appartements de la Princesse dont le salon ovale que Louis II de Bavière tint à copier pour son château de Herrenchiemsee.

    Jean-Paul

  • 2 - Les petits bonheurs "ornithologiques parisiens"

    La fin de l'été a ramené les geais

    L'automne est revenu et les geais avec lui. Mais dans quel état ! Noah et Zette (mais était-ce bien eux ?) maigres, hirsutes, dépenaillés, leurs couleurs pâlichonnes...

    Ils sont revenus du bois affamés. Fort heureusement, les chênes ont produit cette année beaucoup de glands et de fort bonne qualité. Nous en avons ramassé des kilos dans le bois de Vincennes, au parc floral, en Touraine. Nos petits amis se sont immédiatement mis à s'empiffrer et aussi à constituer des provisions pour l'hiver. Nous avons noté leurs incessants va-et-vient entre la fenêtre du salon où nous disposons l'écuelle à glands et les environs où ils constituent leurs caches (au pied des rosiers sous les mottes de terre, dans le creux des sapins etc... )

    Au bout de quelques semaines, ils sont revenus à leur état normal : couleurs magnifiques et embonpoint majestueux.

    Nous devons surveiller régulièrement les plateaux sur lesquels nous avons disposé les glands car certains ont été, sur l'arbre, infestés des mouches et donc produisent des asticots qu'il faut évacuer régulièrement. Nous pensons pouvoir tenir jusqu'à la fin du printemps.

    Donc, les noisettes ne constituent plus qu'un dessert.

    Nous avons assisté à plusieurs combats de geais, pies et corneilles, se disputant le terrain, dans un concert de cris dont le côté mélodieux nous a complètement échappé.

    La vigne vierge est magnifique dans ses couleurs rouges et couverte de petits grappillons noirs qui font les délices des étourneaux qui vont bientôt s'abattre en nuée de plusieurs dizaines d'oiseaux qui vendangent à la barbe des merles, aussi friands qu'eux de ces fruits.

    Les mésanges charbonnières sont également revenues du bois, en couple, et viennent régulièrement picorer les débris qui restent sur la fenêtre. Le rouge gorge, revenu lui aussi, est plus timide ainsi qu'une mésange bleue qui a immédiatement découvert les Restos du Cœur.

    grimpereaudesjardins.jpgNouvel arrivant : un grimpereau des jardins, petit oiseau au long bec courbe lui permettant de fouiller les écorces du sapin  : bienvenue !

    (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

    Mais nous ne sommes pas les seuls amoureux des oiseaux de notre résidence. Notre ami Robert, nous écrit ceci : «du haut de mon balcon (8°) je ne vois pas, comme Georges Brassens l'a chanté, passer les cons ...

    Mais par contre je vois passer ou se poser, tous ces oiseaux qui me ravissent, m'émerveillent et me font rêver ....

    Goéland argenté et goéland marin
    Corneilles, choucas des tours, pies, merles, canards, geais, mésanges,
    Rouge gorge, moineaux, pigeons ramiers et pigeons bisets, sansonnets
    Et ...........un faucon crécerelle ...

    A suivre, après l'hiver ...

    Jacques et Nicole

  • Expo "Isadora Duncan"

    Isadora duncan2.jpgL'exposition "Isadora Duncan, une sculpture vivante" jusqu'au 15 mars 2010 au musée Bourdelle, vous permet de mieux connaître cette femme libre, au destin si tragique (elle mourut le 14 septembre 1927 étranglée par sa longue écharpe prise dans la roue de sa voiture).

    Elle révolutionna son art, la danse, tout en puisant dans les siècles passés notamment dans la mythologie grecque.

    Cette très riche exposition visionnée (statues, dessins, photos, costumes, séquences filmées...) vous pouvez ensuite sortir dans le jardin admirer les statues, certaines imposantes, réalisées par Emile Bourdelle (le général Alvéar, le décor du théâtre des Champs Elysées, Héracles archer entre autres...) et pénétrer dans l'atelier de ce grand sculpteur, que l'on surnomma Antoine, sa femme grecque se prénommant Cléopâtre.

    Jean-Paul