On aime ou on n’aime pas Nicolas Sarkozy. Ce récit sur ses années à la Présidence de la République écrit durant le confinement se lit avec intérêt.
Le lecteur se trouve plongé de toute façon dans la Grande Politique. L’auteur ne cache pas ses sentiments (atomes crochus ou inimitiés)
Un livre à lire pour ceux qui aiment l’Histoire récente.
Jean-Paul
ARVEM ASSOCIATION - Page 80
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Lire "Le temps des tempêtes"
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Réponse "à vous de jouer n°723"
Qui se cache derrière le nom "Chomo lungma ou déesse-mère" ?
- Le mont Everest
En 1865, il fût baptisé "Everest" par les Britanniques en l’honneur de Sir Georges Everest, géographe et arpenteur général des Indes orientales, dont les méthodes de calcul ont permis d’établir sa hauteur.
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Lire "Les records de l'Histoire"
En cette année olympique (les Jeux auront-ils lieu ? (Quand et dans quelles conditions est une autre histoire) Stéphane Bern a eu l’excellente idée de s’intéresser aux records de l’Histoire.
Cela permet en réponse aux diverses questions, au lecteur d’arpenter la grande et le petite Histoire, la géographie, la littérature, la gastronomie, l’architecture, l’art lyrique et j’en passe.
Cent sujets sont proposés d’où parfois la brièveté des développements donne l’incitation au lecteur d’approfondir ses connaissances ce qui ne peut qu’être profitable.
C’est un ouvrage qui sans qu’il y paraisse est d’une grande richesse et se déguste avec intérêt, voire avidité.
Jean-Paul -
L'été sera chaud
Slogan entendu, répété
En effet on peut le constater
À plusieurs niveaux
Un rappel s’il le faut,
C’est plutôt mauvais.
Comme les feux de forêts
À perdre la raison
Misère pour les habitants
Qui ont perdu leurs maisons.
Mais c’est pire au Liban,
Catastrophe que cette explosion
Qui génère la révolution
D’un peuple désespéré
Face à sa ville dévastée.
Que d’angoisses suscitées
Devant la difficulté
De pouvoir survivre
Se soigner, s’alimenter
Trouver les vivres,
Dégager, réparer, démolir
Et tout reconstruire
C’est le pire évènement de l’été.
L’entraide immédiate soulevée
Face au désastre et son importance
Faudra donner en suffisance,
Sans doute pour longtemps
Moyens humains, matériels sûrement
Cagnottes, concerts sont organisés.
Grande solidarité retrouvée
Redonner de l’espoir
Et comme si ce n’était pas assez
Voilà une marée noire,
Destruction d’un site d’exception
Lutte intensive pour la restitution
D’un paysage paradisiaque
Alors que les images sont démoniaques.
Ne dit-on pas, jamais deux sans trois ?
Covid, incendies, explosion, marée, déjà
Sans oublier la fonte de glaciers
Hélas, que de dégâts !
Stop ! Les limites sont dépassées.
Pour ce début de siècle
Qu’il est vicieux le cercle !
Maintenant la canicule
Je dis ; point virgule,
Pour terminer cette liste
Peut-on être encore optimiste ?
La sagesse, bonne conseillère
Nous souffle, c’est de bonne guerre
Essayez de garder le moral !
Point final.Ninette
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À vous de jouer ? (n°723"
Qui se cache derrière le nom de :
- "Chomo lungma ou déesse-mère" ?
Réponse lundi prochain
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Lire "Penelope" par Sylvie Bommel"
J’ai déjà signalé à votre sagacité en 2017 ce livre : "Penelope par Sylvie Bommel".
Après avoir lu “La vérité sur le mystère Fillon” j’ai voulu le relire. Bien m’en a pris, je m’accuse aujourd’hui de ne pas avoir été assez dlthyrambique en 2017. Le livre est absolument enthousiasmant, le style est enjoué et spirituel ne pouvant avoir été écrit que par une femme (ne me demandez pas pourquoi).
Une fois terminé le “Décaméron” (confinement oblige) je compte me replonger dans, retenez bien ce nom “Penelope” (sans accents) de Sylvie Bommel et m’en fais déjà une joie !Jean-Paul
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Atelier écriture "Souvenez-vous..."
Thème : Souvenez-vous de celui ou celle qui ..."
Souvenez-vous de celui ou celle qui … vous a fait rire aux larmes, qui a enchanté vos vacances d’étés, qui a été votre premier rival, qui vous a fait rêver avec des histoires incroyables.
Qui a été votre modèle, votre meilleur ami, qui n’avait pas besoin d’être votre confident pour vous connaitre le mieux, qui vous mettez à l’aise en toute circonstance.
Celui qui a partagé ses lectures, ses passions, qui perdait tout le temps aux jeux contre vous, mais qui jouait comme un pro aux jeux vidéo.
Qui était timide mais pas avec vous, qui était torturé sans le montrait.
Celui qui aimé rire et faire rire,
Qui était tendre à sa manière,
Qui était tout pour vous…
Le meilleur, le discret, l’allumé, le farceur, le rêveur, l’égaré.
Souvenez-vous de celui ou celle qui fut le premier à vous briser le cœur,
Qui a été le premier à vous faire tant pleurer,
Qui vous a fait comprendre que la perte est la pire des souffrances.
Souvenez-vous de lui pour tout ce qu’il vous a apporté et ce qu’il apporte encore aujourd’hui car à jamais il restera en vous et vous rappellera qui vous étiez.
Ludmilla
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Réponse "À vous de jouer n°722"
Un cheval peut boire de litres d’eau par jour, en fonction du climat, de son activité physique, du type d’aliment et de la quantité d’humidité qu’il contient.
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Lire "Le Décaméron" par Boccace
Ce livre est si conséquent (100 histoires échelonnées sur 10 “journées”) qu’avant de clore ma lecture, je vous situe le décor. Dix jeunes florentins fuient la peste en 1418 ( les bobos fuyant le coronavirus n’ont rien inventé).
De Fiesole où ils se sont réfugiés pour passer le temps, ils se racontent chaque "journée" "10 nouvelles" sur un thème différent. Cela se révèle 6 siècles plus tard sous la plume de Boccace un remède efficace dans la, période de semi-confinement.
Je poursuis ma lecture plus loin (dans 3 jours). Je vous donnerai mes impressions sur l’ouvrage dans son entier. À bientôt .
Jean-Paul -
Le goëland gourmand
Déambulant sur les planches
Le long de cette plage blanche,
Mes yeux sont soudain attirés
Par des vêtements , serviette abandonnés.
Un goéland s’en approchait
Doucement les contournait
Intrigué regardait ce tas,
Alors je pense tout bas,
Il va bien monter
Dessus, curieux, fouiller.
Je m’arrête pour l’observer.
Il continue de tourner,
Me jette vite un regard
Et quelques minutes plus tard
De son bec, attrape là ,
Un petit pain au chocolat!
Je cherche l’éventuel propriétaire
De tout ce vestiaire
Même au loin, personne,
Alors que l’oiseau s’actionne.
C’est qu’il se régale
L’heureux animal!
Il a eu de la chance
Il aura fait bombance.
Son culot a payé
Et j’en reste éberluée !
J’aurai voulu être présente
Pour voir la tête de l’humain,
Étonné devant l’absence
De sa gourmandise du matin !
Que va-t-il penser ?
Qui a pu le voler ?
Si l’oiseau n’a pas laissé de traces
Qui a eu cette audace ?
La plage est déserte
Qui a pu se permettre?
La réponse, il ne l’aura jamais
Il n’y a que moi, qui sais !
Ninette