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ARVEM ASSOCIATION - Page 429

  • Vivre chez les Incas

    Les Incas pratiquaient l'amour libre avant le mariage. Un mari pouvait quereller sa femme, lui reprochant de n'avoir pas eu assez d'amants avant leur union.

    Lors de la naissance d'un garçon, le ménage reçoit un lopin de terre, si c'est une fille, un demi lopin suffira.

    Chez les Incas la retraite était programmée à 50 ans. À la communauté de subvenir aux besoins du retraité, ainsi que secourir les "blessés de la vie" (handicapés, veuves, infirmes...)

    Jean-Paul

  • Les Incas, voyage au Pérou

    En cet après-midi automnal
    Par ce thème peu banal,
    Nous fîmes un retour dans le passé,
    Sur des caravelles embarqués
    Pour faire la découverte
    D'un continent, puis sa conquête
    Avec Pizarre le conquistador,
    Surtout intéressé par les richesses en or.

    A la suite de cette époque contée
    Faite de doutes, de massacres, de difficultés,
    Pour cette vie d'aventure rencontrés
    Par trois fois recommencée,
    Notre habituel orateur "privé",
    Comme un sportif passa la flamme,
    À deux de nos dames.

    Afin de nous présenter
    De ce monde éloigné,
    Le quotidien, encore d'actualité,
    Des gens la pauvreté,
    Dans leurs villages perchés,
    Les conditions de vie, la culture
    L'éducation, la nourriture.

    Mais pour parfaire cette évasion,
    Voilà que l'on nous propose l'avion !
    Suivons la guide, grâce au diaporama
    Qui nous transporte là-bas,
    Pour y admirer les panoramas.
    La Cordillère des Andes, peu accueillante
    L'altitude suffocante,
    Nous voilà embarqués
    Pour le Pérou, non à conquérir
    Mais à découvrir. 

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    Album photos

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  • À vous de jouer ? (14)

    André Malraux

    Laquelle de ces femmes a-t-il épousée ?

    • Clara Goldschmidt
    • Josette Clotis
    • Louise de Vilmorin

    Dans lequel de ses livres ne parle-t-il pas de la Chine ?

    • Les conquérants
    • La condition humaine
    • L'espoir

    Dans quel cimetière Malraux n'a-t-il jamais été enterré ?

    • Au Père Lachaise
    • Au cimetière de Verrières-le-Buisson
    • Au Panthéon

    Réponse jeudi prochain

     

    À vous de jouer n° 13

    En 1907 à Béziers quel régiment fit "crosse en l'air"

    • le 17ème de ligne

    Du 7 septembre 1870 au 22 mars 1871 Georges Clemenceau fut maire

    • du 18ème arrondissement de Paris

    Le 24 novembre 1929 il mourut 8 rue Franklin à Paris dans le

    • 16ème arrondissement
  • Van Dyck

    6293.vandyck.jpgCe dimanche matin, nous avions rendez-vous avec Van Dyck. Le musée Jacquemart-André propose en effet une exposition du travail de portraitiste de ce peintre, génial élève de Rubens, avec trente-six toiles et douze dessins.

    Notre conférencière, Karine, nous conduit dans ces salles à l’atmosphère intime où nous avons l’impression d’être admis au sein de la haute société : des membres de la royauté, des nobles, des gentilshommes, des portraits de familles bourgeoises, voire un autoportrait. Tous se caractérisent par une distinction naturelle, élégante mais aussi un sentiment de puissance, de désinvolture parfois une certaine froideur, de l’ironie.

    Et quelle finesse dans la représentation des mains de ces personnages. Karine nous explique qu’au XVIIème siècle, la beauté et la finesse des mains étaient signe d’aristocratie. Plus les mains étaient belles plus les personnages relevaient de l’aristocratie. Van Dyck avait donc à cœur de faire en sorte que ses portraits soient dotés des plus belles mains. Si les modèles qu’il devait représenter avaient des mains trop grossières, il n’hésitait pas à en copier d'autres que celles appartenant à son modèle.

    En plus de nous détailler ces tableaux, Karine nous explique également l’histoire des personnages représentés, dans le contexte de l’époque.

    Egalement des explications devant les dessins de Van Dyck. Il a représenté les artistes de son époque. Il leur a donné la même distinction que celle de ses personnages de l’aristocratie. Il a en quelque sorte « ennoblit » ses pairs.

    Une belle et riche visite de cette exposition (audioguide).

    À quand la prochaine, avec Karine ?

    Colette

  • Exposition "Paris au temps des Misérables"

    Paris Misérables V.H..jpgPour les amoureux de Paris et de Victor Hugo, une bonne adresse : le musée Carnavalet qui consacre une exposition au Paris des Misérables et nous offre une plongée fantastique dans cette oeuvre majeure, dont le personnage principal est sans conteste, la ville, ses rues, ses habitants, ses demeures et ses métiers.

    En prime, vous pourrez bien entendu visiter gratuitement les superbes salles du musée Carnavalet et notamment, ses si riches collections qui nous parlent de la vie de Paris, des premiers siècles jusqu'au 20eme.

    Jusqu'au 1er février 2009 au musée Carnavalet (sauf lundi et fériés 5 euros tarif réduit pour les + de 60 ans).

    On peut coupler son billet avec l'entrée dans la Maison de Victor Hugo, pour l'exposition " Les Misérables" un roman inconnu ? (entre histoire et fiction) dont je vous parlerai plus tard.

    Jean-Paul

  • André Malraux et les chats

    André Malraux aimait les chats. Il en avait 2 et d'après un témoin, sentant la mort, l'un deux fit irruption dans la pièce, le poil hérissé, au bas du lit marqua un temps d'arrêt, puis sauta sur son maître, fit ses griffes sur son gilet, mordilla ses boutons et lui lécha les mains.  Une belle statue noire de chat l'accompagna lors de la cérémonie funèbre dans la cour du Louvre.

    En sa mémoire la statue de la déesse chatte égyptienne "Bastet" se trouve maintenant au choeur du Panthéon sa dernière demeure.

  • André Malraux

    "Le sujet était grave, le personnage surprenant pour beaucoup d'entre-nous, un destin hors du commun. Après avoir entendu "notre troubadour" interpréter "nuit et brouillard" évoquant la douloureuse période, ce fut l'audition d'un court extrait de l'hommage dit par Malraux à Jean Moulin, lors du transfert de ses cendres au Panthéon, en 1964.

    Cette voix formidablement lugubre, théâtrale aux accents enflammés, envoûta notre assistance un moment, avec en final, ces roulements de tambours et le "Chant des Partisans". Commandés individuellement par l'émotion, dans un élan spontané, ensemble nous avons fredonné cet hymne avec un tel recueillement que c'en était touchant. Ce fut une grande surprise pour ceux qui avaient préparé cette réunion.

    Merci à tous pour votre attention et votre participation."

    Voici en quelques lignes la vie aventureuse et exceptionnelle d'André Malraux.

    Ce nom dans la mémoire de chacun évoque le souvenir d'un grand homme avec une célèbre voix profonde, et une façon très particulière de s'exprimer.

    En écoutant le récit de sa vie, nous réalisons que le déroulement en fut également très particulier.

    Durant sa jeunesse il est attiré par les livres, rien d'anormal jusque là, mais il est au contact d'intellectuels. Il écrit dans une revue sur le cubisme.

    À la suite de déboires financiers une idée lui vient. Il part en Asie du sud-est pour y récupérer, disons, voler, des sculptures khmères dans un petit temple, lieu sacré, dans le but de les revendre en Europe !

    Il est arrêté et condamné sur place pour 3 ans (en appel 18mois avec sursis ) mais cette aventure lui permet de connaître la culture cambodgienne et surtout le système colonialiste.

    Il se rachète en fondant un journal anti-colonialiste "l'Indochine" devenu plus tard "l'Indochine enchaînée". Revenu en France il obtient le Goncourt (1933) avec son livre " la condition humaine".

    Restant aventurier il part pour le Yémen sur les traces de la reine de Saba, en avion, alors que le vol est très risqué pour l'époque.

    Il s'engage dans les comités anti-fascistes surtout en Espagne durant la guerre civile, et devient chef d'une escadrille d'aviation républicaine. Il écrit " l'Espoir", il tourne un film sur son expérience, "Sierra de Téruel" tiré de ce livre.

    Il hésite à rentrer dans la résistance française, ne le fait qu'en 1944 à la suite de l'arrestation de son demi-frère.

    En 1945 il devient ministre de Charles de Gaulle, et ministre des affaires culturelles de 1958 à I969. Il meurt en 1976.

    Ninette