Josi, adhérente Arvem, expose du samedi 10 au dimanche 18 septembre 2011 de 12h à 19h, salle Olympe de Gouges 15 Rue Merlin, 75011 Paris M° Père Lachaise.
Vernissage le vendredi 9 septembre à partir de 18h30
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Josi, adhérente Arvem, expose du samedi 10 au dimanche 18 septembre 2011 de 12h à 19h, salle Olympe de Gouges 15 Rue Merlin, 75011 Paris M° Père Lachaise.
Vernissage le vendredi 9 septembre à partir de 18h30
La chanson "le roi Dagobert qui mis sa culotte à l'envers" fut écrite pour se moquer de l'étourderie de Louis XVI en évitant la censure.
Jean-Paul
Voulez-vous pouvoir côtoyer un véritable travail d'historien dans la recherche d'une des énigmes les plus célèbres de l'Histoire de France ? Lisez "Le Masque de fer" de Jean Christian Petitfils.
Le véritable puzzle que constitue ce fait divers si souvent commenté se verra compléter au fur et à mesure de votre lecture. La plume de l'auteur se révèle alerte et rend ce récit absolument passionnant.
Il ne vous restera plus ensuite, qu'à vous rendre au large de Cannes, pour visiter le cachot sur l'ile Sainte-Marguerite, où vécut ce prisonnier à la fois célèbre et inconnu. La promenade dans l'île, qu'il ne put effectuer, vous procurera également bien des satisfactions.
Jean-Paul
Jusqu'au 26 septembre le Musée de Cluny présente dans le frigidarium une exposition très fouillée sur "L'Epée" ses divers usages, ses mythes et ses nombreux symboles.
Ainsi près du tableau de Hyacinthe Rigaud "Louis XIV en costume de sacre" nous pouvons visionner "Joyeuse" l'épée de Charlemagne qu'il arborait lors de cette cérémonie du sacre à Reims.
Sont visibles entre autres, l'épée de Boabdil dernier roi Maure de Grenade et celle votive de Jean sans Peur rappelant l'assassinat de Montereau.
Une séquence du film "Les Vikings" est présentée (duel Kirk Douglas - Tony Curtis dans le décor breton de Fort La Latte) ainsi qu'une autre relatant le dernier duel du 21 avril 1967 entre René Ribière et Gaston Deferre.
Exposition intéressante.
Jean-Paul
Le 22 février 1942 en exil au Brésil le grand écrivain autrichien, spécialiste de récits historiques, Stefan Sweig met fin à ses jours en compagnie de sa seconde femme Lotte, la marche du monde et le sort réservé à ses coréligionnaires, il était juif, lui étant insupportables.
"Les derniers jours de Stefan Sweig" de Laurent Seksik est un roman bouleversant reposant sur des faits réels et des évènements ayant marqué une période historique, en de nombreux points, épouvantable.
Jean-Paul
Vous désirez nous rencontrer ou tout simplement nous dire un petit bonjour, nous serons au Forum des Association le samedi 10 septembre de 10h à 18h.
Roger Rudel était la voix française de :
Réponse jeudi prochain
À vous de jouer n°159
Découvrez le point commun de ces trois mots : Face, chasse, corps.
Si en ces derniers jours d'été et de vacances vos pas vous mènent vers le parvis de Notre Dame et que la file d'attente impressionnante des visiteurs de la cathédrale vous rebute, profitez-en pour descendre dans la crypte archéologique. (Accès au site, cliquez sur l'image)
Des panneaux explicatifs, des maquettes évocatrices vous permettront dans une présentation renouvelée, d'avoir une bonne vision de la Lutèce gallo-romaine servant de matrice à notre Paris actuel.
L'audio-guide est très intéressant dans ses explications. Les commentaires de Julien l'Apostat le 1er empereur parisien sur sa "chère Lutèce" sont surprenants et méritent d'être découverts.
La rue de la Lancette dans le 12è rappellerait les sanglants combats qui opposaient catholiques et protestants au 16è siècle. Les uns et les autres étant armés de petites lances : les lancettes.
Jeanet
Un drame psychologique rempli de suspense qui nous plonge dans le vignoble bordelais, la saison des vendanges et de la vinification.
Le point de départ : le questionnement d’un propriétaire viticole sur sa succession à la tête de son domaine. S’en suit un huit clos psychologique très fort, avec de terribles rapports pères/fils et fils/pères, et de douloureux échanges à la limite du supportable pour le spectateur. La tension monte crescendo et on est loin de se douter du dénouement…
Une magnifique prestation tant pour Niels Arestrup dans le rôle du père, que pour Lorant Deutsch dans celui de l’enfant mal aimé.
Très beaux paysages, très belle illustration musicale… bref un film à voir absolument !
Colette C