Le cinq tu sauras,
Quel mois tu auras.
Jeanet
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le cinq tu sauras,
Quel mois tu auras.
Jeanet
En 1922, Édith Piaf :
Réponse lundi prochain
Réponse "À vous de jouer n°273"
Que signifie ce panneau ?
Ci-dessous le panneau signifiant votre obligation d'emprunter la bande ou piste cyclable
Aviez-vous connaissance de ce château ?
Après enquête, apparemment peu de gens connaissent son existence. Cependant qui pourrait croire que cet édifice du XVIIIe siècle fut dépouillé, tellement il a belle allure, à première vue !
Mais revenons aux sources. Le Marquis Marie René de Voyer d'Argenson âgé de 28 ans, fils du ministre de la guerre de Louis XV, se destine à une carrière militaire : excellent cavalier, connaisseur en chevaux, lettré, amateur d'art, il introduit en France des races chevalines anglaises, et organise des haras.
En 1750 jouissant de la faveur du roi il est nommé gouverneur de Vincennes, directeur des haras royaux.
Pressé par la nécessité d'installer un "dépôt de chevaux" non loin de Versailles, il lui faut un vaste terrain, une belle demeure, des écuries...
De 1750 à 1752 il acquiert plusieurs propriétés dont "la seigneurie d'Asnières" et 23 autres ainsi de nombreux hectares sont regroupés. Il fait construire un bâtiment dans le style rocaille (mélange de fleurs, fruits, mythologie) par Jacques Hardouin Mansart de Sagonne (petit fils de Jules Hardouin Mansart).
Sur la belle façade refaite entièrement, on découvre à l'entrée 2 personnages : Apollon et Vénus, des mascarons au-dessus des fenêtres de forme arrondie pour celles du rez-de-chaussée et droite pour l'étage, une toiture en terrasse inhabituelle.
La porte était ouverte, nous entrons, lire la suite
(Plus de photos, cliquez sur l'image)
Jeux de société
Vous cherchez des partenaires, vous désirez vous initier ! Venez nous rejoindre.
Scrabble,Tarot et belote
Lundis 4, 18, 25 novembre de 18h30 à 21h30
Samedi 9 novembre de 10h30 à 12h30
Jeudi 7 novembre à 18h
Expo "Les sœurs de Napoléon au Musée Marmottan
Samedi 9 novembre à 14h15
Discussion de Jean-Paul : Madame Campan
Mercredi 14 novembre à 18h30
Billard américain
Samedi 23 novembre à 18h30
Soirée beaujolais
Samedi 30 novembre
XVIIIème en fête : 15 h Film Barry Lyndon, 19h30 Concert "Duo clariana", 21h Deux pièces de Marivaux "Le legs" et "les acteurs de bonne foi"
Un homme à la mer" de Chigo de Chiara par la compagnie Aurore.
Cette sortie au théâtre organisée par l'Arvem a permis une double découverte.
Celle du Centre Culturel Auguste Dobel, bien équipé, même si la Compagnie Théâtrale Aurore souhaite trouver une salle de spectacles plus adéquate, notamment quant au nombre de places. Et celle d'un auteur italien, polyvalent, qui a consacré sa vie au théâtre : traducteur de textes anciens, essayiste, metteur en scène, scénariste.
Le propos est très actuel, et sans doute a présidé au choix de cette compagnie de la RATP : le licenciement d'un cadre d'entreprise qui le laisse désemparé, tournant en rond chez lui, et s'inventant comme cela s'est produit ; parfois avec des conséquences dramatiques, un nouvel emploi... tout fictif pour rassurer sa femme.
La mise en scène faisant intervenir le vécu chaotique et pluriel du personnage devant sa psychiatre est très efficace. Les obsessions diverses : désir, haine, désespoir prennent corps, commentées placidement par le docteur Kappa (Brigitte Plançon).
Saluons son jeu maitrisé, correspondant au rôle, et faisant éclater par contraste, souvent humoristiquement, l'exubérance du "chômeur" admirablement interprété par Hugo Clément.
Contrairement à certaines citations de critiques, je ne trouve aucune démesure, au sens d'extravagance, à ce personnage, si proche en fait de bien des sacrifiés du système, jusque dans le haut de l'échelle.
Il se bat, et pour s'en tirer, il imagine. Il va même jusqu'à se trouver lui-même une autre formation, étrange, qui le délivrera de son ancienne aliénation ; si pour finir il se laisse reprendre par celle-ci, et renonce à ce projet grandiose et un peu fou, il en construit méthodiquement les prémices.
Hélas, la mort qui faisait partie de l'utopie deviendra celle de la réalité à laquelle il l'a sacrifiée...
Terrible ironie du sort qui colore tragiquement cette comédie et nous fait rétrospectivement mesurer la gravité de situations semblables.
Marie-Claire C
Jusqu'au 26 janvier 2014 le Musée Marmottan Monet expose "Les sœurs de Napoléon". De nombreux tableaux nous les présentent de la plus "intello" Elisa", à la plus glamour Caroline sans oublier la plus belle et la plus fantasque Pauline, dont la statue bien dénudée en Vénus de Canova, bien qu'en réduction m'a ébloui. Un vrai régal.
Personnellement j'adore le plus petit tableau "La rose de Malmaison". Rien que pour le revoir je suis prêt à me rendre de nouveau à l'exposition ou sinon après sa fermeture, direction La Malmaison d'où il provient.
Avantage du Musée : on peut clore sa visite dans les collections permanentes au milieu des "Monet" et des "Berthe Morisot"
Jean-Paul
Depuis peu le 12è arrondissement est doté d'un Centre de Valorisation et d'Apports d’Encombrants (déchèterie).
Il est situé au 53 bd Carnot.
Jeanet
Que signifie ce panneau ?
Réponse lundi prochain
Réponse "À vous de jouer n°272"
Quel est ce proverbe (Cliquez sur l'image pour l'agrandir) :
Dimanche 20 octobre 2013 : Je me faisais une joie d'aller dans un déjeuner-spectacle que je ne connaissais pas et avec les amis d'ARVEM, en plus. Hélas! 3 fois hélas! Quelle déception....
Le repas a mal commencé avec un apéro sans la moindre cacahuète.... Le saumon fumé en entrée était bon, mais le beurre ne suffisait pas à tartiner un seul des 3 "toasts". Le magret acceptable sauf que la sauce pour le riz a été apportée quand les assiettes étaient déjà enlevées (!). Mini bout de Brie avec quelques feuilles de salade sans sauce. Et dessert ... bof !
Je suppose que le café n'avait pas été prévu par Jeannette et il fallait le payer (3€ au lieu de 5€, prix d'ami).
Quant au spectacle, un animateur lourd de chez lourd, un raconteur d'histoires... connues et archi connues.... (mais certaines personnes riaient), heureusement un très bon montreur d'ombres chinoises et le classique ballet (4 filles et un gars quand même) auquel on a eu droit dans plusieurs numéros.
Quant à la musique pour danser ensuite, ce n'était pas à mon goût et il fallait escalader quelques marches bien hautes pour accéder à la scène/piste de danse.
Bref, j'ai regretté d'être venu, et j'ai l'impression de m'être fait prendre pour un touriste primaire auquel on demande d'entrer, de payer et d'être content. Il est vrai que, pour certains, le vin rouge (uniquement) à volonté peut aider à atteindre cet état.
Aucune comparaison avec ARTISHOW, par exemple.
Enfin heureusement que la compagnie était agréable...... ça a sauvé mon après-midi.
Jean O
C'est dans un joli square près du château où des bancs nous attendaient pour le pique-nique, que nous nous sommes installés, comme souvent persuadés "Qu'avec Arvem on a d'la veine"... Evidemment il n'a pas plu !
Un petit coin de nature appréciable par le charmant décor qui s'offrait à nous, composé d'un bassin alimenté par une cascade, où cygnes et canards dégustent une vie paisible.
Mais une autre visite était organisée, un peu plus loin "Le cimetière des chiens", 1er au monde, une curiosité datant de 1898.
- Émouvant ? Oui et non
- Surprenant ? Certes, c'est le reflet de beaucoup de tendresse vis à vis de ces êtres qui ont comblé leurs maîtres.
- Touchant ? Oui ! Devant les poèmes, épitaphes, photos, déposés sur beaucoup de tombes.
- Etonnant ? Surtout le fétichisme remarqué sur certains emplacements, par le dépôt de petits objets variés qui, à nos yeux, n'ont aucun rapport avec l'animal.
- Époustouflant ? Certainement, devant des monuments aussi importants que pour les humains, avec des sculptures, de belles stèles aux motifs gravés.
Un lieu de repos pour chiens, chats, oiseaux, chevaux et même lapins, singes, fennecs, hamsters, tortues, entre autres, le 1er Rintintin, Barry le st-Bernard qui aurait sauvé 40 vies, un chien errant venu mourir devant le cimetière, et d'une fondation une sépulture pour des dizaines de chats etc...
Quelques personnes sont là aussi pour fleurir et passer un long moment se souvenir de leur défunt compagnon.
Et puis, surprise ! Trois chats bien vivants qui se promènent dans leur villégiature et se laissent caresser. Pas si souvent pour eux le partage d'affection. Sont-ils les gardiens du site ? Grimpent-ils sur le superbe saule pleureur présent depuis le XVIII e siècle et qui veille sur le repos des "amis de l'homme" ?
En tous les cas les promoteurs qui enviaient les lieux n'ont plus droit à l'espoir. Là aussi, la ville a fait l'acquisition de ce territoire créé pour le respect de l'animal, sauver le côté artistique inscrit au Patrimoine.
C'est un petit Père Lachaise miniature, mais évidemment pas beaucoup d'histoires à raconter sur le déroulement des vies.
Il est vrai que ceux qui reposent ici n'ont également jamais eu la parole! C'est bien souvent ce qui leur a manqué! Pas vrai ?
Tous ceux qui ont ou qui ont eu des animaux, comprendront !
Ninette