Le nom de cette rue fait référence à l’échelle patibulaire, c'est-à-dire au gibet des évêques de Paris.
Ils avaient droit de justice et l'échelle représentait le symbole de ce droit.
Jeanet
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le nom de cette rue fait référence à l’échelle patibulaire, c'est-à-dire au gibet des évêques de Paris.
Ils avaient droit de justice et l'échelle représentait le symbole de ce droit.
Jeanet
Qu'appellait-on "l'arbre à pain" au Moyen Âge dans les Cévennes ?
Réponse lundi prochain
Réponse "À vous de jouer n°276"
Je ne suis plus veau, je ne suis pas encore ni taureau ni bœuf : je suis ?
Suivant "les mémoires" de Madame Campan, nous avons été plongés dans le XVIIIe siècle, grâce à cette femme, née en 1792 qui fut à 15 ans lectrice auprès des filles de Louis XV.
Très cultivée, elle parlait plusieurs langues, n'ayant aucune crainte d'instruire "Mesdames" Adélaïde, Victoire, Sophie, et Louise, durant même 5 heures par jour pour cette dernière destinée à être carmélite à St-Denis.
(Nous ignorons tout de même quels étaient les sujets scabreux des lectures, puisqu'elles sont toutes restées vieilles filles....)
Par la suite, de statut de lectrice elle deviendra..... Lire la suite >>>
Ninette
Désirant visiter au Louvre l'exposition "Le printemps de la Renaissance", j'ai reculé devant 1h30 d'attente je me suis rabattu sur la Musée Maillol pour m'intéresser aux "Étrusques" exposition présentée jusqu'au 3 février 2014.
Elle nous permet de mieux connaître cette civilisation qui précéda la conquête romaine et fut vaincue du fait de l'impossibilité de réunir les cités rivales.
Une visite enrichissante.
Jean-Paul
Voici un livre qui permet de revisiter l'Histoire de France avec plaisir car la plume de François Reynaert est alerte. Ce chroniqueur du "Nouvel Observateur" a visiblement étudié les œuvres des meilleurs spécialistes de chaque période (il nous indique ses sources). Il nous en livre une synthèse, qui interpelle souvent le lecteur, et ne peut être que celle d'un passionné d'Histoire.
Ce "Nos ancêtres les Gaulois... et autres fadaises" est un livre sérieux malgré un titre qui "accroche".
Jean-Paul
Je vous invite très chaleureusement au Salon des Écrivains catholiques* le samedi 30 novembre 2013 de 14h à 19h où je dédicacerai mon roman Secteur Postal 14200.
Claude Zen
* Mairie du VIè arrdt, 78 rue Bonaparte
Sur le Champ de Mars devant l’École Militaire, jusqu'au 8 décembre 2013 s'élève une tente abritant l'exposition "100 ans de la Police Judiciaire de Paris".
Je comptais y puiser de nombreuses informations sur les grandes affaires policières du XXeme siècle (Landru, Violette Nozière, Docteur Petiot...). Je suis resté en partie sur ma faim.
Cela se résume en un couloir étroit où les visiteurs s'entassent, tentant de scruter les murs tapissés de journaux d'époque. Une seule (courte) vidéo sur Petiot et quelques annonces (recopiées) de Landru. Voilà le résultat de mes prospectives. C'est un peu court.
Jean-Paul
En 1945, Colette a été élue à l'unanimité à l'Académie Goncourt.
Jeanet
Je ne suis plus veau, je ne suis pas encore ni taureau ni bœuf : je suis ?
Réponse lundi prochain
Réponse "À vous de jouer n°275"
Quel brasseur possédait la brasserie à l'Hortensia, 9 rue de Reuilly (son nom est donné à une rue du 12è) ? (Cliquez sur l'image pour agrandir)
Émerveillée, fascinée par la beauté de cette exposition voici par quels sujets mon émoi s'est révélé. Toute une histoire... à découvrir....
Depuis "Le retour du marché" j'ai perdu la tête dû à l'évènement produit par "Des roses d'Héliogabale", pas étonnant : pourtant "Ses yeux reflètent les pensées qui sont bien lointaines". Je me suis aussi posée "La question" (éblouie par la finesse et la luminosité de ce petit tableau). Qui était "La reine Esther" ? Si inquiète, allait-elle avec les "Jeunes filles grecques ramasser des galets au bord de la mer"? ou consulter " La boule de cristal", avant de savoir que "Le sentier de l'amour n'a jamais été facile" ! Mais au"Temps jadis" le "Chant du printemps" envoie un "Message d'amour" et "Courtiser sans espoir" engendre une "Confidence opportune". "L'absence fait grandir l'amour" mais dès "qu'Un nuage passe", on ne peut "Toucher la main disparue"...
Voilà un extrait du film le plus romantique, aux sublimes portraits, que je vous invite à partager.
Éblouie je le suis encore par ces œuvres si réalistes, qui font presque concurrence à la photographie.
Les femmes sont très belles, mais ces hommes qui les ont mises en scène... Quels artistes !
Ninette