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ARVEM ASSOCIATION - Page 216

  • Maison de Victor Hugo

    Maison-V.Hugo_Entre eros et pudeur.jpgSi vous voulez découvrir les lettres de Juliette Drouet à "mon cher Toto" et les billets de Léonie Biard à son amant Victor Hugo, rendez-vous avant le 21 février 2016 au 1er étage de la Maison de Victor Hugo pour vous plonger au milieu de tableaux (Gustave Courbet...) statues ( Rodin...) lettres, dessins illustrant l'exposition "Eros Hugo".

    Vous pourrez à l'issue de cette visite, monter jusqu'au 2eme étage où les salles ont été judicieusement réaménagées.

    Vous ne serez pas déçus (es).

    Jean-Paul

  • Lire "La vie, la mort, la vie - Louis Pasteur (1822-1895)"

    paris,livreL'académicien Erick Orsenna occupant par "pur" hasard (estimé "désolant" par son voisin François Jacob Prix Nobel de médecine) le fauteuil de Louis Pasteur se devait, après maintes hésitations, de se pencher sur la vie d'un si grand savant, bourreau de travail, muni (il faut le reconnaître) d'un ego prononcé.

    Il est heureux que l'auteur ait cédé aux sollicitations de son voisin, il permet au lecteur de mieux connaître la vie et l’œuvre d'un homme mondialement reconnu et ceci dans une langue alerte qui nous rend agréable la vie austère (il ne souriait jamais) de celui que le XIXe siècle, assoiffé de connaissances, considérait comme "Le savant".

    Un livre qui se lit d'un trait.

    Jean-Paul

  • La Saint-Sylvestre 2015

    Pour le réveillon
    Se réunir, nous le devions,
    Et en finir
    Avec cette horrible année
    A ne pas conserver
    En souvenir.
    Lourde atmosphère générale,
    Évènements, difficultés sociales
    Toujours y revenir !
    Comment oublier un moment
    Si ce n'est qu'en souhaitant
    Se réjouir,
    Le temps d'une soirée
    Afin de fêter la nouvelle année.
    paris

     

     

     

     

    Chacun trouva sa place
    Pas besoin de briser la glace,
    Il faut le dire
    Entourés d'amis plus ou moins connus
    Puisque tous, simplement venus
    Pour le plaisir.
    Passer le cap, fuir la solitude
    Quitter ses habitudes.
    Voir des sourires
    Autour des tables rassemblés,
    Des incitations à danser,
    Et en point de mire
    Le temps à rebours compté,
    Une tournée à assurer
    Celle des bises.
    Ambiance sympathique à la clé
    Le succès de notre disc-jockey
    Qu'on se le dise
    Pour des Arvemois fidélisés
    2016 a bien commencé !

    Ninette

  • (6) 2016 : Quelques nouveaux mots scrabble

    Mots en vigueur depuis le 1er janvier 2016 (*)

    • SMOK (n.m) Familièrement smoking / Pluriel : Smoks
    • JÈSE (n.m). Familièrement jésuite / Pluriel : Jéses
    • EWEE (Adj. & n.f.) D'un  peuple du Congo / Pluriel : Éwees
    • FLOW (n.m.) Débit du chanteur de rap / Pluriel : Flows

    Jeanet

    (*) ODS7 = 7è édition de l'Officiel du Scrabble

     

  • Discussion "Madame de Sévigné"

    Qui ne connaît pas la Marquise
    Et ses lettres exquises,
    Elle en a tellement écrit !
    Je ne saurai être à la hauteur
    Et même sans illusion
    Ne serait-ce que résumer sa vie
    Présentée à la discussion,
    Et me lancer sans avoir peur
    Dans ce siècle, sans peine
    Qui connu d'immenses artistes,
    Pensez: côtoyer Molière, La Fontaine
    Boileau, Racine, Corneille en piste.
    Malgré les progrès techniques
    Comment voulez-vous rivaliser
    Aux textes flamboyants, imagés
    De ces auteurs magnifiques.
    Alors j'évoquerai quelques anecdotes
    Relevées dans mes notes.
    N'étant ni savante, ni précieuse,
    Sans doute un peu ridicule
    J'ose dire, point virgule
    Passons aux choses sérieuses !

    Marie de Rabutin Chantal

    Pour mémoire "cette virtuose" de la plume est née en 1626 Place Royale (des Vosges) Son père meurt, elle n'a qu'un an, aura comme tuteur son grand-père maternel qui fera son éducation (étude de 3 langues, danse, chant, équitation).

    À ses 10 ans celui-ci décède : pour éviter le placement au couvent, son oncle prendra la relève.

    Lire la suite ICI

  • Journée à la fondation Jérôme Seydoux-Pathé

    Unique au monde, berceau du patrimoine de l'Histoire du Cinéma, construite à la place du théâtre des Gobelins, (dont seule subsiste la façade sculptée par Rodin) devenu cinéma jusqu'en 2003.

    À la lecture du programme qui nous invitait à participer à cette visite, tout est dit, mais je pense à ceux qui n'ont pas pu être parmi nous.

    Je ferai part de mon étonnement et mon admiration partagés avec la majorité d'entre-nous, devant cette construction de Renzo Piano (Génois né en 1937) insoupçonnable depuis la rue, coincée entre des immeubles, dans un espace restreint.

    Cet édifice est impressionnant, par son aspect surprenant : c'est une "coque" qui le recouvre entièrement, (cela me fait penser à un ver luisant) comprimé dans une cour de bâtiments anciens, transformée en jardin, seul endroit d'où l'on peut découvrir son originalité extérieure.

    Cette construction de 2200 m2 dont l'intérieur est composé d'un immense hall décoré d'affiches, celui-ci entouré d'espaces verdoyants (afin de laisser passer un peu de lumière aux riverains) comporte 5 étages. Il reçoit des archives papiers concernant les films muets de la société Pathé, ceci sur 2 étages sans ouvertures pour la protection des documents, une salle de conférences, des bureaux. En sous-sol une salle de spectacles de 68 places, un espace d'expositions où, affiches, dessins, caricatures d'Adrien Barrère illustrateur de Pathé, narguent l'œil du visiteur.

    L'ensemble de l'édifice est donc masqué par une "coque" recouverte de 5000 "volets"de couleur gris argenté. C'est elle qui est magique. Au sommet, où se trouvent les bureaux et centre de recherches, la surprise est intense à la découverte de l'imposante verrière qui recouvre les deux niveaux supérieurs, en double vitrages cintrés, recouverts de plaques en aluminium anodisé, finement perforé. Le tout est soutenu par une charpente bois et acier en forme de coque de bateau retourné.

    C'est superbe, en un mot véritablement génial... Chacun a retenu son souffle devant ce lieu immense extrêmement lumineux : architectes, ouvriers-artistes, vraiment bravo !

    De nombreuses questions se sont posées sur l'élévation, l'aération, le confort, le nettoyage, le rapport avec le voisinage très proche etc...

    Après cet épisode instructif et enchanteur, nous étions accueillis agréablement au restaurant "L'Entracte" pour une pose gourmande appréciée.

    L'après-midi, la visite guidée d'une collection très importante de 150 appareils, caméras, projecteurs sur leur évolution technique entre 1896 et 1980. Pour les amateurs ce doit être intéressant.

    Mais là, y'a pas photo ! Je n'ai pas "imprimé le négatif", ni "projeté la pellicule" mon "objectif" assez vite s'est obstrué, car la technicité complexe même fort bien expliquée, a ripé le "déclic", mon "enregistreur" n'a pas fonctionné. Mieux vaut demander les explications aux photographes d'Arvem !

    Pour terminer la journée nous avons bénéficié d'une projection de films muets, confortablement installés dans de bons sièges moelleux pour apprécier les mimiques, accompagnées, comme autrefois d'un pianiste en salle.

    Une journée bien remplie, qui restera en mémoire, où le passé et le modernisme innovateur sont parfaitement mariés.

    Ninette