Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

paris - Page 49

  • Week end 18 et 19 juin

    ARVEM a fait fort ce week-end écoulé écoulé  (18 et 19 juin) en nous proposant des divertissements fort agréables.

    AMIENS

    D'abord, samedi matin, malgré l'heure tôtive de départ, nous étions toutes et tous ravis de retrouver notre "vieux complice" Dominique, redevenu autocariste pour l'occasion, qui nous a donc accompagnés à Amiens, où nous avons passé une chouette journée, malgré les fortes chaleurs : balade en barque au milieu des hortillonnages, ces jardins flottants ; puis visite de la magnifique cathédrale, commentée par des conférencières passionnées (2 groupes); et pour terminer cette matinée en beauté, un délicieux repas nous attendait au restaurant "Le 31", avec une équipe de serveuses et de serveurs au top ! L'après-midi, avec une température aux alentours de 36/37° s'est déroulée à bord du petit train touristique, qui effectue un tour de la ville  permettant de découvrir les principales curiosités. Puis ce fut le retour et grâce à la conduite très sage de Dominique nous avons rejoint la capitale sans encombre.  

    Théâtre La Bruyère "AIME COMME MARQUISE

    Ensuite dimanche, rendez-vous au théâtre La Bruyère, pour assister à la pièce "Aime comme Marquise" : originale car chacun(e) des comédien(ne)s jouent plusieurs personnages. Jeu remarquable des 2 actrices et des 2 acteurs; distrayante, évoquant le siècle de Louis XIV et les auteurs tels Molière, Corneille, Racine... Une vraie réussite ! "  

    AnnickB

  • Discussion "Viollet-le-duc"

    paris,viollet-le-ducEugène Viollet-le-Duc

    Nous nous sommes penchés sur cet homme célèbre avant d'admirer son travail dans la cathédrale d'Amiens, notre prochaine excursion.

    Il est né à Paris le 24 janvier 1814, très jeune il est passionné pour le dessin et par l'architecture. Son père était conservateur des résidences royales

    Sa mère tenait un salon  d'intellectuels dont Stendhal et bien d'autres, il vit dans un milieu aisé, mais en 1832 sa mère décède du choléra

    1834  Refusant" l’École des Beaux Arts" il devient professeur suppléant à la" Petite École  Nationale des Arts Décoratifs"

    1835  Payé par ses dessins, il fait un voyage au Mont-Saint-Michel

    1836 Il vend l'aquarelle "Banquet des dames aux Tuileries" au roi Louis Philippe et s'offre un voyage en Italie. Un jour il a fait la connaissance de Prosper Mérimée, inspecteur des Monuments Historiques

    1840 Grâce à Mérimée il va restaurer à Vezelay,  la basilique romane incendiée et en ruine . C'est la 1ere grande entreprise à 26 ans !

    1842 Les obsèques du Duc d'Orléans à Notre Dame de Paris alors en mauvais état, incite Louis Philippe à organiser un concours pour sa restauration (à savoir qu'en 1831  le livre de Victor Hugo " Notre Dame de Paris"a sensibilisé le public)

    1843 Jean-Baptiste Lassus et Eugène Viollet-le-Duc gagnent le concours et la restauration s'en suivra. À Notre Dame sur la façade dans "la galerie des Rois" (Rois d'Israël et de Juda ancêtres de la Vierge) on cherche  Viollet-le-Duc parmi ces rois (le 8eme en partant de la gauche) et Lassus y figure également.

    À la base et autour de la flèche se trouvent 12 apôtres. Eugène représente Saint-Thomas tenant la règle d'architecte où est inscrit NON AMPLIUS DUBITO  traduction : "Je ne doute plus" Les apôtres en cuivre mesurent 3,40 m de haut et pèsent 150 kg.

    1846 restauration de Saint-Denis

    1849 Eugène tombe malade du choléra mais il en guérit et poursuit bien d'autres chantiers comme  en 1853 Carcassonne, le Mont-Saint-Michel,

    Clermont-Ferrand, Roquetaille en Gironde  1858 Pierrefonds plus moyenâgeux que moyenâgeux, la Sainte Chapelle, Amiens  entre autres.......

    À Amiens nous remarquerons la balustrade ," la galerie des Sonneurs" sur  la façade au-dessus du portail polychromé.

    1870 -1871 Il veut diriger la restauration des fortifications de Paris, condamné par la Commune, il se réfugie à Lausanne où il fera la restauration de  la cathédrale Notre Dame jusqu'en 1872.

    1879 Il décède à Lausanne où il est enterré.

    Supplément d'information sur cette période

    Pierrefonds est à côté de Compiègne où l'Impératrice Eugénie organisait des  "séries" pour distraire l'intelligentsia  de l'époque. Eugène était éventuellement souffleur lors de pièce de théâtre et Mérimée proposa une dictée¨.

    Nous avons eu le plaisir de nous épancher sur ce texte avec des interrogations sur les pièges et les changements d'écriture d'orthographe survenus en 1990 ! Par une simple lecture nous n'avons pas trop séché !

     Ninette

     

     

  • Poème de J.Yves "Régine la grande dame du cabaret"

    Le décès de Régine inspira Jean-Yves.

    REGINE, La grande Dame du cabaret

    Elle était la reine de la nuit
    Une longue partie de sa vie,
    La grande star du cabaret
    Son enthousiasme plaisait.

    Interprétant son répertoire
    Joli à entendre,
    Belle dans sa robe noire
    Elle nous a laissé des rêves tendres.

    Autour de son cou, un boa
    Devint son emblème,
    Même, elle le chanta
    Fréquemment sur scène.

    Née sous une bonne étoile
    S'est envolée comme un voile
    En mémoire les fêtes qu'elle apporta
    Avec toute sa joie.

     J ÿ D

  • Réponse "à vous de jouer n°778"

    Trois stations de métro se cachent dans ce texte. À vous de les retrouver.

    Ainsi l’affaire s’annonçait plus complexe que prévu. Plus le temps, plus le choix… Je devais avancer. Quelques minutes me suffire à atteindre l’entrée. Cela se corsait. À ma droite, une décharge sur laquelle s’entassaient portes de bagnoles, et pare chocs variés polluait l’environnement.

    Je montais les marches du perron quatre à quatre. Septembre s’achevait, il commençait à faire froid. Je remontais mon col et toquait à la porte.

    Solution

    Ainsi l’affaire s’annonçait plus complexe que prévu. Plus le TEMPLEus le choix… Je devais avancer. Quelques minutes me suffire à atteindre l’entrée. Cela se corsait. À ma droite, une décharge sur laquelle s’entassaient PORTE DE BAGNOLET pare chocs variés polluait l’environnement.
    Je montais les marches du perron quatre à QUATRE SEPTEMBRE s’achevait, il commençait à faire froid. Je remontais mon col et toquait à la porte.

     

  • chorale "le 12è en chanson"

    Chorale_Affiche_prestation_kiosque_Picpus_11_juin_2022.jpgBonjour à toutes et à tous, j'espère que vous n'avez pas oublié notre chorale pendant ces deux années écoulées. Sachez que nous avons poursuivi les répétitions par visio, grâce à notre chef de chœur Crystel Galli, pendant les confinements. Et les choristes sont ravi(e)s aujourd'hui de vous proposer une animation musicale samedi prochain au kiosque Picpus, à 11h30. Plus de détail, cliquez sur l'image.

    Nous espérons vous voir nombreu(ses)x afin de nous encourager à poursuivre notre activité privilégiée. Nous comptons sur vous. A samedi prochain.

    Bien à vous.

    Annick

  • Quelques animations ce week-end des 11 et 12 juin

    - Le Conseil de Quartier Nation-Picpus vous invite pour sa fête du samedi 11 janvier dont détail ICI

    - La Compagnie Progéniture vous invite également à sa 23è édition du festival la coulée douce qui a lieu le samedi 11 & le dimanche 12 juin. sur la promenade plantée - jardin de Reuilly.  Programme à découvrir ICI

    - Le village botanique est de retour au Parc Floral avec sa 7è édition le samedi 11 & dimanche 12 juin. Deux journées de découvertes, de conférences, de visites guidées, d’ateliers, de dédicaces et d’échanges avec les acteurs du Jardin Botanique, des partenaires, des associations et institutions.

    Jeanet

     

     

  • Lire "Le roi disait que j'étais diable" de Clara Dupont-Monod

    Dans cette formule due à l'évêque de Tournai l'auteure nous dépeint avec maestria les premières années d'Aliénor d'Aquitaine devenue reine de France.

    Nous sommes bien loin du gisant paisible de l'abbaye de Fontevrault.

    Le lecteur rencontre dans ce livre avec Aliénor, son mari Louis VII (plus moine que roi) le ministre Suger à qui nous devons la basilique de St-Denis et le prêcheur de la funeste 2eme croisade Bernard de Clairvaux.

    Un livre à recommander à tout  admirateur d'Aliénor reine de 2 royaumes dans ce Moyen- Age qu'elle illumina.

     Jean-Paul

  • À vous de jouer ? (n°778)

    Trois stations de métro se cachent dans ce texte. À vous de les retrouver.

    Ainsi l’affaire s’annonçait plus complexe que prévu. Plus le temps, plus le choix… Je devais avancer. Quelques minutes me suffire à atteindre l’entrée. Cela se corsait. À ma droite, une décharge sur laquelle s’entassaient portes de bagnoles, et pare chocs variés polluait l’environnement.

    Je montais les marches du perron quatre à quatre. Septembre s’achevait, il commençait à faire froid. Je remontais mon col et toquait à la porte.

    Réponse lundi prochain

  • Expo "Charles Ray"

    Nous avons rendez-vous, avec Charles Ray, au musée Centre Pompidou, où une dizaine de ses œuvres sont exposées.  Une autre exposition, simultanée, à lieu à la Bourse du Commerce - Pinault Collection, avec une vingtaine d’autres sculptures. 

    Le lieu de la "réception" définit, tout de même un peu, le style de l’artiste : contemporain. Mais toujours curieuse, j’y vais. La guide, nous informe, que l’artiste était présent au vernissage, ce qui permit certaines explications bien particulières. 

    Dès l’entrée en salle, une voiture, complètement défoncée, réalisée en fibre de verre peinte de gris. C’est un modèle Pontiac accidentée (Unpainted Sculpture, 1997). D’après l’auteur cela correspond au "temps qui s’arrête". La voiture fut "découpée", pour être réalisée en fibre de verre, par "tranche" puis "remontée". 

    À proximité, un "Self portrait", grandeur nature, en fibre de verre peinte, vêtements, lunettes, cheveux synthétiques, en verre et métal. Je n’ai jamais vu un artiste, réaliser sa propre sculpture, certes… j’ai encore beaucoup de choses à voir ! Pas mal le monsieur, mais je lui préfère son chapeau, et surtout ses lunettes (rare sur le nez d’une sculpture) ! 

    Un peu plus loin, "Portrait of the artist’s Mother", une femme allongée, soutenant sa tête, semble se reposer. Elle est plus grande que nature. Ses yeux sont peints, ainsi que de grandes fleurs sur le corps. Surprise comme beaucoup d’entre nous… elle fut réalisée dans l'atelier de l'artiste, en papier "fait main". Matière à la fois malléable et résistante pour permettre un rendu du détail des œuvres. L’ensemble pèse 9 kg. Charles Ray précisa : "Je suis sculpteur de métier, mais la nuit je dessine des fleurs afin de laisser libre cours à mon amour de la couleur. Comme des fleurs sauvages dans un pré, ces dessins viennent d'eux-mêmes."

    Un mannequin, (Fall ’91, créée en 1992), agrandit à 30 %, d’une hauteur de 2,05 m, en fibre de verre peinte, cheveux synthétiques, vêtements et bijoux, en verre et métal, elle pèse 90 kg. Nous n’avons pas pu résister au plaisir de comparer l’une d’entre nous, à ses côtés… il n’y a que la jupe qui dépareille… et la taille ! Chacun sa préférence, pour son mannequin ! 

    Puis nous arrivons, devant "Shoe Tie, 2012" en Acier inoxydable. Il s’agit d’un homme, accroupit, il lace sa chaussure droite. Je ne vois pas la chaussure… ni même son pantalon ! J’ai oublié de vous préciser, qu’il a emprunté le costume d’Adam… Quant à Charles Ray il dira à propos de cette sculpture : "Un matin, sur le chemin, alors que je refaisais mes lacets dans l'obscurité, je me disais que si un fantôme devait lacer sa chaussure, il n'aurait pas besoin d'avoir une chaussure. Je ne crois pas aux fantômes, mais la logique de cette idée m'est restée. Finalement, j'ai perçu ce geste comme une sculpture." Témoignage, qui montre que la "parole" de l’artiste change tout ! 

    En suivant notre chemin on tombe face à face, avec toute une famille… composée de 2 adultes, une fillette et un garçon. Ils ont tous, sensiblement la même taille, agrandie pour les enfants et diminuée pour les parents, mais aux proportions correctes. 

    La nudité accentuée et la taille des personnages, me semble… juste un peu bizarre !

    À proximité, un tronc d’arbre couché (Hinoki, 2007), je ne crois, qu’il soit ici, pour permettre le repos, des visiteurs fatigués…  Charles Ray aurait repéré un chêne mort dans un champ de Californie, Il décida de le représenter, mais en cyprès japonais. "C'est une image, que vous regardez, ce n'est pas un arbre." Précisa-t-il, lors du vernissage... 

    Toujours est-il, qu’un tronc de cette taille, ne pouvait suivre le chemin habituel des œuvres pour parvenir dans la salle du Centre Pompidou. Qu’à cela ne tienne ! Le transport releva de l'exploit, la sculpture fut montée par une grue, nous précisa la guide. 

    Tout aussi surprenant… Les bateaux mis en bouteille, par des maquettistes, c’est courant. Mais un artiste mettre lui-même sa miniature, en bouteille ! cela n’est pas fréquent…. Seule information, la sculpture fut réalisée en fibre de verre, avant la bouteille. Mais là encore cela interpelle, par quelle "magie" technologique le personnage pénètre dans la bouteille ?  L’auteur n’a rien dévoilé à ce sujet, lors du vernissage, alors mystère !

    Charles Ray, change souvent de technique et de matériaux. Fibre de verre, aluminium peint, papier, cire perdue, acier inoxydable. ….  La guide y revient souvent, lors de la visite.  Après ce petit tour, dix œuvres, c’est rapide, malgré 1h30, du savoir de la guide qui sut retenir toute mon attention, pour un contemporain ! C’est certainement cela qui m’a le plus intéressé…. Je reconnais que ces statuts en acier inoxydable rendent un effet curieux, ce qui a attiré, et bien plu à mon œil profane. … 

    Arletteck

    paris,exposition,ray

    ©2022by ArletteCk

    Voir plus de photos, cliquez sur la voiture