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paris - Page 340

  • Journée à Vincennes

    Alors que certains sont déjà partis, que d'autres préparent leurs bagages, un bon groupe s'est retrouvé au Château de Vincennes, pour y connaître suivant les siècles, l'évolution de sa construction.

    Comme Saint-Louis sous son chêne, nous étions sous les arbres bien à l'ombre dans la cour pour écouter le guide.

    Avec parcimonie nous nous déplaçons évitant les rayons de l'astre lumineux, afin d'en savoir davantage sur la chapelle, le donjon.

    Celui-ci fraîchement restauré est impressionnant de puissance. Allons-nous monter jusqu'au sommet ? Non , simplement 2 étages afin d'y découvrir la salle du conseil, la chambre du roi avec son coin garde-robes, la chapelle, les latrines.

    Un escalier à vis nous mène au rez-de-chaussée dans la salle des réserves, avec le puits, les pavés authentiques et les lourdes portes venant de la prison du Temple.

    Notre matinée devait se terminer par l'exposition de Sainte-Anne d'Auray " Les anges musiciens " qui grâce au fil conducteur d'un questionnaire permit de regarder plus en détails des peintures, sculptures, vitrines, vitraux, surmontant ainsi quelques difficultés.

    Avec toute la bonne volonté du monde, les Arts Célestes même Bretons, ne nourrissent pas la meilleure troupe qui soit, surtout à l'heure très avancée du déjeuner !

    Certains iront pique-niquer, d'autres préfèreront se mettre les pieds sous la table. Justement le ciel prend une tournure inquiétante !

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  • 2 - Les passages couverts des grands boulevards

    Suite de la note du 15 juillet

    Suivons le passage DES PRINCES (1860) le dernier qui fut créé. Essentiellement consacré aux enfants, garni de boutiques de jouets, possibilités de fêtes, organisation d'anniversaires etc...

    Tout près LE PASSAGE DES PANORAMAS (1800) le plus riche de Paris, décoré de miroirs trompeurs sur leurs dimensions. C'est dans ce passage que se fit en 1817 le 1er essai de l'éclairage au gaz, inventé par Lebon. On y trouve des cafés, restaurants, boutiques de livres, tableaux etc..

    Composé de 6 galeries (1834) Saint-Marc, Variétés avec Stern le graveur, et l'entrée des artistes du théâtre Montmartre, Feydeau, Bourse, plutôt des tronçons de raccordements aux rues adjacentes. Très sombres, Tristounets !

    Nous voilà AU PASSAGE JOUFFROY (1845) structure de fer et verrière mieux conçue pour plus de luminosité et de ventilation.

    Boutiques de livres anciens, rayon librairie, belle pâtisserie, vitrines de luxe, présence du " Musée Grévin " (1882), au fond " l'hôtel Chopin ".

    Une anecdote : lors d'une pièce triomphale, qui occasionna une réception grandiose, Rossini ne put rentrer libre chez lui, trop de foule exaltée qui ne le reconnaissait pas, malgré ses dires " Je suis Rossini. C'est moi Rossini..."

    Traversons la rue, Lire la suite >>>

  • À vous de jouer ? (105)

    Quel mammifère vit le plus longtemps ?

    • la baleine
    • l'éléphant
    • l'homme

    Quel est l'animal dont le nid contien 60 oeufs ?

    • la grenouille
    • le crocodile
    • la tortue

    Quel animal s'exprime à raison de 7400 pulsations à la minute ?

    • la cigale
    • le criquet
    • le martinet

    Réponse jeudi prochain

    À vous de jouer n°104

    Qui a écrit " Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage"

    • Molière

    Qui a écrit "Il faut bien tuer ce qu'on aime" ?

    • Jean-Paul Sartre

    Qui a écrit "La femme est naturelle c'est-à-dire abominable" ?

    • Baudelaire
  • 1 - Les passages couverts "Quartier St-Honoré"

    Un bon orage se déclare juste avant notre R.V pour la promenade des passages couverts. Après une bonne rincée, une vingtaine de courageux, parapluies en mains, se dit : "Quand faut y aller, faut y aller" !

    Finalement, plus l'heure tourne, plus le ciel devient clément et puis sous les passages, nous sommes à l'abri.

    Commençons par ceux du vieux QUARTIER SAINT-HONORE

    LA GALERIE VERO-DODAT fut la 1ere galerie (1826), son nom celui de 2 charcutiers célèbres. C'est une succession de boutiques uniformes aux devantures de glaces liées par des bagues en cuivre, au plafond peint de paysages, et une jolie frise de palmettes dorées orne le haut des murs. Très beau.

    Passons devant "la maison des bons-enfants", originale avec ses façades recouvertes de fer forgé gris entrelacé ; Voici le jardin du Palais Royal , les colonnes de Buren.

    Entrons dans LA GALERIE D'ORLEANS (1829), Autrefois temple de la galanterie "les femmes de mauvaises vies" nommées " Castor, 1/2 Castor, Castor fini" possédaient leurs catalogues d'activités professionnelles......

    Le 1er étage était autrefois, occupé par des cafés, cabinets de lecture, tripots, jeux. La fameuse phrase de 1968 " Interdit d'interdire " aurait été prononcée à l'époque par le Duc d'Orléans propriétaire des lieux !

    Au passage découvrons là, où Colette a passé ses dernières années.

    Continuons par le passage DES 2 PAVILLONS pour accéder :

    À LA GALERIE VIVIENNE (1823) la plus grande, la plus élégante avec sa décoration empire. Repérons un négociant en vins, que des grands crus, d'énormes bouteilles dans une boutique de présentation ancienne. Vidocq aurait demeuré là au n° 13.

    Au sortir , un coup d'œil sur la vitrine de Jean-Paul Gaultier

    Voici LA GALERIE COLBERT rivale de VIVIENNE, construite pour concurrencer celle-ci, avec une rotonde au "dôme vitré " de 15 m de diamètre.

    Pas de commerces, mais de nombreuses salles probablement de réunions, réservées à des institutions (Institut national des Arts, Universités etc..) D'où la présence d'un gardien à chaque extrémité !

    LE PASSAGE CHOISEUL (1826) le plus long 190 m tous commerces, là se trouve le "Théâtre des Bouffes Parisiens" où Offenbach connu le succès. Céline, y ayant passé son enfance, l'appelait "Le passage de la Bérézina" ! Sa mère possédait une boutique de mode "Morgane" qui existe toujours.

    Passons devant l'Opéra Comique de 1714, réhabilité ; bien beau ! Autrefois "Salle Favart", nom du créateur de comédies musicales où comédiens, chanteurs, musiciens, tous français s'y produisaient.

    Tournons la tête ! Tiens ? Juste en face la maison natale d'Alexandre Dumas Fils.

    Prochainement "Les passages des Grands Boulevards"

    Ninette

  • Comment enlever des étiquettes collées

    On est souvent amené à enlever des étiquettes collées sur divers objets. Cette opération est souvent délicate à réaliser sans endommager l'objet.

    Pour y arriver sans peine, le truc est de badigeonner l'étiquette d'huile de table au moyen d'un coton‐tige en prenant soin de ne pas déborder. Attendre que l'huile pénètre jusqu'à la colle et l'étiquette pourra être facilement retirée.

    Marie-Françoise H

  • À vous de jouer ? (104)

    Qui a écrit " Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage"

    • Molière
    • La Fontaine
    • La Bruyère

    Qui a écrit "Il faut bien tuer ce qu'on aime" ?

    • Jean-Paul Sartre
    • Sacha Guitry
    • Françoise Sagan

    Qui a écrit "La femme est naturelle c'est-à-dire abominable" ?

    • La Bruyère
    • Baudelaire
    • Balzac

    Réponse jeudi prochain

    À vous de jouer n°103

    Quel métal est le plus lourd ?

    • le mercure

    Quel est le métal le plus malléable ?

    • Le plomb

    Quel métal n'a pas de propriétés magnétiques ?

    • le potassium
  • Une trembleuse.

    Que voilà un drôle de nom !

    Un objet qui tremble ? À quoi cela peut-il bien servir ?

    Eh ! Bien ! C'est tout le contraire. C'est une sorte de tasse retenue dans une soucoupe, soit par une galerie, soit par une légère cavité, ce qui l'empêche de glisser et de se renverser.

    Ninette

    trembleuse.jpg