une très bonne fête aux
Jacques et Philippe
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une très bonne fête aux
Jacques et Philippe
En ce samedi nous n'étions pas sous le soleil de Sète, mais presque !
Transportés dans l'univers de Brassens, grâce à cette belle exposition qui lui est consacrée, à la Cité de la Musique : deux heures pour confirmer nos connaissances sur ce grand artiste poète, mais aussi pour découvrir le côté intime et le quotidien extrêmement simple, vécu à Paris, puis tout son chemin d'artiste.
D'un naturel blagueur, sportif, obsédé par la mort, fidèle envers ses amis, une vie qui lui inspire des textes…. Les femmes : "Jeanne", "Une jolie fleur ...", les amis "Les copains d'abord" etc...
N'ayant jamais appris la musique, il tâte du piano présent chez sa tante qui l'héberge, puis sur une guitare proposée, il tente les cordes.
De tempérament timide, on se souvient d'un homme sur scène sans artifice, réservé, anxieux, qui d'ailleurs souhaitait plus travailler pour les autres qu'interpréter lui-même ses chansons. S'il connu la critique, et la censure, le talent fut le plus fort.
Cet homme touchant, se plonge dans la littérature, écrit avec acharnement, méthodiquement, se fait un dictionnaire des mots pour établir ses rimes. De nombreuses pages de cahiers manuscrites sans ratures, témoignent de ce travail presque d'écolier.
Ces pages que l'on peut facilement feuilleter (si je puis dire ainsi) sont présentées sous vide, verticalement à hauteur des yeux, et pour faire revivre ces lignes, des écrans diffusent divers extraits d'entretiens , ou musicaux.
Au détour d'un couloir, un vrai concours s'organise à qui reconnaîtra le plus, sur une photo de groupe une pléiade de visages célèbres d'artistes, dans leur jeunesse, qui l'entourent. Eh ! Oui ! Nous les avons tous reconnus ! Certains hélas, emportés par "la Camarde" !
Pour clore ce parcours, sur grand écran la projection d'une vidéo du dernier concert à Bobino en 1969. Déjà par-ci par-là, nous fredonnions, mais là l'artiste entraîne une dernière fois ses spectateurs, car dès les premiers accords, instinctivement, les chœurs sont lancés !
Malgré ces deux heures passées nous aurions presque envie de refaire le chemin à l'envers, pour écouter dans les téléphones à disposition, cette voix, relire les pages, voir tous les écrans.
Par cette belle journée ensoleillée, nous n'avons pas à regretter ce détour en ce lieu spacieux, bien décoré, inter-actif, agréable, pour retrouver l'âme d'un poète, si apprécié.
Ninette
Scrabble et Tarot
Vous cherchez des partenaires, vous désirez vous initier, venez nous rejoindre :
Lundis 2 et 16 de 18h30 à 21h30
Samedi 7 mai de 10h30 à 12h30
Mercredi 4 mai à 18h30
Soirée billard
Samedi 7 mai à 14h15
Conférence : "François 1er et Léonard de Vinci"
Samedi 7 mai à 16h45
Papotage ou jeux de société
Un petit moment de détente où les adhérents peuvent se retrouver pour papoter ou tout simplement jouer au scrabble, tarot, rami, belote, domino etc...
Samedi 14 mai
Journée Renaissance "Amboise et Clos Lucé"
Samedi 22 mai
Exposition "Chagall et la Bible"
Scrabble duplicate
Lundi 23 mai à 18h30
Faisons une halte au musée d'art et d'histoire du judaïsme se situant rue du Temple.
Cet hôtel particulier a connu de nombreux propriétaires depuis le duc de Saint Aignan. Différentes modifications ont aussi été apportées aux lieux avec le temps. Plus récemment, des commerces d'artisanat s'étaient installés. Ces bâtiments non entretenus sont rachetés en 62 par la ville de Paris pour y installer ses archives. Un début de restauration est lancé un peu plus tard. Puis, Jacques Chirac, alors Maire, permet l'installation du musée actuel.
La restauration de l'hôtel continue. Le résultat est vraiment réussi. Dans la cour d'accueil, toujours pavée, une sculpture de Dreyfus nous invite à entrer.
Copie en résine de l'Hommage à Dreyfus" par Louis Mitelberg dut Tim (1919/2002).
La scupture orginale en bronze est située boulevard Raspail.
L'escalier intérieur assez exceptionnel a été refait à l'identique. Les salles sont claires.
Lors de notre visite guidée, de nombreuses questions ont été posées sur les origines, les traditions, le symbolisme. Nous avons eu droit aux prolongations tant nous étions intéressés. Si bien que chacun a pu continuer individuellement le parcours des salles où il y a beaucoup à voir.
Annick D.
Ce livre "Monsieur Le Président" de Franz-Olivier Giesberg se lit avec beaucoup d'intérêt. Bien écrit, F-O Giesberg est un habitué des biographies présidentielles depuis François Mitterrand, il révèle les grandeurs et les petitesses de Nicolas Sarkozy, et confirme que si on veut travailler avec lui, il vaut mieux avoir le cuir épais.
En résumé un livre très intéressant sur un personnage pour le moins complexe.
Jean-Paul
Vous connaissez le film ancien ? Vous aimerez le nouveau.
Si par chance, vous n'avez pas vu le film avec Raimu et Fernandel, vous ne pourrez pas comparer, et c'est tant mieux !
Celui de D. Auteuil est un vrai régal pour les oreilles et les yeux, un vrai moment d'évasion !
L'expression des visages filmés de près est au plus juste, pleine de délicatesse et de finesse, sans aucune exagération dans l'accent "chantant". Les dialogues coulent avec un tel naturel qu'ils nous transportent dans cette belle Provence, aux côteaux plantés d'oliviers, aux allées bordées d'énormes platanes, sur des routes ensoleillées.
Tous les rôles interprétés avec doigté attirent sourires et émotion.
Dans la veine de Jean de Florette et Manon des sources, ce film empli d'humanité ne peut que vous toucher.
Sans crainte, allez à la rencontre de ces provençaux et de leur histoire, même si de nos jours les mentalités ont évoluées, vous serez sous le charme du déroulement des évènements.
Ninette
D’où vient le nom des anciens magasins de « La Samaritaine » ?
Réponse jeudi prochain
À vous de jouer n°141
Quel oiseau pupite ?
Jusqu'au 30 juillet vous pouvez à l'Hôtel de Ville aller admirer sans bourse délier quelques chefs d'oeuvre des plus grands peintres, dans l'exposition traitant de "Paris au temps des Impressionnistes"
On y retrouve Verlaine et Rimbaud sur "Le coin de table" de Fantin-Latour, "Les jeunes filles au piano" de Renoir, une des "Gare St Lazare" de Monet sans parler de tableaux de Degas, Van Gogh et Gauguin.
Un très belle promenade dans le Paris dit de "la Belle Epoque".
Le "certificat de naissance" du premier journal a été découvert dans les archives minicipales de Strasbourg par le Dr Martin Welke, fondateur du musée allemand de la presse, et le Professeur Jean Pierre Kintz, historien de Strasbourg.
Ce journal, intitulé "Relation", comportait quatre pages et fut lancé à Strasbourg en 1605 par Johann Carolus.
Jeanet
une très bonne fête aux
Marc