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Vos sorties - Page 25

  • Film "Supercondriaque"

    paris,film,cinémaLes amoureux du duo Dany Boon, Kad Mérad après le triomphal "Bienvenue chez les Ch'tis" sont invités à se précipiter dans les salles programmant "Supercondriaque".

    Ils se trouveront plongés dans une suite d'aventures permettant de mettre en valeur le pouvoir hilarant de ces duettistes.

    Vous passerez un moment sans "prise de tête", (d'ailleurs il n'y a pas de remède pour cela ...)

    Jean-Paul

  • Film "Yves Saint-Laurent"

    Bien sûr je me souvenais de ce personnage hors du commun, mondialement connu pour son génie donnant une image nouvelle à la mode française.

    Je me souvenais de ses apparitions furtives lors de la présentation de ses défilés retransmis à la télévision, et étonnamment de ce regard fuyant que je ne m'expliquais pas, venant d'une personne avec une telle notoriété ; (j'avoue n'avoir jamais eu la curiosité de lire d'articles à son sujet : a-t-on, par ailleurs, dévoilé ses démons ?)

    Si vous êtes comme moi, sans être obnubilées par la haute couture, je vous conseille ce film admirablement interprété, très touchant. Vous y accompagnerez ce créateur tout au long de sa vie qui n'a pas eu l'apparence des roses portées par ses mannequins !

    Ninette

  • Film "Le loup de Wall Street"

    La vie d'un trader surdoué, qui n'a peur de rien et devient l'un des hommes les plus riches de New York. Une vie de débauche, entraînée par la consommation de drogues, il court à sa déchéance et sa chute est spectaculaire.

    Film mené par Léonardo Di Caprio magistral, mais en VO, un langage vulgaire répétitif, scènes violentes et scabreuses n'apportent pas un plus au monde difficile qu'est celui de la finance.

    À voir par curiosité pour découvrir un certain milieu, sans penser que cela puisse réellement exister !

    Ninette

  • Théâtre "Le baiser de la Veuve"

    paris,théâtreLE BAISER DE LA VEUVE d'Israel Horovitz - Adaptation Eric Kahane
    Mise en scène Tony Le Guern.

    Théâtre 12 jusqu'au 7 décembre 2013

    Ce qui saute aux yeux dès les premières répliques des protagonistes - deux hommes dans un décor nu, lugubre, jonché de vieux journaux, c'est l'extraordinaire talent d'acteurs soutenant et transcendant un dialogue des plus quotidiens.

    Cela se maintiendra tout au long, l'apparition de la "Veuve" (Capucine Jaworski) fragile et sophistiquée, au jeu mesuré, à la voix presque faible convenant au personnage,ne faisant que mieux ressortir la verve gouailleuse et l'agilité corporelle de Toni Le Guern et Bruno Guillot.

    Est-ce cette réussite qui fait trouver banal le texte en soi ? On est amené à se  poser la question, malgré la carrière brillante de l'auteur américain.

    Sans doute les références  implicites aux grands maîtres peuvent-elles lui porter ombrage : ceux qui ont fait tout dire au "presque rien" du langage : Beckett, Ionesco, Adamov etc..

    Ici on a souvent l'impression que le texte tourne en rond, avec des redites, des insistances. Ces retours et redondances participent, certes, de la structure circulaire du drame : on passe et repasse par l'évocation de souvenirs scolaires, jamais au même niveau, pour s'approcher du nœud tragique de la  mémoire qui, mis à jour, déclenchera le meurtre final.

    La portée de ce retour au passé, hésitant et obsessionnel, est gravissime : les changements d'attitude des hommes entre eux et vis à vis de cette femme désirée qui, d'une certaine façon, les manipule parfois en des scènes étonnantes, voire choquantes, de coquetterie outrée, nous donnent à voir l'éternel conflit des deux genres : la femme, si elle n'attaque pas, reste une proie, et l'enjeu de la rivalité masculine. Si par son impudeur jouée elle caricature celle usuelle et considérée comme naturelle  des hommes, on ne la supporte plus. Si elle se contente d'être passivement objet de désir, les instincts se déchaînent. Ce jeu trop connu  avec ses avancées et ces reculs préfigure la révélation du "jeu" mortel qu'est le viol et que, ne pouvant en demander pardon, contrairement à Bobby, George voudra prolonger avec la même absence d'âme, ce qui poussera l'autre à l'éliminer comme le témoin et le témoignage de l'horreur à laquelle il a participé. Du coup, il perd tout : son ami et la femme  qu'il dit aimer depuis toujours.

    Cette peur de l'impuissance qui gouverne le sexe masculin s'aggrave de  la différence de classe : Bobby et George sont restés ouvriers, précaires, à la limite de la marginalité ; Betty est devenue une critique d'art célèbre. Cette réussite impardonnable exaspère chez eux passion et frustration.

    Le propos est terriblement actuel, féministe, humaniste. Reste sur le plan logique la question du motif du retour de cette victime qui dit au départ n'avoir pas envisagé de vengeance, et artistiquement, chez le spectateur, cette impression d'un texte un peu en deçà des intentions.

    Marie-Claire C

  • Jeux de société et de plateau

    Vendredi 9 aoùt 2013_Cap_d.jpgLe Carrefour des Associations Parisiennes et la ludothèque des Conseils de quartier du 12è arrondissement vous invitent à un après-midi jeux de société et de plateau, vendredi 9 août.

    Vous pourrez jouer à Génial, Linja, Poison, Rumis, Tasso, Take it easy, Can't stop, Unanimo, Time's Up, Saboteur, Mamma mia, Mixmo, Linq et bien d'autres.

    Vous ne les connaissez pas ! Nous serons à votre disposition pour vous les faire découvrir.

    Jeanet

  • Expo "Marie Laurencin"

    paris,expositionPour ceux, qui comme moi (à ma grande honte) ont tendance à confondre Berthe Morisot et Marie Laurencin, le Musée Marmottan Monet présente jusqu'au 21 juillet deux salles décorées par les peintures de Berthe Morisot et une magnifique exposition des oeuvres de Marie Laurencin.

    C'est une occasion qui ne se reproduira pas de sitôt de pouvoir comparer à satiété ces deux si belles artistes. N'hésitez pas, vous ne le regretterez pas.

    Jean-Paul

  • Expo "Le théorème de Néfertiti"

    Jusqu'au 8 septembre 2013 l'Institut de Monde Arabe propose une exposition qui soumet l'itinéraire d'une oeuvre d'art amenant la création des icônes: intitulée "Le théorème de Néfertiti".

    Je me dois de reconnaître que le raisonnement logique inhérant à tout théorème ne m'a guère convaincu, j'ai certainement zappé certains faits donnés ou certaines hypothèses.

    Il me reste cependant, (c'est le clou de la visite) la vision sur écran, de l'admirable tête de la souveraine égyptienne manipulée avec d'infimes précautions, afin de la placer sur un buste réalisé pour l'exposition.

    Cela mérite le déplacement.

    Jean-Paul