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Vos nouvelles, poèmes...

  • Juillet 2025

    Écrire sur la canicule
    Cela devient ridicule.
    On reçoit des informations
    À profusion sur l'évolution
    Suivent des conseils donnés
    En fonction des possibilités.
    Depuis plusieurs jours
    Le phénomène persiste
    Avec l'été tour à tour
    Bien sûr il résiste.

    C'est le temps des vacances à s'offrir
    Pour essayer de moins souffrir
    Mais pour qu'elle destination ?
    La chaleur envahit toute la France
    Ses proches pays voisins aussi !
    Chacun fait tout pour l'endurance
    Des humains, par cet évènement saisis.
    Piscines, rivières, lacs, mers sont appréciés
    Alors que la nature, cultures sont épuisées.
    Parfois le ciel envoie des pluies exagérées
    Ce qui créer des écoulements démesurés.

    Comment ne pas regretter
    Les saisons d'antan et leurs particularités,
    Leurs changements en douceur
    L'évolution pour la nature, un bonheur
    Le bien-être végétal
    Nécessaire pour la vie animale,
    Pour les humains, sa beauté en général
    Qu'ils ne se lassaient d'admirer

    Actuellement on recherche de l'aide, des actions
    Ventilateurs, brumisateurs, climatisation
    Repérer où trouver de la fraîcheur
    Au super-marché à toute heure
    Parcs et jardins ouverts, se dit
    Jusqu'à la tombée de la nuit !
    Mais quand on a pas ces possibilités
    Alors un peu de subtilité...
    Restent l'éventail, la douche, les glaces,
    Les boissons fraîches et j'en passe !
    Garder le moral, écouter la météo..Sic !
    Qui sera moins catastrophique
    Forcément deviendra sympathique.

    Alors que cet  écrit dormait
    Cette nuit, l'orage tonnait
    Une pluie abondante s'est versée
    Enfin pelouse, plantes se sont redressées
    Souhaitons que ces nuages bienfaiteurs
    Apportent à toutes les régions du bonheur.

             -°-°-°-°-°-°-°-°-

    Les jours passant disons
    C'est la désolation
    Sécheresse, chaleur évidemment
    Déclenchent dans un ultime élan
    Des feux qui se multiplient
    Attaquent forêts, coteaux de verdure et puis
    Détruisent des maisons
    De quoi perdre la raison,
    Jusqu'aux champs de blé
    Par la moissonneuse, brûlés !
    Comment, même non concernés
    Par tant d'horreur, ne pas être consternés.
    C'est l'été, se changer les idées
    Même en vacances on ne peut oublier
    Les tragédies, comme on le dit " C'est la vie" !

    Ninette

  • Poème "Herbert Léonard"

    Le chanteur romantique
    Avait une belle musique
    Et de bonnes paroles
    Quant elles s'envolent
    "Laissez nous rêver"

    Pendant les années quatre-vingt
    Quel bel homme,
    Une voix qui porte bien
    Sur scène il mettait la gomme.
    "Pour le plaisir"

    Des succès fous, beaux
    Entendre tous ses mots
    Profonds, des chansons entraînantes
    Quand il chante.
    "Puissance et gloire"

    Toujours impeccable
    Élégant, il était formidable
    Dans ses concerts tout en parlant
    À son public, étonnant !
    "Tu ne pourras plus jamais m'oublier"

                  -°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-

    Déjà les souvenirs  me  reviennent
    Avec plaisir, puissance et font rêver.

    Jean-Yves

  • La chandeleur

    Une réunion conviviale
    Des retrouvailles amicales
    Une coutume à Arvem
    Respectée, et que l'on aime
    Même s'il est demandé
    De faire un petit effort,
    Celui de confectionner
    Ce fameux réconfort,
    Les crêpes traditionnelles
    Empilées, pliées,fort belles
    Placées sur la table dorée
    Attendent d'être dégustées.

    Mais chaque chose en son temps,
    Il est annoncé auparavant
    Un sympa karaoké
    Comme l'année passée,
    Où des amateurs s'emploient
    À donner de la voix.
    L'assistance participe gentiment
    Applaudit, fredonne également,
    Entraînée par des refrains
    Connus plus ou moins.

    Mais le temps passe
    Grand bien nous fasse,
    Car le moment de tartiner
    Si attendu est enfin arrivé !
    Chacun de soi doit s'occuper
    Nutella, miel, confitures variées
    Cidre, jus de fruits au choix
    Font le bonheur des Arvemois
    Soignés comme "des rois".
    A sa place, retourner bavarder.

    Puis, sans aucun ordre soulevé,
    Beaucoup de gentils dévoués
    Un coup  de main ont donné
    Pour que la salle soit rangée.
    Quel bon souvenir à garder
    Pour cet après-midi passé.
    Un petit comte- rendu
    Pour ceux qui ne sont pas venus
    Absences volontaires ou empêchées
    Mais , forcément regrettées.

    Ninette

  • Poème "Flocon d'amour"

    Dans un jardin de bohème, 
    l'automne  a cédé la place
    à l'hiver qui, sous la glace
    a tué les chrysanthèmes.

    On dirait que toutes les fleurs,
    fauchées par ce froid brutal 
    ont perdu mille pétales
    comme blessées au champ d'honneur.

    Mais au hasard d'un massif,
    une fleur a résisté. 
    Elle se dresse avec fierté, 
    Lorelei sur son récif.

    Les saisons sont nos boussoles
    quand elles passent en farandole.

    Qui s'étonne de ce miracle ?
    Elle est seule dans ce jardin. 
    Elle aimerait voir son destin. 
    Elle ne voit que la débâcle. 

    Or, à la première neige,
    un flocon s'est égaré. 
    Il voit  la fleur esseulée, 
    et il s'est pris dans son piège. 

    Il en est très amoureux. 
    La fleur le trouve à son goût. 
    Ils voltigent, dansent  et jouent.
    Ils coulent des jours heureux.

    paris,hiver

     

     

     

     

     

     

     

    Les saisons sont nos boussoles
    quand elles passent en farandole.

    L'amour, un truc pour toujours 
    entre une fleur et un flocon
    qui, frappés par Cupidon
    ignorent le compte à rebours.

    Zut, Mars qui pointe son nez
    a eu raison du flocon
    qui s'est perdu tout au fond
    dans les pétales fanés.

    Une graine bien cachée,
    tout ça en catimini
    oh miracle de la vie,
    viendra saluer l'été.

    Les saisons sont nos boussoles
    quand elles passent en farandole.

    On ne défie pas les saisons, 
    mais je crois que pour décembre, 
    dans un recoin de ma chambre
    un flocon fera floraison..

    Marie f

     

  • Nouvelle " Le bousculeur d’attente."

    Alphonse, surnommé le fonceur est bien connu au pays des marmottes ; ceux qui attendent depuis longtemps, les patients, les timides, les résignés préfèrent l’ignorer. 

    Comme tous les jours, Alphonse le bousculeur se sent bien seul sur la place de la République à l’heure de la sieste, il y a tant à faire dans cette ville endormie, mais il a besoin d’un coup de main. Son but est d’apporter de nouvelles idées, bousculer l’ordre établi depuis des années, il veut persuader ceux qui attendent, qu’il est dommage de rester passif en laissant le temps passer, c’est du temps perdu à jamais, il a bien l’intention de les secouer.

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  • Poème "La terre se fâche"

    A force de vouloir la transformer,
    La terre va se fâcher.
    Partout voir supprimer ses espaces
    Même pour les cultiver
    La terre va se fâcher.
    Les constructions innombrables
    Les béton, le bitume pas inébranlables

    La terre va se fâcher.
    À force de puiser ses ressources
    L'eau manque aux sources,
    Les hommes ne la respectent plus.
    Ils envahissent même le ciel en vue
    De découvrir d'autres territoires,
    Salissent les mers c'est notoire,
    Tout cela par la technologie, total abus !

    Les guerres répandues la font frémir
    Elle ne pense qu'à réagir.
    Une bonne leçon à donner
    À ces  humains débridés,
    Qui depuis longtemps la détruisent.
    Alors maintenant elle s'active
    Elle commence vraiment à se fâcher.

    De plus en plus réchauffe l'atmosphère
    Fait fondre les glaciers millénaires,
    Dispersés dans divers pays
    Se multiplient d'énormes incendies,
    Puis les ouragans bousculent l'air
    Les orages se succèdent à la clé
    Ils  inondent sans pitié.

    Elle ne maîtrise plus sa colère
    Passe aux tremblements de terre
    Plus forts, c'est donc un rappel
    Qu'elle lance, afin que nous admettions
    La naissance d'une  ère nouvelle
    À maîtriser, que nous vivrons !
    Pauvre terre ! On t'aime pourtant
    On te voudrait si belle encore longtemps !

    Ninette