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Atelier d'écriture - Page 3

  • "Quand on aime, on ne compte pas" !!!  

    Alors avant les vacances, les adeptes de l’atelier d’écriture, nous nous sommes retrouvés, pour une "dernière avant les vacances" !  

    Mais celles-ci, ne sont pas loin, alors nous désertons notre salle pourtant réservée, pour nous installer dans le jardin. Certes celui-ci donne sur la rue, mais qu’importe, à l’ombre, sous les barnums, installés sous les figuiers, il faisait bon, avec juste un peu d’air. Donc stylo, crayon, en main, nous voilà suivant Yves, l’animateur du jour, à écrire un texte, sur Paris ! Avec certaines contraintes. Ce texte doit impérativement commencer par le titre d’une chanson, sur Paris, et finir par le titre "Ça c’est Paris" 

    Nous partons en vacances en chantant…Et vive la rentrée !!! (Attention, il existe plusieurs comptines à son sujet).  

    Arletteck

  • Atelier écriture "8 mots ouvrage Jean-Louis Fournier "

    Chaque écrivant choisit un ouvrage de Jean-Louis Fournier  (auteur entre autres) des dialogues des Shadoks.
    Chacun choisit un texte (1 page)
    Chacun lit son texte et explique son choix en précisant le titre
    Chacun sélectionne 8 mots et écrit une histoire incluant ces 8 mots.
    N.B. le texte doit être précédé d'un titre

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  • Atelier écriture  "Choisir un objet qu’on aime et dire pourquoi"

    J’aime mon stylo. Il est le prolongement de moi, de ma pensée et… même de mon style !

    Il traduit mon agacement, mon énervement ou mon plaisir d’écrire.

    Même quand j’écris quelques lettres dans des mots croisés ou quelques chiffres dans un Sudoku, il traduit la certitude de ce que j’écris ou, au contraire, mon doute.

    Le mot écrit n’est pas forcément l’image de ce que je ressens. Mais l’encre devient l’expression de mon cerveau.

    Écrire en majuscules est grand, mais écrire en minuscules, n’est pas petit.

    Toujours un stylo et un bloc-notes, son acolyte, dans ma poche. Je prends mon stylo dès que j’en éprouve le besoin pour exprimer mon ressenti du moment. 

    J’ai plusieurs stylos aimés : l’un pour écrire très vite, traduire mes angoisses, mes problèmes, un autre, plus léger, pour laisser vagabonder mon imagination. Et aussi, un stylo à 4 couleurs, pour tricher un peu, chaque couleur pouvant exprimer mon état d’âme : le vert, le calme ; le rouge, la colère ; le bleu, la sérénité ; et le noir, le sérieux. Dans ce cas, l’écriture et le graphisme passe au second plan. Bref, mes stylos m’en font voir de toutes les couleurs.

    Jean O.

  • 2 - Atelier écriture "Hsitoire sur les rues du 12ème"

    Balade dans le 12ème

    Quand la Belle Gabrielle est descendue de sa tourelle (Tourelles), elle s'est précipitée vers l'allée des Merisiers car elle avait rendez-vous avec Joseph Challey. Il est l'heureux élu de son cœur. Bien qu'il soit un peu rondelet,(Rondelet) elle l'adore.

    Sous les arbres qui forment un fond vert (Fonds Verts) , Gabrielle et Joseph ont tremblé( Tremblay) tant leur passion est forte.

    Le fruit de leur amour s'appelle Louis. Il y a un problème : Louis braille (Louis Braille) pour un oui ou pour un non.

    Pour la fête des mères, Joseph a offert le roman le Lion de Kessel  (Lyon, Joseph Kessel) à sa chérie. Elle lui a dit Bercy. (merci).

    Gabrielle est fière du travail de ses Jardiniers car elle a décidé de créer une allée Traversière pour se rendre à Rambouillet.

    C'est une grande voyageuse : elle connaît Madagascar, le Gabon, Capri comme sa poche. Ce qui ne l'empêche pas d'apprécier Marseille, sa Cannebière et même Fécamp.

    Elle regrette que Joseph ne soit pas très élégant : il a toujours une veste râpée (Râpée). Il a quelque chose de Van Gogh ….. sans le talent mais il cuisine de bons petits plats dignes d'Escoffier. Ce n'est qu'Audubon.(que du bon)

    Parfois Gabrielle sert de gâte-sauce et pour l'encourager Joseph lui dit :" Vas-y, Tourneux un peu".(tourne un peu).

    Quand il trop fatigué, il s'écroule de sommeil. Il a un peu honte. Mais, Gabrielle le rassure :

    -"Mais si dors (Messidor), mon petit Meunier (Meuniers) tu dors !Allez, fais quand (Fécamp) tu  veux, mon galérien d'amour."

    Saint-Émilion, tous les soirs, dans les bras de sa dulcinée.

    Marie Dp