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Atelier d'écriture - Page 5

  • 2 - Atelier écriture "Hsitoire sur les rues du 12ème"

    Balade dans le 12ème

    Quand la Belle Gabrielle est descendue de sa tourelle (Tourelles), elle s'est précipitée vers l'allée des Merisiers car elle avait rendez-vous avec Joseph Challey. Il est l'heureux élu de son cœur. Bien qu'il soit un peu rondelet,(Rondelet) elle l'adore.

    Sous les arbres qui forment un fond vert (Fonds Verts) , Gabrielle et Joseph ont tremblé( Tremblay) tant leur passion est forte.

    Le fruit de leur amour s'appelle Louis. Il y a un problème : Louis braille (Louis Braille) pour un oui ou pour un non.

    Pour la fête des mères, Joseph a offert le roman le Lion de Kessel  (Lyon, Joseph Kessel) à sa chérie. Elle lui a dit Bercy. (merci).

    Gabrielle est fière du travail de ses Jardiniers car elle a décidé de créer une allée Traversière pour se rendre à Rambouillet.

    C'est une grande voyageuse : elle connaît Madagascar, le Gabon, Capri comme sa poche. Ce qui ne l'empêche pas d'apprécier Marseille, sa Cannebière et même Fécamp.

    Elle regrette que Joseph ne soit pas très élégant : il a toujours une veste râpée (Râpée). Il a quelque chose de Van Gogh ….. sans le talent mais il cuisine de bons petits plats dignes d'Escoffier. Ce n'est qu'Audubon.(que du bon)

    Parfois Gabrielle sert de gâte-sauce et pour l'encourager Joseph lui dit :" Vas-y, Tourneux un peu".(tourne un peu).

    Quand il trop fatigué, il s'écroule de sommeil. Il a un peu honte. Mais, Gabrielle le rassure :

    -"Mais si dors (Messidor), mon petit Meunier (Meuniers) tu dors !Allez, fais quand (Fécamp) tu  veux, mon galérien d'amour."

    Saint-Émilion, tous les soirs, dans les bras de sa dulcinée.

    Marie Dp

  • Atelier écriture "Choisir un proverbe parmi 3 de Jean de La Fontaine et écrire un texte"

    Thème : Choisir un proverbe parmi 3 de Jean de La Fontaine et écrire un texte.

    • La grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf).
    • Rien ne sert de courir il faut partir à point. (Le lièvre et la tortue).
    • On a souvent besoin d’un plus petit que soi. (Le lion et le rat).

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  • Atelier écriture "Alphabet des choses qui ....."

    Thème : Alphabet des choses qui vous font rire

    - Allergie : Tranquille, au restaurant, en allant payer devant le comptoir, un miroir devant moi… J’avais plein de boutons sur le visage… Comme une coccinelle en rouge

    - Biberon : On m’a offert un chaton qui venait de naitre. J’ai acheté un biberon pour le nourrir en liquide

    - Chiot : Gamin, en allant à l’école, je prenais le bus avec mon chiot dans le cartable. Sa queue dépassait, personne n’a gueulé

    - Dortoirs : En colo, au coucher, on faisait des batailles de polochons

    - Électricité : En bricolant, j’ai pris une décharge. Mes cheveux se sont dressés comme des épingles

    - Ferme : Il pleuvait, en courant sur l’herbe, j’ai glissé. Atterrissage sur une bouse de vache

    - Gargouille : Devant Notre Dame de Paris j’attend qu’il pleuve pour voir l’eau jaillir de la gueule des gargouilles

    - Honte : Après une soirée bien arrosée, je n’arrêtais pas de rigoler et raconter des conneries... La honte de ma vie

    - Intrigue : Hêtre ou ne pas être… Combien de façon de l’écrire… Je me demande et n’arrête pas de me le demander

    - Jambon : Je suis allé à Bayonne. J’ai rencontré plein de gens bons, je n’en ai même pas mangé une tranche

    - K : Kiki a quitté KOKO car KOKO rit sur KIKI

    Yvesck

  • Atelier écriture "Madeleine de Proust"

    Thème : Quel est votre Madeleine de Proust

    À chaque passage devant ces stations toujours occupées par ces engins symbolisant les déplacements, courts ou longs, les voyages dirigés par l’être humain qui les commande... À l’intérieur de ces engins de formes, tailles et hauteurs différentes, une odeur m’imprègne… Elle me ramène à plus de trente ans.

    Dans ces machines que j’exploitais pour mieux les connaitre, je m’éclatais de bonheur en mettant les mains pour les réparer ou les entretenir. Cette odeur caractéristique qui rendait mes mains noires parfois jusqu’au visage, c’était l’huile de moteur, le cambouis. Ces mécaniques en mouvement faisaient chauffer ces huiles de viscosité différentes et il en sortait une odeur bien particulière qui m’a marqué et me marquera toujours.

    Yvesck