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Activités Arvem

  • Discussion "L'Amiral Darlan"

    Origine

    Né à Nérac en 1881 d'une famille de marins. Son arrière grand-père était sur le bateau "Le Redoutable" d'où a été tiré un coup de feu tuant Nelson, amiral anglais, à la bataille de Trafalgar en 1805.

    Son père était maire de Nérac et député du Lot et Garonne.

    Son destin

    paris,conférence,darlanMilitaire, politicien, en cette période de conflit entre la France et l'Allemagne. Il fut commandant de la flotte française de 1936  à 1940, en collaboration et succession (dauphin) de Pétain.

    La France est divisée : certains sont pour Pétain, d'autres sont opposés.

    Après le débarquement en novembre 1942 anglo-américain en Afrique du Nord, les américains avaient le choix entre De Gaulle, Giraud, Darlan pour prendre le commandement des troupes françaises sur ce territoire.

    C'est Darlan qui fut choisi, mais considéré comme traitre par son passé  de collabo. Un mois plus tard  il fut assassiné le 24 décembre 1942 à la suite d'un complot monarchiste. Il avait été pensé que le comte  de Paris pouvait remplacer Darlan devenu gênant, car collabo aux yeux des partisans de la "France Libre".

    L'exécutant, un jeune homme de 20 ans, tiré au sort et manipulé sera lui-même exécuté le 26 décembre 1942 à 7h30 du matin.

    O/O/O/O/O/O/O

    Durant cette conférence nous avons écouté le développement détaillé, donné  avec passion mais abominablement compliqué de cette période d'occupation allemande avec une collaboration acceptée par certains, rejetée par d'autres, le tout mené par de nombreux hommes politiques et autres, tels que : Pétain, Laval, Giraud, De Gaulle, Darlan,, Daladier, Mandel, Bousquet, le comte de Paris, Bonnier de la Chapelle, Noguès, les frères d'Astier de la Vigerie résistants....

    O/O/O/O/O/O/O

    Pour beaucoup d'entre-nous ces noms  ont fait remonter notre enfance. Aussi nous sommes prêts pour le prochain exposé, le passé rejoignant quelque peu le présent !...

    Ninette

  • Discussion "Sarah Bernhardt"

    paris,sarah bernhardtNée "Rosine Bernard" automne 1844 (septembre ou octobre, la date est imprécise car les papiers officiels ont brûlés en 1871 sous la Commune)

    Sa mère Julie Bernard hollandaise  demie-mondaine, réfugiée à Paris avec sa fille. Sarah petite fille est envoyée en nourrice à Quimperlé, puis au couvent de Granchamps" à Versailles.  À ses 11 ans, naissance de sa sœur Régina.  Elle envisagea d'être religieuse.

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  • Programme avril 2024

    Tarot, Scrabble, Bridge

    • Lundi 8, 15 & 22 avril à 18h30
    • Samedi 13 avril à 10h30

    Lundi 15 avril à 18h15

    • Chaque participant anime une fois par mois l'atelier d’écriture.
    • Ce mois-ci l'atelier est animé par Jeano

    Mardi 16 avril à 18h

    • Billard américain

    Samedi 13 avril à 14h30

    • Discussion de Jean-Paul : L'Amiral Darlan

    Samedi 27 avril à 9h

    • Journée en Seine & Marne

    Lundi 29 avril à 18h30

    • Parlons films avec Martine "Sidonie au Japon"
  • Atelier écriture "Lipogramme"

    Thème : Faire un lipogramme en "i", (sans "i"),

    Je chante de bonheur, les vacances sont là. Le bateau est prêt à prendre la mer. Je pars abandonnant tout, seule sur ma frégate. Le retour ? Bof, cela se fera certes un jour, lorsque la tête chargée de bons moments sans regrets de les abonner à leur tous pour d’autres rêves et nouvelles aventures.

    Arletteck

  • Atelier écriture "Une bétise de l'enfance"

    Crêpes flambées.jpgLes crêpes au Grand Marnier des cousines

    J'ai 14 ans. Je suis en vacances avec mes deux cousines de 13 et 10 ans.

    Soudain, je m'interroge.

    - Nous pourrions préparer des crêpes flambées  !

    Aussitôt dit, aussitôt fait. La bouteille de Grand Marnier est pratiquement pleine.

    La pâte est prête. Nous y ajoutons le Grand Marnier de façon généreuse. Puis nous arrosons copieusement les crêpes de ce nectar chauffé.

    Et par le miracle d'une allumette, nous y mettons le feu. Une vraie magie !

    Et nous nous régalons.

    Au final, nous décidons de déguster un petit verre de Grand Marnier. J'avoue que c'est moi qui ai lancé l'idée. Mais l'enthousiasme de mes cousines est réel.

    Un petit verre si petit qu'il est suivi d'un autre.

    C'est l'euphorie. Nous sommes légèrement "pompettes".

    Au moment de ranger, nous constatons avec horreur que la bouteille de grand Marnier est presque vide.

    Ma petite cousine pleure :

    - Maman va nous punir.

    Je suis ennuyée. Je redescends sur terre.

    - Mais non, elle ne dira rien. J'ai une idée.

    J'ai rempli la bouteille au trois-quarts avec de l'eau du robinet. Après tout, nous sommes à Luchon, ville thermale par excellence et l'eau du robinet est prisée pour sa qualité.

    J'ai reposé la bouteille sur son étagère.

    - Tu vois Régine, ça ne se voit pas.

    Nous avons rangé la cuisine et gardé quelques crêpes nature pour ma tante et mon petit cousin qui suivait une cure pour ses problèmes ORL.

    Nous leur proposerons de la confiture, du sucre ou du miel et nous dresserons une jolie table.

    J'ignore le sort de la bouteille de Grand Marnier mais je n'ai jamais eu d'écho sur cet épisode peu reluisant de mon adolescence.

    Mais quel régal !

    Marie Dp

     

  • Chana Orloff, au Musée Zadkine 

    Chana Orloff, est venue de Palestine, à Paris en 1905, après avoir fuis les tsars russes de l’Ukraine actuelle. Son but initial, était les grandes écoles de couture, mais elle attrape à pleine mains la sculpture. Milieu réservé aux hommes à l’époque, elle trouvera sa place, surtout grâce à son style, bien particulier !!! Le portrait ! 

    Non pas la caricature, mais elle met en évidence l’aspect particulier du personnage, sans chercher à l’exagérer.

    À la naissance de son fils, certains lui affirmeront, qu’il sera une entrave à sa carrière. Soutenant qu’une femme, artiste, et mère dans le milieu de la sculpture ! elle rétorquera "que la création d’un enfant, ne peut qu’enrichir ses œuvres". Elle n’abandonne donc rien de sa passion, pas même après le décès de son conjoint, restant seule avec un enfant de 1 an. 

    paris,chana orloff,expoHormis les portraits, son thème favori est (bizarre !) la maternité, la mère et l’enfant. Nombre de ses œuvres représentent son fils surnommé Didi. "Mon fils Marin" prône Place des Droits de l’enfant, près de son atelier Villa Seurat, dans XIVème 

    Ses œuvres, sont de taille humaine, lisses et soyeuses, j’ai presque envie de les caresser, et de les prendre dans les bras… 

    paris,chana orloff,expo

    Le buste de Gaston Picard, sérieux, et droit, un peu étriquée dans un costume 3 pièces…. N’a-t-il pas la tête d'un journaliste ?

    paris,chana orloff,expoUn peu plus loin, cette jeune enfant, les mains dans ses cheveux bouclés…. Des fois qu’elle ait un air de famille avec Ida Chagall ? (Voir Ida à la fenêtre de Marc Chagall).

    Et puis, cette autre sculpture représentant Kundig (imprimeur et libraire à Genève …)  Avez-vous remarqué son regard ? J’insiste !

    paris,chana orloff,expo

    Avez-vous déjà vue une sculpture, et remarqué la pupille de son œil un peu espiègle au travers de ces lunettes ? Juste pour lire entre les lignes…. 

    Chana Orloff, fera quelques petites œuvres "pour mettre dans la poche" dira-t-elle…

    Sentait-elle la folie monter ? Quand, mi-juillet 1942, un policier de son quartier, qu’elle croise, lui conseille discrètement, "de ne pas rentrer chez elle, de partir, mais de ne pas reveparis,chana orloff,exponir".  

    Après ce "voyage contraint", elle se remet au travail. Ses œuvres sont rudes, granuleuse… La guerre est passée par là. Cette 1ère œuvre après avoir regagné son atelier en 1945, se nomme "Le Retour" (on ne pouvait pas trouver mieux) L’homme est assis, sur une chaise, tenant la tête dans les mains.

    Cette sculpture est une rare expression de douleur dans toute son œuvre, elle la cachera sous un drap pendant des années.

    paris,chana orloff,expoLa maternité restera son sujet préféré, "Maternité allaitante" date de 1949, mais encore rude et comme accidenté, style qu’elle a adopté après la guerre.

    Et puis récemment, après 80 ans d’errance, dont 18 ans de démarches, juridiques 

    "L’enfant Didi" "est rentré, à la maison", œuvre spoliée il avait disparu comme, 147 autres œuvres de Chana Orloff, seule deux ont été restituées. paris,chana orloff,expo

    Le Ministère de la Culture à crée une série de podcaste concernant les œuvres art spoliées, et facilité leur retour, deux concernent cette sculptrice….

    Et si la curiosité vous appelle…. Certaine de ses œuvres sont présentées régulièrement au sein d’expositions particulières. Mais plus encore son atelier-musée, géré par ses deux petits-enfants, Villa Seurat est accessible pour des visites.  

    Arletteck

     © Photos 2024 by Arletteck

     

     

  • Atelier écriture "Lipogramme en "i"

    Thème :  Faire un lipogramme en "i", (sans "i"),

    Je chante de bonheur, les vacances sont là. Le bateau est prêt à prendre la mer. Je pars abandonnant tout, seule sur ma frégate. Le retour ? Bof, cela se fera certes un jour, lorsque la tête chargée de bons moments sans regrets de les abonner à leur tous pour d’autres rêves et nouvelles aventures.

    Arletteck

  • Parlons film ?

    Début de la séance 18h15 (petite salle du 1er).

    Nous étions 6 personnes : Nicole, Annick, Élisabeth, Jacqueline, Patricia et moi.

    J'ai présenté le film "Sous le vent des marquises" (réalisateur, producteur, acteurs, tournage, synopsis). Chacune a pris la parole à tour de rôle (sur les 5 adhérentes, 1 n'avait pas vu le film). Les avis étaient tous négatifs : déception car nous pensions assister à la vie de Jacques Brel, ce qui n'est pas le cas. Même pas une chanson de J. Brel ! Nous en sommes venues à parler des derniers films que nous avions vus. J'étais satisfaite car nos échanges ont tourné exclusivement autour du cinéma, et chaque personne a respecté la parole de l'autre (une règle que j'avais posée au 1er "Parlons film").

    La séance à pris fin vers 19h35.

    MartineC