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  • Fête de la musique

    Clé_sol.jpgLa chorale du centre Maurice Ravel

    se produira le mardi 20 juin 2017 à 20 heures

    avec un tout nouveau répertoire,

    sous la houlette de sa chef, Charlotte Wassy.

    Venez nombreux pour nous encourager …

    Galerie Maurice Ravel
    CISP
    6, avenue Maurice Ravel
    75012 PARIS

    Colette C

  • Petite chronique ornithologique des Marguettes : Printemps 2017

    Le printemps (*) est à nouveau revenu aux Marguettes. Alléluia ! Le jardin a refleuri, depuis les premiers perce-neiges en février, puis une forêt de primevères, de pâquerettes, les forsythias, les lilas, les arbres de Judée, les orangers du Mexique ,les iris, les giroflées, les rosiers, les chorettes…

    À la fenêtre sur jardin, nous observons la présence constante des habitués : pigeons, merles et les inévitables geais, implacables et insatiables.

    Duels traditionnels entre les trois volatiles susnommés pour une boulette de pain au lait. Devinez qui gagne ? Comme l’Allemagne en football, à la fin, c’est toujours le geai qui gagne !

    Mais ces geais sont en train de nous mener à la ruine… c’est une noria permanente du matin jusqu’au soir pour quémander de la nourriture, jusqu’à se percher sur les jardinières et taper aux carreaux avec leurs puissants becs. Curieusement, ils refusent en ce moment les cacahouètes et réclament des boulettes de pain au lait : c’est la preuve qu’ils ont une nichée à nourrir.

    Mais il y a des absents : le magnifique pic vert n’est pas encore venu déterrer les fourmis dans la pelouse et nous n’avons pas vu de rouge-gorge, ni de mésanges.

    Les moineaux se font rares : cela illustre malheureusement le phénomène signalé de désertification de la capitale par les oiseaux. Les moineaux mangeurs de pucerons des rosiers sont pourtant les bienvenus !

    Voyons maintenant à la fenêtre sur cour : alors que la nouvelle rangée de cytises est en belles fleurs jaunes, un nouvel artiste a fait son entrée : surnommé Pioupiou, en raison de son chant perpétuel. Il veille en permanence sur le du haut du mur et plonge dès qu’il voit la Madone des oiseaux à la fenêtre. Il attrape en vol les boulettes qui lui sont lancées, accompagné parfois d’un acolyte, un copain ou une copine.

    Mais aujourd’hui, bonne surprise : de sous un buisson s’envolent trois mésanges bleues, qui se régalent des cacahouètes qu’elles reçoivent immédiatement.

    Ainsi va la vie de nos chers oiseaux, aux Marguettes, fidèles, drôles, querelleurs, toujours présents pour notre bonheur.

    Jacques et Nicole

    (*) Chronique Printemps 2016

  • Discussion "Les Croisades et les Templiers"

    Avant l'excursion vers Gisors où des Templiers ont été emprisonnés et où l'on soupçonne qu'un trésor y était caché, nous avons été mis en condition dans le contexte des XIe au XIVe siècles, périodes des croisades et naissance de l'Ordre des Templiers.

    Prenons le bâton de pèlerin pour un retour sur ces évènements par un raccourci, car la route est longue pour se rendre jusqu'à Jérusalem, afin de reconquérir des territoires destinés aux chrétiens.

    Si les Turcs n'avaient pas vaincu les Byzantins en 1071 ni acquis Jérusalem en 1076, rien serait arrivé....

    En 1095 le pape Urbain II prêche à Clermont pour que les chrétiens partent en croisade. S'engageaient plutôt les cadets d'une famille et les seigneurs, par croyance, le goût de l'aventure, et en rémission des péchés.

    Les croisades
    La 1ere croisade en 1096. "Croisade des pauvres gens" occasionne beaucoup de massacres sur le parcours, il n'était pas bon être juif, païen, qui bien sûr, en retour, attaquent les envahisseurs. Godefroy de Bouillon en est le chef parmi d'autres. Pour participer il fallait faire 1 vœu, porter une croix, avoir de l'argent. Aidé par l'empereur de Constantinople, contre serment de rendre les terres prises, celui-ci donne or et argent. Mais ce n'était pas une partie de plaisir, durant le siège de 10 mois à Antioche, ils connaitront la famine, la mortalité, la désertion pour certains.  lire la suite ICI

    Les Templiers
    Lors de la 1ere croisade, le seigneur Hugues de Payns, constate qu'il reste peu de croisés à Jérusalem. Autour de l'an 1118 une question se pose :

    Qui va protéger les pèlerins ? Il faut un Ordre de chevalerie au service de la chrétienté, donc mi-moine, mi-soldat.

    Pourquoi ce nom ? Lire la suite ICI

    1946 Roger Lhomoy jardinier, gardien à Gisors obsédé par l'idée d'un trésor caché sous le donjon a creusé, sans sécurité, la terre sur une profondeur de plusieurs dizaines de mètres jusqu'au moment où les parois s'effondrent lui brisant une jambe. À sa guérison il reprend ses fouilles, tombe sur une salle et dit qu'il a découvert un "spectacle fantastique" comme une sorte de chapelle avec des sarcophages, des statues.

    1962 Malraux au Ministère de la Culture fait des recherches : en vain.

    1964 Mesmer au Ministère des Armées fait des fouilles : en vain, fait reboucher.

    2017 Donc ARVEM à son tour part en exploration pour trouver enfin le mystérieux trésor, connaissant le courage et la curiosité de ses "pratiquants" sensibilisés et même dynamisés à la suite de cette conférence.

    À suivre

    Ninette

  • Lire "Filles à papa"

    paris,livreLorraine Kaltenbach nous livre dans ce passionnant "Filles à papa" plus de quatre-vingts récits contant les relations parfois difficiles entre des pères célèbres ou méconnus et leurs filles.

    Vu leur nombre chaque histoire est courte et nous laisse souvent sur notre faim demandant à être complètée par d'autres lectures plus approfondies.

    On côtoie ainsi (dans le désordre) : Louise Michel et Olympe de Gouges, Lucrèce Borgia et Léopoldine Hugo, Brigitte Bardot et Rita Hayworth.... (j'en passe et de meilleures).

    La liste de ces duos père-fille méconnus ou qui ont marqué l'histoire se révèle d'un très grand intérêt.

    Jean-Paul

  • Bons baisers du grand bouddha de la Grande pagode du bois de Vincennes

    paris,bois vincennes- ancien pavillon du Cameroun de l’exposition coloniale de 1931-

    En ce dimanche 21 mai 2017 où nous avons assisté et participé à la grande fête bouddhiste du Vesak, qui rappelle les trois étapes fondamentales de la vie du Bouddha : la naissance (Il y a 1641 ans) l’éveil et la mort .

    La fête était placée sous le signe du Sri Lanka, car une relique exposée dans le temple, dans un flacon de cristal, était, nous a-t-on dit, une authentique relique du saint homme, venant de ce pays.

    Par bonheur, il faisait un temps magnifique, ciel bleu et magnifiques cumulus blanc de neige, avec un peu de fraîcheur.

    paris,bois vincennesCela faisait plusieurs années que nous n’étions pas revenus faire nos grâces au plus grand Bouddha d’Europe (9 m, couvert de feuilles d’or). Nous avons tout d’abord été étonnés de constater une affluence réduite par rapport au passé, avec quelques rares boutiques proposant à la fois des souvenirs, des boissons et de la nourriture et aussi de la nourriture spirituelle : livres, albums, instruments de prière etc. Mais au fil de la journée les spectateurs sont cependant venus de plus en plus nombreux.

    Nous avons vite compris la raison de ce changement : l’accès en voiture pour les particuliers est désormais interdit. D’ailleurs, nous sommes venus à pied depuis la route qui conduit à Charenton, en longeant le lac Daumesnil, où les premières barques avaient fait leur apparition.

    Nous avons eu la chance, après nous être sustentés de quelques nourritures asiatiques, d’assister à une fort jolie procession des fidèles, avec en tête des petites filles toutes vêtues de blanc et portant des offrandes de fleurs et de fruits. Leurs mères suivaient, également en tenue immaculée, ensuite des jeunes filles battant du tambour, puis venaient les hommes, avec quelques moines enveloppées dans leur vêtement orange et enfin les civils, hommes et femmes. Tout ce petit monde portait le drapeau international du bouddhisme aux cinq couleurs en bandes horizontales : rouge, bleu, jaune, vert et blanc.

    Un éléphant en bois, monté sur roulettes, fermait la marche.

    Les 9,10 et 11 juin prochain aura lieu en ce même lieu la traditionnelle fête du Tibet et des peuples de l’Himalaya, un grand classique de la pagode. Elle vaut le voyage. N’hésitez pas !

    Jacques et Nicole