Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Programme Février 2015

    Jeux de société
    Vous cherchez des partenaires, vous désirez vous initier ! Venez nous rejoindre.

    Scrabble, tarot, belote
    Lundis 9, 16 et 23 février de 18h30 à 21h30
    Samedi 14 février à 10h30

    Bridge
    Lundi 16 & 23 février de 18h30 à 21h30

    Échecs
    Lundi 16 février de 18h30 à 21h30

    Lundi 2 février à 18h30
    Atelier photo : Pour ce 2è atelier nous vous invitons à une approche du portrait.

    Mardi 3 février à 18h30
    Billard

    Mardi 10 février à 20h30
    Spectacle  "Splendeur et misère de la vie parisienne"

    Samedi 14 février à 14h30
    Discussion de Jean-Paul : L'affaire Dreyfus

    Samedi 21 février à 9h45
    Visite guidée "La Sorbonne"

    Lundi 23 février à 19h
    Atelier d'écriture

  • Hôtel Kergolay-Langsdorff

    CIMG3617.JPGCIMG3583.JPG

     

     

     

     

     


    Si comme Jeannette vous faites un jour une pérégrination sur "Internet" et tombez sur le site n'hésitez pas, poursuivez vos investigations, vous serez incités à vous rendre avec vos amis au 9 rue de l'Amiral d'Estaing 75016 dans un hôtel édifié dans les années 1890 par l'architecte Paul Ernest Sanson, pour le Comte Pierre de Kergolay député de la Haute-Loire, descendant du général Marquis de Caulaincourt Duc de Vicence, grand écuyer de Napoléon.

    CIMG3607b.jpgUn de ses héritiers se fera un plaisir de vous faire visiter cette maison de famille, témoignage authentique de l'architecture et du cadre de vie de la Belle Époque, abritant une intéressante collection de tableaux et des souvenirs historiques napoléoniens (superbe camée donné par l'Empereur en avril 1814, lettres, manuscrites...)

    Le guide est particulièrement aimable, répondant à toutes vos questions, le cadre est enchanteur, le goûter de clôture succulent. Que demander de plus? Bravo Jeannette zappe encore !

    Jean-Paul

  • Atelier d'écriture "16 mots dont 3 obligatoires"

    Choix de trois mots obligatoires à intégrer dans un court texte tirés de la liste ci-dessous, après plusieurs tours de table.

    Rebondissement, couverture, sommet, patience, mirliton, groupe, sérénade, été, océan, galère, frileuse, attention, starter, friandise, cadeau, fanfreluche, loup, peur.

    Rebondissement – sérénade – fanfreluche

    Il faisait un froid de loup ce lundi 22 décembre à 8h. Romuald appuya sur le starter de son véhicule. Patience, patience. Sa voiture, une vieille Volvo poussive, récalcitrante, ne voulait pas démarrer.

    La neige, qui tombait depuis ce matin, formait comme un immense océan de blancheur ouatine. Brrr ! Nous ne sommes pas en été pensa Romuald, frileux. Son attention se porta sur la couverture rose molletonnée garnissant le siège, côté passager.

    Sa femme, Maria, lui avait fait la sérénade avant son départ. Surtout, qu'il était prévu une grande tournée, afin de livrer ses friandises et bonbons de chocolat, à 100kms de son domicile, aux commerçants qui les vendraient pour les fêtes de fin d'année. Il prit la couverture et la déposa, sur ses genoux. Il ne tremblait pas de peur mais de froid. Ce n'était pas du luxe, ni même une vulgaire fanfreluche frangée. Non, c'était un cadeau. Il lui avait été offert au cours d'une réunion de travail, un rebondissement, un pari de groupe, par ses collègues. Une soirée largement arrosée de whisky, où ils avaient tous, en se concertant du coin de l'œil, soufflé dans des mirlitons multicolores. Ce fut une vraie galère que ce rassemblement au sommet !

    Jacqueline F.

    PS. Affûtez vos quinquets et amusez-vous à compter les 16 mots de la liste figurant dans le texte.

     

  • Lire "Soumission"

    paris,livreFrançois, le narrateur de "Soumission" le livre de Michel Houellebecq est un professeur de la Sorbonne spécialiste de Huysmans écrivain du XIXeme siècle qui comme lui, se convertit à 44 ans.

    Vous avez droit à la vie intime de François (sa vie sexuelle, ses nourritures terrestres) et les raisons de sa conversion à la religion musulmane. Tout ceci se passe en 2022. Il nous reste donc 7 ans pour voir si Michel Houellebecq aura été un prophète lucide et avisé.

    Un livre qui mérite, pour le moins, réflexion.

    Jean-Paul

  • Statue de la Porte dorée

    Expo intern coloniale 1931.jpg

    La statue d’Athéna, réalisée par Léon Drivier, qui surplombe aujourd’hui la fontaine de la Porte Dorée, était à l’origine présentée sur les marches du Palais. Déesse des arts, de l’industrie et de la guerre, cette statue, haute de cinq mètres, coiffée d’un casque gaulois symbolise la France coloniale et impériale.

    Statue pte dorée_léon Drivier.jpg

     

     

    Elle sera déplacée, après l’exposition coloniale sur la place Edouard Renard dans l’axe de la Porte Dorée.

    Jeanet

     

  • À la cour d'Arvem

    En ce samedi de janvier d'autres Rois et Reines allaient être sacrés autour du buffet traditionnel, mais ceux-là, des plus pacifiques (ayant évolués au fil des siècles) osaient porter la couronne de pacotille, faisant face à leur responsabilité, celle d'engager leurs gens de Cour, à se désaltérer, à goûter aux pâtisseries, voire terminer les plats...

    Ils n'ont pas eu à livrer bataille pour s'approcher de la "sainte table", mais ont gardé l'esprit chevaleresque car... Figurez-vous que même ces têtes couronnées se sont pliées à ranger la salle des fêtes !

    Confirmation ; Voyez, la Révolution est bien passée par-là ! ...

    Ninette

  • Discussion "François 1er"

    paris,françois 1erEn notre mémoire, c'était un grand Roi par sa prestance, ses attirances pour l'art et les artistes (Le Primatice, Léonard de Vinci), la bataille de Marignan,.. mais en creusant cette période de la Renaissance, nous avons découvert une personne, au comportement parfois enfantin, très dominé par sa mère qui avait tant souhaité pour lui, le trône, une sœur en admiration, materné par ses deux femmes, manipulé plus tard par ses maîtresses.

    Était-il un grand Roi ?

    Bel homme, aux caprices d'enfant gâté qui reculait devant les responsabilités du pouvoir, laissant celui-ci aux mains de sa mère Louise de Savoie, Régente du royaume. Celle-ci de nature très intéressée, va s'approprier des régions, et mettre ses amis au pouvoir.

    Les trois monarques Henri VIII, Charles Quint, François 1er, tous jeunes, du même âge, jouaient à s'affronter, à se recevoir dans de fastueuses fêtes comme "Le camp du Drap d'or" aux environs de Calais (où François 1er veut en mettre plein la vue à Henri VIII)... Parfois en bon terme, souvent ennemis, parties de cache-cache politiques entre ces trois gouvernants.

    François 1er était obsédé par l'Italie, le Milanais, 6 mois après son avènement il part à la conquête de ce territoire, qu'il obtint par la victoire de Marignan, mais qu'il perdra par la suite. Il voudra le reconquérir, dix ans plus tard, mais sera fait prisonnier à la bataille de Pavie.

    Était-ce un Roi Chevalier ?

    Bien que "Chevalier" François n'avait, semble-t-il pas l'attitude exemplaire que ce titre oblige, puisqu'il a été parjure à son serment, pour sa libération. Il envoya deux de ses fils le remplacer en prison. "Tout est sauvé, fors l'honneur"… Beau geste chevaleresque !

    Marié à la fille d'Anne de Bretagne, Claude de France, puis au décès de celle-ci, à Eléonore sœur de Charles Quint, il eut pour maîtresses, Françoise de Chateaubriant et Anne de Pisseleu. Il les laissa jouer un rôle politique, parfois funeste, à la Cour.

    Présenté comme un Roi humaniste il lança malgré tout un édit qui prohibait l'imprimerie, la fermeture des librairies, créa une chambre ardente contre les livres séditieux, faisant donc tort aux hommes de lettres, suscitant l'exil de Clément Marot, Rabelais et bien d'autres...

    paris,françois 1erC'est aussi l'époque du Concordat de Bologne qui impliquait que le haut clergé soit nommé par le Roi avec l'accord du Pape qui touchera des "royalties" sur les abbayes. C'est donc la rupture entre le haut et le bas clergé puisque les rôles d'abbé, évêque, cardinal seront distribués par le Roi suivant son choix parmi les nobles, architectes, artistes, sans être donc religieux dans l'âme ! Combine, et ceci jusqu'à la Révolution !

    Par contre sous ce règne, des nouveautés positives : des constructions voient le jour entre autres, Fontainebleau, Le Louvre, Chambord (qui époustoufla Charles Quint), la réunion définitive de la Bretagne à la Franc e, la naissance du Collège de France, la tenue des registres paroissiaux (futurs registres d'état civil) à rédiger en français et plus en latin.

    Mais aussi retour à la torture publique envers les hérétiques "Les Vaudois" dont le gourou du XIIeme siècle prônait la religion dans la pauvreté... Conséquence, massacre de gens pacifiques 3000 victimes... Vive la chevalerie ! On est loin de la devise d'un certain Bayard "Chevalier sans peur et sans reproches" !

    Pour conclure un règne tumultueux qui se clôture à Rambouillet en une fin peu reluisante pour un monarque.

    François 1er à 53 ans, serait-il mort d'une "maladie d'escapade" "Le mal de Naples" ? "Je suis puni par là où j'ai péché" aurait-il dit ! Le doute subsiste.

    Nous restons surpris du portrait dévoilé loin du Roi soi-disant puissant, magnifique, démontré dans les livres scolaires qui permit cependant, le développement de l'art de la Renaissance Italienne dans notre belle France.

    Mais n'était-il pas, comme le signale Franck Ferrand, le Roi des chimères ?

    Ninette

  • Lire "La science au secours de l'Histoire"

    paris,livresFranck Ferrand présente ce livre de Nicolas Koch "La science au secours de l'Histoire" avec comme sous-titre "5 énigmes résolues". C'est vite dit. Les énigmes ne sont pas résolues à 100% et c'est sans doute mieux ainsi.

    Ce livre a le mérite de nous intéresser à nos ancêtres de Néandertal et du Néolithique, de nous faire revisiter la Vallée des Rois avec ses momies de la XVIIIeme dynastie égyptienne et de nous interroger sur le crâne d'Henri IV réapparu après bien des tribulations, ainsi que sur les causes de la mort de Napoléon à Ste-Hélène (une seule chose est sûre, il était bien mal en point depuis 1815).

    Jean-Paul