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Suite à notre soirée autour du film "Sarah Bernhardt la Divine", je vous adresse ci-dessous quelques liens qui illustrent le caractère, la vie, le jeu de notre grande iicône.
Malgré le froid Encore une fois Pour un après-midi Nous nous sommes réunis. Arrivés emmitouflés, Les sacs bien chargés De plats préparés, Pensant gentiment Pouvoir régaler Les fidèles présents. Dévoués Arvemois(es) Oui ! Vous avez réussi Un buffet bien garni !
L'animation a suivi, Le thème portant sur les mots Lectures, mimes,récits Donnés à gogo. Pour votre participation, merci Vous êtes toujours dociles Même si ce n'est pas facile.
Pour vos sourires, des jeux de mots De notre langue, toute la finesse Subtilité à découvrir sans cesse. Pas d'effort physique demandé Dans le calme, cette année Cette journée s'est écoulée.
Prenez des forces pour la prochaine Même si les mois s'enchaînent Et qu'elle est très éloignée, Suivant le choix du thème On pourra encore remuer Et lancer : "Alors prêts ? OK ?" "À vos marques, partez ".
Atelier écriture ARVEM du 13 janvier 2025 animé par Jacqueline F
Acrostiche avec : INTEMPORALITÉ
Il a pris son grand sac à dos. Nul ne pourra le consoler Tant le chagrin colle à la peau. Et il espère au bout du quai. Marseille, Anvers ou Amsterdam Pourvu que les souvenirs s'effacent. On peut, de chagrin, perdre son âme. Rien ne résiste au temps qui passe. Sur les chemins de Cocagne, Le pied léger, sous le soleil Entre la mer et la montagne Fin du voyage, il s'émerveille Et au retour, c'est le bonheur !
De Noémie Merlant avec Souleila Yacoub, Sanda Codreanu, Noémie Merlant
Trois jeunes femmes dans un appartement, à Marseille en pleine canicule. En face, leur mystérieux voisin, objet de tous les fantasmes.
J’allais voir ce film pensant me réjouir d’une comédie féministe. Que nenni !
Les hommes y sont machos, beaufs, castagneurs, violeurs. Ce film ne défend pas la cause des femmes : il est dans la haine du genre masculin, avec des scènes extrêmement obscènes et insupportables : le corps d’un homme empalé par une des jeunes femmes et sur lequel la caméra s’attarde. Émasculé, les testicules jetés en pâture au chien, le pénis mis dans une boite et rangé au frigo.
En bref un festival de scènes gores, de laideurs visuelles et psychologiques assumées.
Ce film vulgaire est contre-productif. À mon sens un ratage complet.
Elle est née autour de 1124. Le grand -père Guillaume IX " Le Troubadour" Duc d'Aquitaine a participé à la 1ere croisade est mort en pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle .Son père Guillaume X Duc d'Aquitaine, sa mère Aénor de Châtellerault
Elle a passé son enfance dans les palais, initiée à la culture aristocratique, courtoise à Bordeaux.
De Pedro Almodóvar avec Tilda Swinton, Julianne Moore, John Turturro
D’après un roman américain "Quel est donc ton tourment" de Sigrid Nunez
Ingrid et Marthe, la soixantaine et amies de longue date, ont débuté leur carrière au sein du même magazine. Lorsque Ingrid devient romancière à succès et Martha reporter de guerre, leurs chemins se séparent. Des années plus tard, leurs routes se recroisent dans de troublantes circonstances.
Almodovar aborde là le thème de la fin de vie sans tabou. Il met en scène deux actrices dont l’une (Tilda Swinton) est bien décidée à mourir dans la dignité et l’autre (Julianne Moore), de l’accompagner dans ses derniers jours de vie. Une lourde charge psychologique pour cette dernière qui oscille entre angoisse et légèreté, tout comme la première.
Un très beau duo sous l’emprise de la mort, de l’amour et de la peur, créant cependant une ambiance solaire (aidée par la lumière des images et les couleurs, notamment des costumes).
Ce film est traité et interprété avec une grande délicatesse sur un sujet abyssal.
Voici un livre sérieux, c'est le moins que l'on puisse dire, qui place le lecteur, deux siècles après l'exécution de Louis XVI , devant ce dilemme , qu'aurait-il fait s'il avait dû personnellement se prononcer sur le sort du roi déchu?
Était-il jugeable ? N'était-il pas jugeable ? Aurait-il voté la mort ?
En conclusion on ne peut que méditer sur cette affirmation de Pierre Joseph Cambon député de la Convention qui le 21 janvier 1793 jour de l'exécution du roi aurait déclaré "Nous venons enfin d'aborder dans l'ile de la liberté et nous avons brûlé le vaisseau qui nous y a conduits."