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  • Programme avril 2017

    Jeux de société
    Vous cherchez des partenaires, vous désirez vous initier ! Venez nous rejoindre.

    Scrabble, tarot, belote
    Lundis 3, 10 & 24 avril de 18h30 à 21h30
    Samedi 8 avril à 10h30 & 17h15

    Échecs
    Lundi 3 avril de 18h30 à 21h30

    Bridge
    Lundi 10 avril de 18h30 à 21h30

    Mercredi 5 avril
    18h : Découvrez le forum et la galerie photos Arvem
    20h30 : Découvrez le blog Arvem

    Samedi  8 avril à 14h30
    Discussion de Karine : Les peintres flamands

    Mercredi 12 avril à 18h30
    Billard américain

    Samedi 22 avril à 14h20
    Promenade guidée "le street art dans le 13è"

    Dimanche 23 avril à 11h
    Expo au Centre Pompidou "Cy Twombly"

    Lundi 24 avril à 19h
    Atelier d'écriture

     

  • Lire "La garçonnière de la République"

    La-garconniere-de-la-Republique.jpgEmilie Lanez journaliste au Point nous ouvre les portes de la Lanterne ce pavillon érigé au fond du parc de Versailles, habité occasionnellement par nos Premiers ministres jusqu'à l'élection de Nicolas Sarkozy qui en prit possession pour la Présidence de la République.

    Dans ce livre vous verrez entres autres caprices, les piqûres d'orties aux orteils de Thomas Fabius converties en affaire d’État ainsi que le devenir du cadavre de Titus le chien de Balladur.

    Bien d'autres surprises vous attendent dans cet ouvrage écrit dans un style alerte qui ne peut que vous séduire.

    Jean-Paul

  • La Conciergerie

    Si vous voulez actionner "la Machine à remonter le temps" entrez dans la Conciergerie où depuis peu, équipé d'une tablette tactile (l'Histo Pad) le visiteur évolue à travers les époques en déambulant dans les couloirs du temps.

    paris,conciergerieL'Histo Pad par des simulations 3D à 360 degrés propose des reconstitutions de certains espaces (la salle des Gens d'Armes en 1340, les cuisines royales en 1378, la salle des Gardes en 1780, le couloir des prisonniers et la cellule de Marie-Antoinette en 1793.

    C'est spectaculaire et instructif.

    Jean-Paul

  • Discussion "Gabrielle Chanel"

    Il nous était promis le parcours depuis l'orphelinat jusqu'à la rue Cambon, eh bien, voilà, nous l'avons suivi avec plus ou moins de connaissance, car Chanel est non seulement en notre mémoire, mais présente par ce voile léger embaumant que certaines parmi nous, portaient comme pour dire...Elle est toujours là !

    Quel destin ! Quelle femme moderne pour le début du XXème siècle. Pour cette vie bien remplie il lui a fallu un caractère bien trempé, volontaire, de bonnes relations, de l'audace, la liberté d'action et de la chance.

    Gabrielle née le 19 août 1883 à Saumur, seconde d'une famille de 5 enfants, très proche d'Antoinette une sœur et de sa tante Adrienne née 1 an après elle, qui deviendra baronne.

    Son père marchand itinérant en mercerie, parcourant la France, se retrouve veuf après le décès de sa femme à 32 ans, laissant 5 orphelins. Les 3 filles placées à l'orphelinat d'Aubazine, chez les sœurs où Gabrielle apprend le travail, la couture et les 2 garçons dans les fermes où ils travailleront. (On trouve dans certaines archives que durant 5 ans jusqu'à ses 17 ans, Gabrielle aurait vécu comme domestique à Thiers ?) Puis elle aurait travaillé dans l'Allier dans la "Maison Grampayre" puis chez sa tante avec sa sœur, là, elle enjolivait les chapeaux et les corsages.

    Les 2 sœurs s'installent à Moulins où réside l'armée (le 10eme chasseur à cheval). Ayant une petite clientèle directe, elles vont coudre pour les militaires. Gabrielle se retrouve à chanter dans le café "La Rotonde" où elle est "poseuse" c'est-à-dire autour de la vedette. Elle ambitionne la voie de la chanson, mais ce n'était pas sa route. Nous avons tous interprété sa chansonnette, celle de "Coco" le nom de son chien perdu, mais également le surnom donné par son père disait-elle....

    Période faste : ses hommes

    Lire la suite ICI

     

  • Atelier d'écriture "Mettez-vous à la place d'un chat"

    Une journée de chat

    Je me lève en pleine nuit, là où les chats gris sont gris. Pas besoin d'une montre pour aller tout droit vers ma pitance, je sais où elle se tient dans mon écuelle ronde et étincelante par le clair de lune émanant de la fenêtre de la cuisine. Je déguste tranquillement ma pâtée et de temps en temps lape l'eau à côté. Je retourne sur le divan, m'allongea de toute ma longueur. Je me berce avec mes ronronnements. On dirait un ronflement tellement que c'est fort.

    Vers les 6h mon maître se lève et s'assoies à côté de moi, je fais semblant de dormir. Se levant pour accéder à la cuisine, je le précède tout en miaulant d'un air de dire "J'ai faim, moi en premier". Il me comprend. Il constate que je n'ai plus de croquettes, alors ouvrant le frigo il m'en sert une bonne part ainsi que de l'eau. Le bruit de la croquette cassante dans ma mâchoire m'enchante. En milieu de matinée je décide de bouger un peu, un petit exercice d'échauffement 2 pattes avant droites devant, un dos rond, une queue balançant, les yeux en amandes puis deviennent ronds, très bon réveil.

    Je joue avec un rien, une boule de papier, un morceau de plastique froissé, un rien m'amuse. Passant devant une chaise, je saute sur le plateau, me mets en rond pour simuler un faux sommeil. Mes sens sont en éveil, les oreilles droites écoutant tous les moindres bruits, les moustaches frémissantes pour les odeurs, les yeux en amande faisant croire que je dors, en fait, je veille. Dans l'après-midi ma maitresse ouvre le couvercle de l'ordinateur. Je suis attiré par la lumière de l'écran, et les touches du clavier et, surtout la souris électronique sans queue. Un coup de patte sur le clavier pour dire "je veux comprendre". Une envie soudaine me rappelle que j'ai une litière propre pour la petite et grosse commission.

    paris,étalier écritureCes journées sont exténuantes, des fois je vocalise avec des miaulements et ronronnements. Mon maître me prend dans ses bras et me chatouille et j'aime cela, alors je lui lèche le nez ou les cheveux. À travers les vitres je vois la rue qui s'anime avec tous ses bruits et la nuit venue avec toutes ces fenêtres éclairées, tout cela me plait. Alors croyez-moi si vous voulez mais cela est très dur dans la vie d'un chat.

    Yves-Marc

  • Le retour

    Voici février presque passé
    Et l'on commence à s'inquiéter
    De ne plus voir d'oiseaux,
    Hormis les pigeons, les corbeaux
    Mésanges, rouges-gorges, les tout petits
    Et les moineaux de Paris.
    Ne pas entendre ces chants
    À nos oreilles si charmants.
    Que sont-ils devenus ?
    Ont-ils vraiment disparu ?
    Quitté la ville bruyante
    Pour une terre plus accueillante ?
    Malgré mes regards désespérés
    Aux alentours souvent lancés
    Rien sur les toits, les antennes
    S'entêter, ce n'est pas la peine.

    paris,oiseaux

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Mais voilà qu'un matin,
    Alors qu'une petite douceur revient,
    Que vois-je soudain
    Sur la barrière du jardin,
    Quelques petits piafs sautiller
    Qui se mettent à piailler.
    Quel bonheur! Et je me surprends
    A dire, c'est la vie qui reprend !
    Pourtant la nature est encore endormie
    Vont-ils bientôt préparer leurs nids ?
    Les pigeons ont commencé leurs parades
    Ils roucoulent autour de leurs camarades
    Tout gonflés, parcourant le trottoir,
    Dansant avec espoir !

    Histoire de décompresser
    De ce monde agité
    Dans lequel nous vivons,
    Que souvent nous subissons,
    Jouons sur la corde sentimentale
    Même si cela semble banal,
    Puisqu'ils annoncent le printemps
    Alors prenons le temps
    De les regarder, les écouter,
    Si possible les protéger
    Car, moins nombreux ils sont
    Au fil du temps nous le constatons.
    Et quand à l'improviste
    Ils osent rendre une petite visite
    À nos fenêtres et balcons,
    Avouez-le, vous trouvez cela trop mignon !

    Ninette

  • Lire "Dictionnaire amoureux de Saint-Pétersbourg"

    Dictionnaire amoureux de Saint-Pétersbourg.jpgSi vous voulez des révélations parfois inédites sur les Romanov, la grande Catherine, Poutine, Raspoutine, les révolutions russes de 1905 et 1917, le chevalier d' Éon, les Ballets russes, Dostoïevski, Potemkine, Lénine et son wagon "plombé" et j'en passe, n'hésitez pas, précipitez-vous sur ce "Dictionnaire amoureux de Saint-Pétersbourg" de Vladimir Fédorovski actuellement l'écrivain d'origine russe le plus publié en France.

    Ce livre est le bienvenu à la veille du centenaire des évènements de 1917 "qui ébranlèrent le monde".

    Jean-Paul

  • Expo "Les plaisirs de l'Ermitage"

    Jusqu'au 16 avril le Pavillon de l'Ermitage situé dans le 20eme, 148 rue de Bagnolet présente "Les plaisirs de l'Ermitage". L'apport de tableaux, meubles (clavecin, baignoire-sabot, chaise percée...) couverts, verrerie... permet de retrouver l'intimité d'un pavillon de plaisance du XVIIIeme siècle.

    C'est grand dommage que cette exposition ne dure qu'un mois.

    Raison de plus pour s'y précipiter. Vous ne le regretterez pas.

    Du jeudi au dimanche 14h-17h30

    Jean-Paul