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Jeux de société
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Scrabble, tarot, belote
7 et 14 avril de 18h30 à 21h30
Samedi 12 avril à 10h30 & 17h
Bridge
Lundi 14 avril de 18h30 à 21h30
Samedi 12 avril à 14h15
Discussion de Jean-Paul : Autour de Madame de Pompadour
Mardi 15 avril à 18h30
Billard américain
Samedi 26 avril à 14h45
Phonoplanète : Visite guidée du Musée du Son Enregistré
Lundi 28 avril à 18h
Atelier d'écriture
Comédie de la Bastille - 5 Rue Nicolas Appert 75011 Paris
Une comédie de Sylvie Audcoeur, David Basant, Bruno Chapelle et Olivier Yeni. Mise en scène de Jean-Luc Moreau, assisté d'Anne Poirier Busson.
Les auteurs que sont aussi les acteurs savent de quoi ils parlent, sur quoi ils "jouent" : deux d'entre eux gagnent leur vie en partie dans l'entreprise. L'un dirige une agence de "communication parlée". L'autre est coach de dirigeants.
Et l'énormité de la charge rejoignant nos critiques du libéralisme, faisant tourner à la farce ce qui pourrait être une tragédie - l'est souvent dans la réalité - noie nos griefs et nos craintes dans une tempête de rire : on rit tout au long, dans la connivence et le soulagement.
Plus que le texte c'est l'art des comédiens - particulièrement celui de Bruno Chapelle dont le jeu fin et complexe, gestuel comme de physionomie, en rajoute continuement par rapport aux répliques - qui maintient constamment la pièce, sur un rythme endiablé, au niveau de la caricature. Tout y est : la "tueuse" qui croit mener son monde à la baguette jusqu'à ce qu'elle soit balayée elle-même par le plus insignifiant et le moins dangereux (semble-t-il) de tous ; les coucheries affairistes sans amour et les mensonges afférents aux légitimes comme aux "extras", et le parasite méprisé qui à force de souplesse, veule et obstiné, réussit à tirer son épingle du jeu.
La réussite tient à ce que l'écueil de la vulgarité est évité jusque dans les séquences les plus lestes par le grossissement-même. On pourrait sans doute se passer de la "nymphomanie" de la dirigeante qui vers la fin menace de nous détourner de la satire essentielle. Reste que c'est une belle réussite, gaie et intelligente, deux dimensions de la vie sociale comme culturelle qui manquent quelque peu actuellement.
Marie-Claire C
Étonnant, épatant, époustouflant Gustave Doré ! (1832 – 1883)
Visite d’un groupe de l’Arvem sous la houlette de Jeannette (merci !) le samedi 15 mars 2014 de l’exposition Gustave Doré au musée d’Orsay.
Nous connaissons tous, plus ou moins, Gustave Doré, illustre illustrateur de grands auteurs de la littérature européenne : Rabelais, Dante, Cervantès, Charles Perrault, La Fontaine, Walter Scott, Victor Hugo etc.
Mais, à l’occasion de cette remarquable exposition, très bien commentée par notre conférencière Karine, nous avons découvert un artiste protéiforme, exubérant, lyrique et prolifique et plus encore :
- Illustrateur certes, mais aussi peintre, sculpteur, mais aussi acrobate émérite, violoniste virtuose, alpiniste chevronné, grand voyageur, européen avant la lettre : Angleterre, Écosse, Espagne, Tyrol, pays qui ont également nourri son art et son imaginaire et enfin grand séducteur !
- Dessinateur prodige, autodidacte mais professionnel dès l’âge de 15 ans, il a brillé avec bonheur dans tous les domaines de la peinture : sujets religieux (le gigantesque et superbe "Jésus quittant le prétoire") portraits (les Saltimbanques ) paysages (Loch Lomond) sujets mythiques (l’Enigme) sujets historiques (la Commune) etc.
- Et quel sculpteur ! Ainsi "La Parque et l’Amour" admirable de force et de grâce et "À saute-moutons" modèle de finesse et de drôlerie.
Il s’agit donc d’une œuvre immense et magnifique qui a inspiré ensuite de nombreux artistes, peintres, sculpteurs, écrivains et aussi des… cinéastes, tout au long du XXe siècle, de Méliès à Tim Burton en passant par Cecil B. DeMille, ce qui est moins banal !
Dommage que cette exposition soit scindée en deux parties : l’une au rez-de-chaussée et l’autre, après un circuit invraisemblable, au cinquième étage !
Qu’importe finalement, puisque nous avons passé de vrais moments de bonheur.
Gloire à Gustave Doré !
Jacques et Nicole
C'est par une belle première journée printanière que, fidèlement, attirés par ce sujet, nous avons constaté que la base des affaires scandaleuses était une histoire de gros sous comme... de nos jours !
Pour nous mettre dans l'ambiance de cette époque, c'est Clemenceau qui ouvrit la séance. Sa vie, son parcours nous ont été développés. Son tempérament, ses affinités vis à vis "des grands" durant cette période, ainsi que les actions de ceux-ci, celles de Gambetta, Arago, Thiers, Jules Ferry, Jules Grévy. Des hommes pas toujours du même bord politique que "le Tigre".
C'est aussi l'époque de la Commune. Clemenceau maire de Montmartre, alors que Paris est assiégé par les Prussiens, s'occupe d'approvisionnement en charbon, en nourriture et se trouve compris par Louise Michel dans son idée de séparer l'instruction de la religion, ainsi que sa révolte devant "la trahison" de Thiers et Ferry qui laissent l'Alsace et la Lorraine à Bismarck.
Rappelez-vous, les 227 canons de Montmartre... Les soldats qui refusent de tirer sur les citoyens ! Bref Clemenceau, c'est le républicain qui souhaitera la liberté de la presse, la juste répartition des impôts, la séparation de l'Église et l'Etat, l'instruction obligatoire et gratuite, l'amnistie des Communards...
Le premier scandale : celui "DES DÉCORATIONS"
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Deuxième scandale : celui "DE PANAMA"
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Troisième scandale : "THÉRÈSE HUMBERT"
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Comme quoi avec l'art du blabla, les tromperies mènent le monde, les manipulateurs de haute volée, malgré leurs méfaits, sont sollicités, sachant tirer les ficelles des pantins que sont les autres. Et dire que c'est toujours d'actualité !... Cherchez bien, vous allez les trouver !
Ninette
Par la compagnie Teatro di Fabio au Théâtre 12(*), avec Fabio Alessandrini et Damien Hennicker, musicien.
Ce spectacle dénonçant les ravages du dopage dans le milieu du football nous laisse exsangues, même si nous connaissons le problème dans ses grandes lignes.
Après avoir évoqué le parcours, depuis l'enfance, qui l'a conduit à devenir footballeur professionnel, à l'exemple de Morales, joueur fétiche du passé, le personnage introduit le thème presque sans y toucher et le fait progresser jusqu'à ce moment extraordinaire où il étale sur une table les flacons contenant les diverses substances, en détaille les effets avant d'en composer des cocktails meurtriers qu'il expérimente sur son complice - talentueux saxophoniste modulant les différentes tonalités du texte - puis sur lui-même, contant pour finir les séquelles qui lui en resteront jusqu'à une mort précoce.
La mort est là continuement, déjà évoquée dans l'énumeration de joueurs célèbres victimes du dopage dans la fleur de l'âge.
Elle est aussi dans l'abstraction de la mise en scène : un fond noir parcouru d'une ligne lumineuse qui peut suggérer un but, le terrain - lui-même vide. Elle est surtout dans la pantomime et gesticulation fantaisiste de ce héros ricanant, être vivant ou fantôme ? - qui tente de la narguer, de la traiter légèrement, de l'apprivoiser peut-être avant d'être désintégré.
Le texte est fort, le sujet gravissime. L'excellence du comédien est telle qu'elle menace, à mon avis, de faire un peu pâlir l'un et l'autre, de s'en servir plus que les servir. Cette réserve n'ôte rien à son éclat ni à l'impact d'un tel spectacle, à voir absolument.
Marie-Claire C
(*) Centre d'animation Maurice Ravel, 6 rue Maurice Ravel, 75012 Paris
Les archives numériques de la Révolution Française sont issues d'une collaboration entre les bibliothèques de l'Université de Stanford et la Biblothèque nationale de France.
Deux sources sont proposées : les archives parlementaires et les images de la Révolution Française.
Jeanet
Comment appelle-t-on un autoportrait pris avec son smartphone ?
Réponse lundi prochain
Réponse "À vous de jouer n°293"
Trouvez un ou plusieurs anagrammes de "hectare".
Vous pouvez jusqu'au 18 mai vous rendre 100 bis rue d'Assas dans le Musée Zadkine profiter d'une exposition "Voyage dans l'ancienne Russie" qui présente la Russie d'avant la Révolution.
Vos serez surpris par les oeuvres de ce sculpteur: ses "cœurs venteux" sont pour le moins surprenants, ainsi que son "oiseau d'or" sa "Rebecca ou la grande porteuse d'eau" et ses "Hermaphrodites", j'en oublie.
Vous ne regretterez pas la visite. Votre "voyage dans l'ancienne Russie" s'effectuera en suivant un parcours à travers les œuvres de Zadkine. Les nostalgiques du 1er Empire seront particulièrement intéressés par des vues de Borodino victoire des Russes en 1912 que les Français revendiquèrent comme victoire de la Moskova.
Jean-Paul
Dans cet ouvrage Jean-Paul et Raphael Enthoven gambadent à la fois dans la "Recherche" et dans la vie de son créateur.
Après cette "recherche du temps perdu", vous ne pouvez qu'être incités à lire ou relire le plus grand écrivain "de tout le temps".
Jean-Paul