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ARVEM ASSOCIATION - Page 100

  • Atelier écriture "Écrire dans un losange...

    Thème : Écrire sur la fin de l'été ou la rentrée : 1ère ligne 1 mot, 2è ligne 2 mots, 3è ligne 3 mots jusqu'à 5 mots puis décroître.

    Fin
    De l'été
    Enfin l'Automne arrive
    Adieu l'été si merveilleux
    J'aimerais revoir le ciel bleu
    Mais tout passe évidemment
    Il faut accepter
    Cette saison
    Naturellement

    Solange C

     

    Ah
    La rentrée !
    Fini la rigolade,
    Les balades en rivière,
    Les siestes sous le parasol,
    Les discussions entre amis,
    Bonjour les vêtements
    sérieux, étriqués
    conventionnels.

    Chantal Cn

  • Discussion "Leonard de Vinci"

    paris,vinciPour cette rentrée nous étions nombreux à vouloir suivre cet artiste qui aimait voyager pour finir en France.

    Il est né le 15 avril 1452 à Vinci près de Florence. Fils naturel d’un notaire et d’une servante paysanne Catarina qui dût épouser un chaufournier et fit 5 enfants.

    Le père vit à Florence, Léonard vit à Vinci auprès de son grand père et d’un oncle, très curieux, il observe la nature et peint très jeune .Vers 15 ans il rejoint son père qui va l’instruire, lui trouver un atelier de peinture et sculpture, où il fait son apprentissage auprès de Verrocchio comme Botticelli. Il joue aussi de "la lira" (viole avec archet). Vers 21 ans il a son propre atelier, il peint des Annonciations pour les monastères.

    La vie mouvementée d’un créateur.

    - 1481 beaucoup de peintres florentins sont demandés au Vatican pour décorer la chapelle Sixtine, mais lui va à Milan chez les Sforza où il gère la création d’une statue équestre du chef de guerre, père de Ludovic Le More (seul le cheval en argile a existé). Il peint "la Cène", "la Dame à l’Hermine" "la Belle Ferronnière", Il organise également des fêtes avec créations d’automates, réalise aussi les costumes... C’est un touche à tout et cela n’est rien !...

    - 1499 Les troupes françaises débarquent, Ludovic est chassé de Milan et comme çà sent le roussi, Léonard part avec un mathématicien et des élèves, dont Salaï et Melzi, à Mantoue puis Venise.

    1 an après de retour à Florence il habite chez les moines. Il réalise "Sainte-Anne La Vierge et l’enfant".

    1502-1503 En Romagne au service de César Borgia il devient pratiquement ingénieur, architecte militaire, s’intéresse à la fabrication d’engins de guerre, construction de fortifications. Rien ne l’arrête ! C’est l’époque où il commence La Joconde (Monna Lisa) sur peuplier 77cm / 55cm.

    Mais qui est le modèle ?

    Est-ce Salaï ou Lisa Guerardini femme d’un riche florentin Francisco del Giocondo ? C’est Lisa, confirmation donnée en 2004 par un chercheur d’Heidelberg

    - 1504 Il revient à Florence, le maître de Florence Soderini lui commande une peinture sur la bataille d’Anghiari gagnée en 1440 à la gloire de sa ville.>

    - 1506 Il fait des études sur l’anatomie, la géologie, de nombreux dessins le prouvent (13 000 pages de manuscrits) Sa curiosité est toujours sollicitée !>

    - 1513 Il passera 3 ans à Rome (se dévoile un génie). Il s’intéresse aux machines volantes, mais il est concurrencé par le constructeur Bramante et pour la peinture par Raphaël et Michel-Ange.

    Autres destinations et sécurité.

    - 1515 François 1er arrive à Milan, il rencontre Léonard, l’invite au château de Cloux (Clos Lucé) près d’Amboise. Il arrive avec "La Joconde" "Saint Jean-Baptiste" "Sainte- Anne". François 1er lui offre le château et lui donne une pension. Il le nomme "peintre, architecte, ingénieur du Roi".

    >Il fait des études sur la ville de Romorantin, Chambord, mais à 65 ans il commence à être malade, un bras se paralyse, il est fatigué. Le roi lui rend visite de temps en temps, et il lui achète des tableaux.>

    - 1519 Léonard fait son testament, demande que soient dites 3 grandes messes, 30 petites messes, 60 mendiants avec torches... Le 12 mai il décède, il est enterré près d’Amboise.>

    LA JOCONDE

    Voyons la vie de Monna Lisa qui aussi a beaucoup voyagé !

    Lire la suite ICI

    Ninette

  • Lire "La présidence de Georges Pompidou"

    Cet ouvrage nous permet de mieux connaître l’hoparis,livremme qui eut le devoir redoutable de succéder à l’Élysée au  général de Gaulle.

    Grâce à sa profonde culture et à son grand sens politique il réussit à bien représenter la France pendant son mandat écourté par la maladie, dans une période qu’on ne savait pas être le symbole des "Trente Glorieuses".
     
    Des photos inédites (la cigarette y est omniprésente) et des commentaires demandés à de grands spécialistes incitent le lecteur à s’intéresser à cette période qu’il ne mémorise pas toujours.
     
    Jean-Paul

  • Atelier d'écriture "Qu'il est doux...."

    Thème : Écrire un texte avec la phrase « Qu’il est doux de ne rien faire quand tout s’agite autour de vous ...»

    Tous les jours, depuis des années, métro, boulot, dodo… Pendant des jours et des heures je me tapais le jardinage, les plantes et la tondeuse… La nuit, quand je n'étais pas au théâtre ou au ciné, c’était le rendez-vous cave. D’un côté l’agrandisseur avec lequel je tirais mes photos noir et blanc, et de l’autre, la fronde pour la prothèse ou les bijoux que j’aimais créer.

    Aujourd’hui, tout ça c’est fini, bien fini… Je suis Parisien à la retraite...

    Ah ! qu’il est doux de ne rien faire quand tout s’agite autour de vous !!  

    Yves CK

  • Réponse "à vous de jouer n°681"

    En France, les femmes ont le droit de vote depuis :

    "Les femmes sont électrices et éligibles dans les mêmes conditions de l'homme."

    Grâce à cette ordonnance signée le 21 avril 1944, le général De Gaulle a élargi le droit de vote aux femmes. Un an plus tard, le 29 avril 1945, les femmes ont pu voter pour la première fois lors des élections municipales.

  • Avis "On transforme Paris"

    Paris est toujours en travaux
    Voirie, gaz, mais là c’est un autre boulot
    Celui, qui dans mon quartier
    Est en train de le bouleverser.
    Peut-être une nouvelle politique
    En prévision des jeux olympiques ?
    Mettre le sport à tous les niveaux
    Sur les trottoirs jusqu’aux  caniveaux !

    Depuis déjà un certain temps
    On bénéficiait d’instruments
    Plantés sur une large allée
    Dans le vingtième sans gêner,
    D’Avron jusqu’à Stalingrad
    Surprise que cela ne se dégrade !
    Voilà que le principe s’étend
    Dans le onzième maintenant.

    La partie piétonne est cassée
    Plus de voitures stationnées.
    Pour faire quoi au juste ?
    Poser des machines, pour les muscles ?
    Après les pistes pour cyclistes
    Voir d’autres amateurs en piste
    Faire de la gonflette
    Et en bonne santé, paraître ?

    Nous les riverains sommes étonnés
    De ce changement imposé
    Durant près de quatre mois
    Engendrer bruits et divers tracas,
    Sans savoir si cela va plaire
    Quand on voit que personne ne se sert
    Des précédentes installations
    Gratuites, mises à disposition.

    Les parisiens vont-ils apprécier cet essor
    Montrer à tous, que Paris aime le sport,
    Qu’un entraînement facile au quotidien
    Pour le corps et l’esprit peut faire grand bien.
    Puisque le quartier de la Nation évolue
    Après la place transformée, les avenues
    Où de grandes jardinières d’arbustes sont enlevées
    Plus de verdure à regarder,
    Mais des "courageux" peut-être
    Qui peineront de tout leur être !
    Ce changement il faudra l’accepter
    Pour le meilleur c’est à souhaiter.

    Ninette

  • Lire "L’obsession Vinci"

    Sophie Chauveau est fascinée par la Renaissance italienne et l’art florentin. Cet ouvrage "L’obsession Vinci" vient compléter, profitant du 5eme centenaire de la mort du génial artiste, ses deux livres précédents "La passion Lippi" et "Le rêve Botticelli".
     
    Ce 3eme livre tente de répondre à la question maintes fois posée :  mais qui est véritablement Vinci ? Nous suivons le génie florentin des bas-fonds de Florence à la cour de François 1er en passant par le Milan de Ludovic Sforza et les campagnes guerrières de César Borgia.
     
    En achevant cette biographie le lecteur a puisé bien des renseignements sur celui que la légende fit mourir à Amboise, au Clos Lucé, entre les bras du vainqueur de Marignan.

    Jean-Paul