Tournée dans l'Yonne
Ou quelques heures d'évasion
Vers le site de Guédelon,
Débutant cette journée,
Par une visite au musée
D'une célébrité que l'on nomme
"Colette"
Sa vie y est retracée en vedette,
Mais quoi de mieux
Que d'innombrables photos,
En témoins judicieux
Les reportages sur vidéo.
Emouvante découverte
De cette voix méconnue
Non pas, Claudine l'ingénue,
       mais "Colette"
Ainsi que l'accent bourguignon
Fidèle à la région,
Comme la simple maison
Annoncée en rénovation;
Juste un regard pour saluer
Celle qui y est née
"Colette"

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Nous attendait une autre destination
Un chantier en construction
"Guédelon"
Formidable histoire de ce lieu
L'élévation d'un château moyenâgeux,
Seuls principes pour cet exploit
Avec les procédés d'autrefois.
Une idée pharaonique
Au béton, faire la nique !
Grés, calcaire, sable, bois de chêne
Huile de coude, chevaux à la peine
Pour une forteresse nouvelle
Rien que du naturel,
Tiré de ce terrain généreux
Pour cet ensemble fabuleux
de "Guédelon"
Spectacle vivant d'une autre époque,
Le travail des"œuvriers" dans leurs échoppes,
Tailleurs de pierre sous les bâches,
Bâtisseurs à la tâche,
Blocs de grés débités par les carriers
Encore charpentiers, cordier, vannier
Poutres taillées par les bûcherons
Sans oublier les forgerons,
Tuiliers et coloristes
Pour nous, tous en piste
à "Guédelon"
Plein les yeux nous avons reçu
Des commentaires intéressants avons entendus,
La bonne humeur nous avons partagée
D'une bonne détente avons abusée.
Agréable taverne, assiettes garnies et chansons
Un changement d'horizon
À travers la verte campagne,
Sans la nostalgie pour compagne,
Afin de remonter le temps,
Tout en étant dans le présent.
Certes une très bonne journée !
Pour l'achèvement du chantier
Encore douze années...
Sûr, la curiosité et l'admiration
Feront que nous retournerons
à "Guédelon".

Ninette

"Père prétend que Mallarmé lui avait donné le conseil, en cas de guerre des rues, et pour ne pas être inquiété, d sortir avec un cantaloup sous le bras ; le melon désarme les combattants."

Cette phrase a été écrite un 25 juillet. Par qui et en quelle année ?

• Paul Morand
• Léon-Paul Fargue
• George Sand

• En 1917
• En 1927
• En 1937

Réponse jeudi prochain

Réponse  "À vous de jouer n°258"

Qui a dit : "Les champignons poussent dans les endroits humides. C'est pourquoi ils ont la forme d'un parapluie"

• Alphonse Allais

Les premières règles concernant le code de la route furent instaurées par le roi François 1er en 1539 : il était interdit de "lutter de vitesse", de doubler et de faire demi-tour dans les rues.

C'est seulement en 1905 que Jules Perrigot, président de l'automobile clud des Vosges, rédigera un règlement de bonne conduite qui deviendra, en 1921, le premier code de la route français.

Jeanet

Nous étions une trentaine de courageux Arvémois, en ce samedi 15 juin, levés dès potron-minet, motivés par un alléchant programme concocté par Jeannette, Annie et Jean-Paul :

le musée de Colette à Saint-Sauveur en Puisaye

le château médiéval de Guédelon

à prendre à 7h du matin la route du Sud sous la conduite de l’excellent Dominique, que nous avons retrouvé à nouveau avec grand plaisir et qui, à la fin de notre voyage, nous livra, une fois encore, de savoureuses informations, notamment sur les nouvelles constructions du périphérique Est.

On ne s’ennuie jamais avec l’Arvem : comme toujours, Jean-Paul et Annie avaient prévu de mettre leurs ouailles en condition.

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Le temps était clair ce matin-là à 6h10 à Versailles lorsque le bourreau Anatole Deibler mit un terme à la vie de Henri Désiré Landru, l'un des premiers tueurs en série français identifié.

Du 23 mai au 15 septembre le Musée des Lettres et Manuscrits nous convie à une véritable immersion dans les pièces du dossier d'instruction et au coeur de l'enquête qui a mené à l'arrestation de l'un des plus grands criminels du XXeme siècle.

"Landru 6h10 Temps clair" ne peut que satisfaire les curieux de cette affaire qui monopolisa la presse de "l'Après-guerre".

Jean-Paul

Le journaliste John Solomon dans ce livre " Scandale DSK" nous reconstitue l'enquête qui suivit ce scandale sexuel, dévoilant f'affaire de l'intérieur.

Ce livre se lit comme un thriller. Il faut parfois s'accrocher pour comprendre tous les mécanismes de la justice américaine. Mais au final le lecteur s'y retrouve et le mystère de "la suite 2806" du Sofitel de New-York lui paraît moins opaque.

Jean-Paul

Qui a dit : "Les champignons poussent dans les endroits humides. C'est pourquoi ils ont la forme d'un parapluie"

• Alphonse Allais
• Pierre Dac
• francis Blanche

Réponse jeudi prochain

Réponse  "À vous de jouer n°257"

L'expression espagnole "Empezar la casa por el tojado " (Commencer la maison par le toit) correspond à l'expression française :

 - Mettre la charrue avant (devant) les boeufs

C'est le 14 juillet 1950 que le défilé miltaire est retransmis en direct des Champs Elysées, pour la première fois.

Jeanet

De Jean Teulé je confirme toujours avoir aimé "Mangez-les si vous voulez" et beaucoup moins "Charly 9".

J'aime encore moins "Fleur de tonnerre". Si les paysans de "Charly 9" étaient demeurés, les Bretons de "Fleur de tonnerre" eux, sont carrément débiles. La dénommée Hélène Jédago "Fleur de tonnerre" avant d'être décollée le 26 février 1852 place du Champ de Mars à Rennes pour au minimum 37 emprisonnements aura semé autour d'elle les cadavres sans qu'aucun d'eux n'y trouve à redire.

Quant à l'écriture on vit par exemple "dans un grand bureau aux murs, portes trop dégueulants de frises, de moulures dorées à la con, au-dessus d'une vaste cheminée en marbre noir datant de l'Empire de l'autre taré de Ste-Hélène" (page 230).

Et tout le livre quasiment de la même eau. C'est tout dire.

Jean-Paul

Le 14eme... En ce jour de la St Médard, une oreille sur la radio, un oeil sur la météo, car si on en croit le dicton... Prévoir le pire !

5h... Paris s'éveille... 5h30 Cours de Vincennes quelques commerçants du marché montent leurs étals. Tout aussi courageux,"mon chauffeur" est également à la manœuvre, alors que je me rends à pieds sur les lieux de la réjouissance, profitant du lever du jour, du calme de la ville, du chant des merles pas encore dérangés par le déploiement typiquement barbare d'un vide-greniers.

À cette heure, nous sommes deux sur le terrain. Notre organisatrice et moi, papotons en douceur (afin de ne pas gêner les braves qui dorment encore).

Nous avions, cette année de fortes inquiétudes sur l'impossibilité de pouvoir garer les voitures pour s'installer sur ce boulevard, du fait des travaux importants et de la présence de nombreuses barrières sur les places de parking, sans oublier le passage des autobus, le trafic habituel sur une largeur réduite de la voie de circulation.

"Mais qui ne risque rien, n'a rien".

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