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ARVEM ASSOCIATION - Page 241

  • Balade photos "Vers le haut"

    En dépit d'un temps maussade et de la pluie se profilant à l'horizon nous avons choisi le thème "Vers le haut" et nous voila tous partis tête en l'air.

    Il a bien fallu nous concentrer pour trouver des points de vue originaux et, comme tout bon photographe, peu de photos, mais que de la qualité.

    Les photographes Arvemoisparis,photos

     

     

  • Lire "1814 Un Tsar à Paris"

    paris,livreMarie-Pierre Rey dans "1814 Un tsar à Paris" nous raconte, tout d'abord, l'entrée triomphale dans les rues de Paris du Tsar Alexandre 1er à la tête des troupes russes.

    L'occupation dura le temps d'un printemps. Sans Alexandre 1er la face de la Restauration eût été bien différente. En s'appuyant sur de nombreuses sources Marie-Pierre Rey fait toute la lumière sur cet épisode qui a laissé des traces dans les mémoires, à commencer par le mot de "bistrot".

    Jean-Paul

  • Le Mundolingua

    Un nouveau musée Parisien (Mundolingua) nous fait découvrir et comprendre un des plus vieux métiers du monde, la communication....

    Petit musée sur 2 étages, mais le paradis du Langage International, celui des animaux, des bébés, en passant par le Braille, Morse et codages. Une merveille de découvertes... À ne pas rater.

    Yves C

  • Discussion "La Bête de Gévaudan"

    On sait bien que les animaux ont parfois une agressivité naturelle cachée ou déployée suivant la race, l'origine, le mode de vie, ou l'éducation reçue.

    En ce jour de novembre 2014 où le fait divers qui durant plusieurs années troubla, que dis-je, effraya toute une contrée française, nous a été expliqué, et nous avons alors, compris pourquoi de 1764 à 1767 ce fut réellement terrifiant.

    Cette "bête" longtemps non identifiée s'attaqua aux humains de tous âges, égorgea, décapita, dévora des enfants, jeunes femmes et hommes, même des plus âgés, voire plusieurs fois dans la même journée, avec des périodes d'accalmie puis des reprises fulgurantes et ceci à des kilomètres de distance entre ses crimes.

    Signalée, par ceux qui l'avaient aperçue, comme ressemblant à un loup ou une hyène, forte mâchoire, très poilue, un tracé noir sur le dos, munie de grosses griffes et d'une longue queue.

    Malgré les battues et les chasses organisées pour l'abattre, jamais durant ces années, les efforts n'ont atteint leur objectif hormis probablement quelques blessures dont elle se relevait chaque fois !

    Comment cela se pouvait-il ? On finit par se demander si elle ne possédait pas une protection de type cuirasse en peau de sanglier... Et si l'homme n'était pas impliqué !

    Tenus en haleine, nous étions effrayés à l'annonce du résultat comptabilisé : 250 attaques, 130 morts reconnus, identifiés uniquement par le fait, qu'au bout d'un certain temps, les décès ont été notés sur un acte de sépulture (à l'époque, les gens des campagnes ne sachant pas écrire, combien d'autres décès de la même source sont-ils survenus, sans qu'ils soient spécifiés officiellement).

    Ce "démon" bien sûr fut recherché, chassé d'abord par le Capitaine Duhamel avec une cinquantaine de dragons, en vain, jusqu'à demander en Normandie l'aide d'un fin louvetier nommé Denneval avec son équipe, qui finalement, après moultes tentatives est reparti bredouille. L'affaire remonta jusqu'à Versailles. Louis XV confia la tâche à son porte-arquebuse Monsieur de Beauterne, qui finira par tirer au bout de quelques mois sur un loup, rentrant à Versailles avec l'animal empaillé, persuadant ainsi tout un chacun que les drames étaient terminés, même, et surtout, la presse n'en parla plus... puisque le Roi avait résolu le problème.

    la-bete-du-gevaudan-1.jpg

     

    Cependant, (pour lire la suite cliquez sur l'image)

  • Expo "Duras Song"

    À l'occasion du centenaire de la naissance de Marguerite Duras le Centre Georges Pompidou présente jusqu'au 12 janvier 2015 "Duras Song".

    L'exposition est composée de 2 parties "l'outside" (l'extéreur) et "l'inside" (l'intérieur). Dans "l'inside" 6 séquences thématiques se succèdent. L'accent est mis sur la transmédialité de l'écriture durassienne, qui circule librement entre texte, théâtre, parole et film.

    Je m'y suis perdu, je compte sur vous pour m'y retrouver.

    Sur les murs de "l'outside" dont le papier peint reproduit "une imbibition au bleu de méthylène" ! ! on retrouve Duras personnage public : avec notamment sur écran des témoignages de François Mitterrand, Jules Roy et Edgar Morin sur Marguerite "la Reine des abeilles" au 5 rue St Benoit et un aperçu sur les lycéens en révolte de mai 68.

    Rien que ce "coup de jeune" vaut le déplacement. Une exposition "branchée".

    Jean-Paul

  • Lire "Le roi disait que j'étais diable"

    paris,livresClara Dupont-Monod dans ce livre "Le roi disait que j'étais diable" nous raconte les premières années d'Aliénor d'Aquitaine reine de France épouse du roi-moine Louis VI.

    C'est le roman d'un amour impossible qui des noces royales à la deuxième croisade nous plonge, avec plaisir, dans ce Moyen-Age agrémenté par le chant des troubadours ne couvrant pas le fracas des armes prémices de la guerre de 100 ans.

    Un roman qui sait nous rendre l'Histoire plus familière.

    Jean-Paul

  • Soirée à "l'Europe"

    En cette fin d'octobre, alors que la Gazette de novembre est sous presse, de la soirée chantée à la brasserie "l'Europe", quelques décibels sauront bien trouver le chemin de notre revue mensuelle de décembre.

    Une bonne bande d'amateurs était présente pour un moment "enchanteur", celui du retour en arrière vers les tubes des années 6O - 7O et même antérieures, ce qui occasionna des reprises en chœur pour des chansons populaires.

    Comme c'est devenu la coutume à cet endroit, la musique engendre l'envie de se trémousser avant, pendant, après le repas.

    Se sont agités : les plus motivés, les moins timides, les encore agiles, entraînant les plus fragiles et les moins doués également qui se moquaient complètement des regards critiques ou envieux, si tant est qu'il y en eût !

    Une soirée sympa avec le plaisir simple de se retrouver, le désir de converser malgré les difficultés à pouvoir le faire correctement dans le brouhaha à surmonter coûte que coûte, bien que les voix les plus percutantes se faisaient entendre malgré tout....

    Les deux chanteuses n'ont pas reculé devant l'effort, tenant le micro plusieurs heures sans relâche, habitées par un dynamisme certain, sans doute satisfaites devant la piste en mouvement, et aussi répondant aux demandes des danseurs (excusez du peu) "dérouillés". Une soirée emplie de bonne humeur.

    Ninette