En quelle année la gare de Reuilly a-t-elle été fermée au trafic des voyageurs ?
- 1962
- 1969
- 1972
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En quelle année la gare de Reuilly a-t-elle été fermée au trafic des voyageurs ?
New York prit ce nom en l'honneur de :
Laura el Makki et Guillaume Gallienne nous permettent grâce à ce livre d'apparence modeste (d'apparence seulement) de mieux appréhender cet homme-océan que fut Victor, tout à la fois romancier, poète, dramaturge, pamphlétaire, académicien, Pair de France, député, (j'en oublie)...
Le livre fermé et lu d'une traite, vous n'aurez plus qu'une envie : vous replonger dans une des œuvres de cet auteur qui échappe à la commune mesure.
Jean-Paul
Notre dernière chronique date de l'été dernier. Son héros était jeune merle, un merlot, baptisé Piou Piou, qui venait régulièrement quémander de la provende auprès de Nicole. Il est maintenant adulte et on ne distingue plus de ses congénères, toujours aussi affamés que lui , mais il vient régulièrement frapper aux carreaux !
Si l’hiver a été doux, le resto du cœur pour oiseaux des Marguettes est resté ouvert en permanence avec les mêmes clients.
En cette fin du mois d’avril, le jardin est en fleurs : arbres de Judée, forsythia, Koria (chorette), oranger du Mexique, Magnolias blancs, Lilas …Primevères, pâquerettes et violettes blanches forment des tapis colorés sur le gazon.
Nous voyons toujours notre volière habituelle : pigeons patauds au jabot avantageux, merles, mésanges, pies, moineaux, et bien sûr les impitoyables geais, qui surgissent comme des flèches lorsqu’une boulette de brioche est lancée. Ce matin, ce fut une escadrille de quatre geais !
Hier, Nicole lance une boulette sous un buisson d’arbousier où se précipite un petit merle, très vite chassé par une pie, laquelle se perche alors sur une branche, mais… y reste sans bouger. Mais que se passe-t-il ?
En regardant attentivement, on aperçoit, bien camouflée dans les rosiers, non loin du buisson, la superbe chatte angora Michka, que nous connaissons bien, et qui attend son heure…
Le superbe pic vert manque encore à l’appel. Nous l’espérons bientôt…
En ce lundi 2 mai, c’est l’effervescence dans le jardin : toute la volière s’agite car les geais sont venus nous présenter leur deux nouveaux petits (pas si petits que ça d’ailleurs…) Comme nous l’avons déjà observé, ils leur apprennent, côte à côte sur la pelouse, à se saisir de la boulette de pain, mais continuent à refuser les cacahouètes.
Nous comprenons mieux pourquoi ces derniers jours, les geais refusaient les cacahouètes et se précipitaient sur les morceaux de pain brioché : pédagogie oblige !
Ainsi continue notre agréable cohabitation avec nos chers oiseaux…
Jacques et Nicole
Jusqu'au 17 juillet le Pavillon de l'Ermitage présente deux petites expositions.
Au rez-de-chaussée c'est une représentation (1 panneau par édifice) de 12 "folies" parisiennes (douze édifices du XVIIIe siècle encore visibles aujourd'hui à Paris ou en région parisienne).
Si vous grimpez au premier étage vous puiserez des informations sur des entreprises pionnières de l'Est parisien (1850-1950).
J'ai ainsi découvert que jusqu'en 1969 La Brasserie "Karcher et fils" siégeait 139 rue des Pyrénées et les dragées "Martial "se dégustaient 56-58 rue Planchat. Et vous ? Le saviez-vous ?
Jean-Paul
Nous étions bien peu dans le salle de cinéma ce mardi après-midi (et c'est bien dommage) pour assister à la projection du documentaire de Bernard -Henri Lévy : Peshmerga.
De juillet à décembre 2015 le philosophe à la chemise blanche, a tourné sur la ligne de front située entre les combattants kurdes et les troupes de Daesh.
On comprend mieux grâce à ce film ce peuple si attachant qui combat bravement contre les islamistes ennemis de toute culture et de toute morale.
Un film à voir sans plus tarder, car les évènements s'accélèrent.
Jean-Paul
New York prit ce nom en l'honneur de :
Quelle est la particularité linguistique de "Indivisibilité" ?
Les chorales du centre Ravel fêteront cette année encore la musique le 21 juin.
Venez nombreux nous écouter et nous encourager dans ce programme varié à 21 h au centre Maurice Ravel, 6 avenue Maurice Ravel, Paris 12è.
À bientôt.
Colette C
Grande et belle exposition sur Le Douanier Rousseau et ce jusqu'au 17 juillet au Musée d'Orsay.
Son ambition est de revisiter l’œuvre d'un artiste jugé inclassable mais dont le travail s'inscrit dans son époque.
Ainsi sur fond parisien fin XIXeme "Moi-même, portrait paysage" où "La Muse inspirant le poète" (Marie Laurencin et Guillaume Apollinaire). Les Surréalistes ne cachaient pas, Breton en tête, leur admiration pour Le Douanier dont "La charmeuse de serpent" et "La Guerre" appelée aussi "La chevauchée de la discorde" subjuguent les visiteurs.
Une exposition à ne pas manquer.
Jean-Paul