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ARVEM ASSOCIATION - Page 121

  • Lire "Les pourquoi de l’Histoire"

    Stéphane Bern a fait éditer depuis peu “Les pourquoi de l’Histoire n°4”. Il y répond à 100 questions que vous pouvez vous poser. Certaines peuvent vous paraître sans grand intérêt, d’autres vous interpelleront, toutes vous intéresseront peu ou prou.

    Pour ma part cette lecture m’a incité à me procurer les 3 précédentes et à attendre avec impatience la parution n°5.

    Jean-Paul

  • Spectacle "Un truc entre nous"

    Un truc entre nous…
    Entre nous… c’est truc… à voir.

    Deux acteurs, Clément Naslin (auteur du spectacle) et Sabine Perraud, se partagent la scène, se chamaillant le rôle de magicien. Lequel des deux le sera plus que l’autre ? Lui laissera t-il son rôle de magicien ?

    Mais le mariage du théâtre et de la magie est bien heureux. Pour certaines scènes le soutien d’un spectateur est indispensable, qu’à cela ne tienne, il est pris au hasard, d’une boule de papier jetée dans la salle. Marcelle, l’une d’entre nous en fit l’expérience.

    Puis après le spectacle, "Entre nous", en petit comité, Clément Naslin, nous réalise, "un truc".

    Cette fois, c’est Monique qui participera. Clément Naslin plie une carte, en quatre, la glisse dans la main gauche, avec une recommandation : tenir ses deux mains bien fermées : il insiste, notre concertation, aussi, est indispensable ! Après quelques instants, de discrètes manipulations, il demande à Monique d’ouvrir sa main gauche… qui toute heureuse, montre bien que la carte est toujours dans sa main… sans avoir bougée… Alors comme pour se faire pardonner que la magie n’est pas marché, Clément Naslin, offre à Monique, un cadeau…. sa montre… passée de son poignet à la poche de Clément… comme par magie… Tous bouche bée nous ne pouvions qu’applaudir !

    Arletteck

  • Atelier d'écriture "Le tautogramme"

    Thème : Tautogramme en M de l'atelier du 11 juin 2018

    Monique Mord dans un Morceau de Maquereau Mariné dans du Morgon et du Mazout. Merde alors, elle en Meurt.

    Mon Monstre à Moi, Mon mec, Mon Mari, Ma Moitié. Me Ment Méthodiquement. Ma Montre Marque Minuit. Il a encore Manqué le Métro.

    Mince, pense Marguerite. Mijoter un Mironton le Mercredi, ce n'est plus à la Mode. Le Menu de Monique est plus Maigre. Mais je n'en Mangerai pas. C'est un Mélange de Minestrone et de Mayonnaise.

    Michel a encore Mouillé Maladroitement son Maillot Marine. Sa Mère le Morigène. Mal lui en prend. Il Maugrée, la Maudit et Mauvais, il Marche Mal ce Matin.

    Mon Manteau Marron Mi-long, Me Mord les Mollets. Je Monte les Marches du Métropolitain avec Méthode. Martine se Moque de Moi. Je M'écroule Méchamment en Marmonnant des Mauvais Mots.

    Jacqueline F.

  • Sur les pas de Charlotte Corday

    Suite à la discussion du samedi, nous nous sommes retrouvés Place des Victoires pour revivre le parcours de Charlotte Corday le 13 juillet 1793.

    De l’hôtel de la Providence où elle logea, nous nous sommes élancés vers la rue des Cordeliers (actuellement rue de l’École de Médecine) en longeant les jardins du Palais Royal (où elle acheta son coutelas), la rue Saint-Honoré, le Pont Neuf et le café Procope fréquenté par Marat.

    Une promenade agréable ayant un parfum d’été finissant.

    Jean-Paul

  • Discussion "Charlotte Corday"

    Qui était Charlotte Corday ?
    Elle se nommait Marie Anne Charlotte Corday d’Armont, née le 21 juillet 1768 dans une ferme à St- Saturnin en Ligneris (aujourd’hui village Les Champeaux, Orne).

    Elle était l’arrière, arrière, arrière petite fille de Corneille. Son père agriculteur, marié à une petite noble qui n’aurait jamais reçu sa dot... Cet homme plutôt procédurier cherchera toute sa vie à récupérer l’argent.

    Sa mère décède à 46 ans, enceinte de son 6è enfant. Charlotte est placée chez les sœurs à l’Abbaye aux Dames. Bonne élève, ses lectures vont sur les textes de Rousseau, Corneille, Plutarque...

    Elle sort à 18 ans, ayant un fort caractère dit : "Je ne me marierai jamais". Cependant elle semble belle, le teint clair qui rougit facilement.

    Voyons l’atmosphère de l’époque
    L’hiver 1788-89 est froid, la récolte a été mauvaise, le blé est cher, le pain manque (la faute à l’Autrichienne et Necker "un suisse", ils accaparent le pain sur le dos du peuple). Aux boulangeries les femmes durant des heures font la queue : agitations, troubles, quelques massacres de marchands de grains, de boulangers.....

    En France "la grande peur" animée par des comploteurs fera que le 4 août l‘abolition des privilèges sera déclarée, entre autre, droit de chasse pour les paysans et donc, tout retombe sur les seigneurs mal aimés, prise de châteaux...

    En février 1790 Charlotte vit à Caen chez une parente (près de la rue des Carmes où se réunissent les Girondins). Une anecdote dit qu’à table, elle refusa la tradition celle de boire à la santé du roi qu’elle jugeait trop faible, soulignant "Personne ne perd rien en me perdant".

    En 1792 la guerre contre l’Autriche, la Prusse voit l’ennemi à nos portes : Verdun, Longwy.

    Retenons qu’un homme s’insurge
    Marat journaliste particulièrement agitateur (deviendra administrateur de Paris, puis député) lance "Laisserons nous les ennemis massacrer nos femmes et nos enfants" !

    Donc, les révolutionnaires entrent dans les prisons, tuent des prêtres, des nobles 1300 morts environ.

    Le 21 janvier 1793 c’est la mort du roi.

    Le 5 avril l’abbé Combeault (qui avait éduqué Charlotte), considéré comme traitre est guillotiné à Caen. Est-ce cela qui va la pousser au crime ?

    Déroulement du scénario .... Lire la suite ICI

  • Théâtre "Tu te souviendras de moi"

    Un excellent moment de théâtre en compagnie de Patrick Chesnais, sa fille et 3 autres comédiens, sur le thème de l’effritement de la mémoire. Thème traité tout en douceur dans l’univers de ce professeur d’histoire qui est incollable sur les grandes batailles et leur date, mais dont les souvenirs se mélangent ce qui donne lieu à des rencontres poétiques.

    Des rires, quelques larmes, mais surtout beaucoup d’émotion avec cette interprétation magnifique de Patrick Chesnais qui oublie et qui n’oublie pas à la fois.

    À voir au théâtre de Paris.

    Colette C