Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

paris - Page 76

  • À vous de jouer ? (n°713)

    Avis aux fans de littérature qui s’ennuient durant le confinement, ce jeu devrait vous plaire…

    C’est sur les réseaux sociaux que nous avons vu passer ce jeu littéraire. Il consiste à retrouver les 30 noms d’auteurs et d’autrices cachés dans un texte sur le confinement.

    Voici le texte dans lequel vous devez chercher les noms :

    Confiné, il racontait ce qu’il ferait, une fois libre, d’ici un mois, dans ces eaux-là.

    Ce moment sensible si dur à surmonter… Mais les mots, lierre de la pensée, permettent de s’évader un moment, de laisser fuir ces maux passants.

    Près de la fontaine dont les flots bercent l’oreille distraite, des oiseaux volent, terre, herbe et racines endormis. Les oiseaux sont là, souverains, beaux, jeunes encore.

    Une tribu goguenarde qui boit l’eau et la bénédiction du soleil qui couvre leur air novice.

    Le rabot de l’air ne les épuise pas : ils n’en font cas, mus par la douceur du jour.

    Mus, c’est le mot, mais sans mouvement : ils se posent l’arbre vert ne bouge presque pas.

    Du mât naturel, ils regardent au loin, plus ou moins anges, peu ou prou statues.

    Braves bêtes, la becquée te les rend grands mais où est le bec aujourd’hui.

    Le héros poursuit son chemin rêvé. Les ronces ardentes frôlent ses pieds.

    Il avance, doucement, cherchant une aide, blonde, brune, rousse, au hasard.

    Il a beau voir toute cette splendeur, il ne s’y trompe pas.

    Il a beau marcher par l’esprit, il ne bouge en réalité pas.

    C’est la force des poètes : se promener sans mouvement, sans de grands efforts.

    Voir la vie en beau malgré tout, malgré les épreuves.

    L’esprit est une gare : y passent mille idées qui s’enfuient et nous entraînent.

    Toujours l’art a gonflé cette voile humaine, cette force : tenir bon, jusqu’au prochain voyage.

     MarieD

    Réponse lundi prochain

  • Déblocage déplorable !

    Les “D”  sont lancés !

    Dernièrement un virus dictateur a été détecté. Découverte importante de la démolition du quotidien, une défiance suscitant des déménagements face au confinement conseillé pour une durée non dévoilée ; dingue !

    Alors apparaît le dévidoir des doutes, les dérogations, les démangeaisons des sorties, déviance des distances, les dépistages, les directives diverses, le déraillement des dires des docteurs, puis par des détraqués déterminés des détournements et dépouillements des fournitures au détriment des  besoins dispersés dans divers départements.

    Mais avec diplomatie pas de désengagements, pas de découragements, dévouements déployés des praticiens et bénévoles  des semaines durant.

    Des idées nouvelles créatives dépannant les laboratoires, la confection et distributions de masques jetant son dévolu sur l’angoisse.

    De ce fait,  déploiements d’applaudissements destinés aux dévoués visibles et invisibles qui ont tout fait pour dévier la détresse si dévastatrice causée davantage par les deuils subis.

    Quel va être notre devenir après cette prison dorée au domicile ? Deux mois déjà de détention, à démontrer notre défense. Serons-nous déphasés ?

    LesD”sont jetés !

    Désirable le déconfinement. Défoulement ? Gare aux dérapages ! S’il faut décompresser, se dérider, se dépenser sans déroger, ne pas se dévergonder dans les débits de boissons, des devoirs nous devrons assumer, discipline des protections, démarches raisonnées, et toujours sur la défensive pour détrôner cette mente infection.

    Dorénavant pas de divergences ! D’accord ?

    Adieu les “D”... Bonjour les “P” “V”!

    Patience, Persévérance, Prudence : Vertus des Vainqueurs = Virus Viré ! = A votre avis ? = Victoire !

    Une détenue détendue.

    NINETTE

  • Christophe

    On ne l’oubliera pas,
    Ces mots doux qu’il composa
    Ce qu’il disait était beau
    Fluide comme de l’eau.
     
    Sa voix chaude et sans délire
    Était à la mode,
    Le son en point de mire
    Connaissant les codes.
     
    L’artiste qui chantait la femme
    Continuons de l’écouter,
    Rallumons la flamme
    Des slows pour les danser.
     
    Séchons nos larmes
    Ne jamais plus pleurer,
    Ne gardons que le charme
    Du chanteur d’Aline regretté.
     
    Jean-Yves

  • Lire "Le duel"

    paris,livreDans “Le duel”  Frédéric Mitterrand nous raconte avec brio la confrontation entre “Napoléon le petit” et l’auteur de ce pamphlet, Victor Hugo.
     
    Il nous permet ainsi de suivre le magnifique écrivain depuis sa fuite de Paris suite au coup D’État du 2 décembre 1851 (aidé par Juliette Drouet) vers Bruxelles puis Jersey et Guernesey.
     
    Le “périssime” devient vite familier au lecteur lui montrant un Victor Hugo omniprésent, (trop parfois), capable tout en écrivant des chefs d’œuvre comme “La légende des siècles” et “Les Misérables”de s’intéresser à la photographie et aux brocantes qui lui servent à meubler Hauteville House.
     
    Frédéric Mitterrand nous livre par cet ouvrage un véritable document que le lecteur savoure.
     
    Jean-Paul