Quel est l'aliment le plus riche en fer :
- le boudin noir
- les lentilles
- l'ortie
Réponse lundi prochain
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Quel est l'aliment le plus riche en fer :
Réponse lundi prochain
En France, l'abolition de l'esclavage est proclamée en1789, en 1848 ou en 1898.
Cette île, avec sa voisine Sainte-Marguerite, est l’une des deux îles de Lérins. En ce samedi ensoleillé du 4 novembre, nous y abordons après une vingtaine de minutes de traversée depuis Cannes. De l’embarcadère, par une magnifique allée de pins, nous commençons notre visite par un excellent déjeuner au restaurant la Tonnelle. Devant la mer, nous dégustons les spécialités locales arrosées de deux vins blancs locaux de grands crus : le saint Césaire, chardonnay de 2016 et le Saint-Pierre assemblage de chardonnay et de clairette de 2016 également, déjà couronnés de grands prix. Délicieux !
Nous pouvons alors nous promener dans l’île, en commençant par les vignobles exploités par les moines depuis plusieurs siècles, avec l’aide de bénévoles, dont notre ami de Nice, qui nous commente les récentes vendanges (qui furent bonnes, heureusement !).
Nous apprenons que le monastère fut fondé vers 400 par Saint Honorat, qui constitua autour de lui une communauté cénobitique. Depuis, après des siècles très mouvementés, avec notamment des incursions de pirates et de soldats étrangers, il fut rendu à l’église en 1859. Nous visitons le magnifique cloître du XIe siècle qui est le cœur de la vie monastique. Sept chapelles sont disséminées sur l’île. Elles servaient au Moyen Âge lors des pèlerinages annuels.
La majestueuse tour-église-forteresse, implantée en bord de mer est impressionnante de force et de beauté. Elle est la symétrique de la tour du Suquet de Cannes.
C’est aussi l’occasion de rappeler que le monastère de l’île "produisit" quelques saints parmi les plus célèbres de la chrétienté : Saint-Patrick, qui évangélisa l’Irlande, Saint-Césaire, évêque d’Arles, Saint Salvien, Saint Aygulf et quelques autres. Ce dernier, en 660, y introduisit la règle de saint Benoît remplacé par la règle de Cluny quelques siècles plus tard. Aujourd’hui, c’est une communauté cistercienne qui prie et travaille dans l’île.
Nous repartons heureux… nous reviendrons !
Jacques & Nicole
Quand on s’intéresse à l’histoire chronologique de la France on met en avant généralement les dates nous rappelant les hommes qui ont marqué notre histoire et souvent aussi, les batailles les plus célèbres (souvent victorieuses).
Ce livre a une approche différente ; il s’intéresse aux lieux emblématiques symbolisant chaque époque.
Cela nous mène entre autre, de Lascaux pour la Préhistoire, au pont du Gard pour la période gallo-romaine à Notre- Dame pour le Moyen-Age, Chambord pour la Renaissance, Versailles pour le Roi Soleil, la place de la Bastille pour la Révolution, l’Arc de Triomphe pour l’Empire et enfin à partir du Sacré-cœur, bien d’autres lieux qui pourront vous surprendre.
Ils racontent tous l’Histoire de France et c’est passionnant.
Jean-Paul
Le hasard a voulu en 2017, que le prix Goncourt attribué à Eric Vuillard et le prix Renaudot remis à Olivier Guez aient eu pour sujet les évènements d’avant et après la guerre de 39-45.
À savoir que Goering et Hitler ont cherché a récolter de l’argent auprès de grandes entreprises allemandes (des noms encore en vigueur de nos jours) afin de gagner les élections en affirmant également, la fin d’un règne faible, que chaque patron soit un "führer", supprimer les syndicats, faire éloigner la menace communiste, etc...
Tout ceci convenant parfaitement, les chefs ont tous payé, les nazis ont gagné !.... 1938 ce fut la conquête de l’Autriche par la force dissuasive et l’emploi de moyens persuasifs d’Hitler, ceci en 3 jours ! À ce moment là, Albert Lebrun, était en train de créer l’appellation contrôlée du Juliénas !...
Olivier Guez nous raconte : Mengele médecin faisant des expériences sur les jumeaux de préférence à Auschwitz. À la fin de la guerre il s’enfuit en Amérique du Sud et meurt en 1979 à Sao Paulo.
La conférence portait sur 2 points principaux : Dunkerque et Sigmaringen.
Dunkerque
"L’affaire Dynamo" du 26 mai au 4 juin 1940 a occasionné le sauvetage de 338 226 soldats par l’intermédiaire de toutes sortes de bateaux venus d’Angleterre malgré près de 40 000 morts survenus dans les combats.
Cependant 2 jours auparavant Hitler avait ordonné l’arrêt des troupes dans la Baie de Somme. Pourquoi ? Peut-être pour ne pas endommager l’Angleterre, pensant un arrangement avec la parti passif anglais ? Peut-être gagner Paris plus intéressant et plus vite ? Finalement Dunkerque sera prise le 6 juin 1940.
Sigmaringen
Après le débarquement allié en Normandie, les allemands ont poussé les dirigeants français à se retrancher au château de Sigmaringen, imposante construction de plusieurs étages où se sont installés 2 types de groupes :
- "les passifs" : Pétain, Laval, Bonnard, des anciens ministres qui refusent d’être ministres et toutes responsabilités
- "les actifs" : ceux qui font partie de la Commission gouvernementale dont le chef est De Brinon, Marcel Déat ministre du travail, Luchaire journaliste créateur du journal "La France", Joseph Darnand chef de la milice. Céline "Docteur Destouches" avec sa femme et son chat Bébert et bien d’autres... 1142 collaborateurs sont réfugiés mènent une vie oisive avec d’importants conflits relationnels entre certains.
Le 23 novembre 1945 libération de Strasbourg par les alliés, donc toute la France est libérée.
Fin décembre "l’Affaire des Ardennes", une contre-attaque allemande contre les alliés, redonne espoir aux réfugiés. Le 24 c’est la joie au château, soirée festive théâtrale, musicale...
En 1945 près du Lac de Constance, Jacques Doriot crée le Comité de libération et veut mettre des espions derrière le FFI ainsi que dans les troupes américaines, espérant que les armes secrètes permettront aux allemands de reconquérir la France.
Le 22 février se rendant au château, il est mitraillé. Avant l’arrivée de l’armée de De Lattre à Sigmaringen, Pétain s’est réfugié en Suisse, puis prisonnier en France, c’est en avril qu’il sera jugé, condamné à mort, mais finalement obtint la détention perpétuelle.
Cette période nous a été développée grâce à Céline qui de Sigmaringen a fuit vers le Danemark, laissant traces dans ses écrits au style particulier que nous avons apprécié par la lecture de nombreux passages faisant revivre d’une manière alerte certains épisodes.
Ninette
Chaque jour est unique, chaque année est une promesse de joies et de découvertes.
Que 2018 soit pour vous une année spéciale, que des milliers de petites joies viennent embellir votre vie.
Jeux de société
Vous cherchez des partenaires, vous désirez vous initier ! Venez nous rejoindre.
Scrabble, tarot, belote, bridge
Lundis 8, 15 & 22 janvier de 18h30 à 21h30
Samedi 13 janvier 10h30
Échecs
Lundi 8 & 22 janvier de 18h30 à 21h30
Dimanche 7 janvier à 17h30
Balade photos
Samedi 13 janvier
Fêtons l'Épiphanie à 16h30
Samedi 13 janvier à 14h30
Discussion de Jean-Paul : Les Borgia
Lundi 15 janvier à 19h
Atelier d'écriture
Mardi 16 janvier à 18h30
Billard américain
Dimanche 21 janvier à 11h30
La bonne franquette
Dimanche 28 janvier à 11h
Expo au MAHJ "Goscinny"
En ce début décembre 2017, la froidure s’est installée et nous pouvons faire le point sur nos relations avec le Petit Peuple des oiseaux, de nos chers oiseaux, depuis le printemps. D’abord la sécheresse persistante nous a amené beaucoup de clients venus du bois voisin, affamés et assoiffés. En ouvrant la fenêtre sur le jardin au début de juin il y a cinq merles, trois geais, trois mésanges bleues et toujours quelques pigeons ramiers, qui attendent tous le resto du cœur. Surprise, fin mai, nous voyons arriver trois mésanges à longue queue, c’est très rare. Les oiseaux se disputent la provende. Une pie affamée vole le pain des petits merles. Nous assistons à une bataille entre les geais et les pigeons. Les geais ont dévorés, et alors, on s’attendait à une belle couvée… rien cette année !
Cervelle d’oiseau ? Ceci n’est pas vrai pour de nombreux oiseaux, dont les corvidés. Notre pie en est un excellent exemple, laquelle, après avoir subtilisé une cacahouète et ne savoir qu’en faire, a vite compris ensuite qu’il fallait la décortiquer. Mais les geais nous en ont fait de leur côté une autre démonstration : à notre retour de vacances : nous leur avons confectionné les boulettes habituelles de petits pains au lait. Sauf que le paquet était périmé depuis 15 jours… ils ont rechigné, et n’en ont guère mangé. Nous avons donc renoncé et nous leur avons à nouveau fourni des pains au lait frais. Et là, aucun problème, ils se sont envolés comme des… petits pains !
À la fin de l’été se pose toujours la même question : "est-ce une année à glands ?" en songeant à nos chers geais. Bingo ! C’est en effet une excellente année et nous avons eu l’embarras du choix parmi les grands chênes du bois de Vincennes. Nous en constituons une solide réserve et chaque jour, plusieurs fois par jour, la Bonne Dame en dépose quelques-uns dans une écuelle sur une fenêtre. C’est un vrai bonheur que de voir l’écuelle vidée en quelques minutes et d’observer les geais aller les cacher parmi les rosiers ou les décortiquer.
La grande et bonne surprise est le retour du pic vert à la mi-septembre. Non pas celui que nous connaissions, mais un autre avec une coiffure d’un rouge orangé moins éclatant que le précédent. Mais notre surprise se double lorsque nous voyons quelques jours après un second pic vert arriver et batifoler avec le premier tout en déployant ses ailes à 50 cm du sol comme une parade amoureuse, bien que ce ne soit pas la saison . Depuis le spectacle d’un pic vert piochant dans le gazon à la recherche de fourmis est quasiment quotidien.
Malheureusement, l’élagage excessif du grand pin n’offre plus aux plus petits oiseaux un abri sûr et ils se réfugient de plus en plus souvent dans les buissons voisins. Les pies, les geais et les corbeaux (ou corneilles) sont maintenant les seuls à fréquenter cet arbre. Le rouge-gorge est de retour pour l’hiver ainsi qu’un petit moineau esseulé. Nous n’avons vu que quelques étourneaux repartis très vite. Tous ces petits oiseaux sont très importants dans un jardin qu’ils débarrassent de nombreux hôtes indésirables : chenilles, pucerons etc. Merci !
(*) Ainsi passent les mois et les années aux Marguettes avec nos chers oiseaux.
À l’an prochain.
Jacques et Nicole
Ce livre d’Isaure de Saint-Pierre par ailleurs auteure de nombreux livres traitant de sujets historiques nous raconte la liaison de la belle Gabrielle d’Estrées et du Vert Galant Henri IV.
C’est une vraie fresque d’Histoire qui nous est proposée allant de décembre 1579 mois de la naissance de la “ presque reine” Gabrielle d’Estrées au mois d’avril 1599 , mois du décès, en couches, de celle qui était devenue pour beaucoup la “putain du roi”.
Dans ce livre avec la ravissante Gabrielle nous allons de château en château dans des tenues plus resplendissantes les unes que les autres.
Jean-Paul
Est-ce un retour vers notre jeunesse scolaire qui nous a attirés nombreux pour retrouver ce génie de l’écriture ? Voire approfondir un peu le profil de ce personnage né en 1621 à Château-Thierry, marié à 26 ans avec une jeunette de 14 ans 1/2 (normal à l’époque) a failli entrer dans les ordres, mais finalement pas fait pour ce dévouement, car de tempérament libertin, poussé par son père suit des études de Droit.
À 31 ans il reçoit la charte "des maitres des eaux et forêts" C‘est l’année de la naissance d’un fils éduqué par son parrain.
D’esprit “cavaleur” il fréquente les cabarets à Paris, il dit ; “j’aime le jeu, l’amour, les livres et la musique”.
À 33 ans il publie sa première œuvre “l’Eunuque” une comédie en 5 actes, sans succès. Grâce à son oncle magistrat, il entre au service de Fouquet, pensionné (pension poétique) contre des écrits tous les trois mois.
Il assiste à la réception fastueuse de Vaux-le-Vicomte donnée pour Louis XIV où la troupe de Molière interprète pour la première fois “ Les Fâcheux” dont il se fait reporter. (Nous avons eu des lumières dans les yeux à la découverte de la distribution de diamants lors d’une loterie, et de l’ambigu, le buffet salé, sucré, servi dans la vaisselle en vermeil....). Mais tout cela mènera, on le sait, Fouquet en prison à Pignerol par ordre du Roi.
Du coup, Louis XIV n’aimera pas La Fontaine, et son oncle sera exilé à Limoges (d’où l’expression limogé) et pour s’éclipser La Fontaine fera la voyage Paris Limoges, un écrit en découlera.
Plus tard de retour à Château-Thierry, il se fait pensionner par la duchesse de Bouillon Marie Anne Mancini nièce de Mazarin, elle-même soupçonnée dans l’affaire des poisons, sera exilée. Par le fait La Fontaine rentre au service de la 2eme femme de Gaston d’Orléans, Marguerite de Lorraine, au palais du Luxembourg. Il doit présenter les plats, faire les commissions, porter les messages, promener les chiens... C’est l’époque où il écrit les contes coquins. Lire la suite ICI
1695 Il meurt à l’hôtel d’Hervart à Paris, retrouvé avec un cilice sur le corps. (Il voulait sans doute être en paix auprès de ces animaux si taquinés.... mais innocents qui l’attendaient, forcément au ciel !...)
⇒ Pour ne pas rester sur cette image triste et pour jouer avec votre mémoire, un petit quiz sur les fables vous a été proposé. Comme vous aviez été à bonne école, sans la torture de passer au tableau, en écoliers(es) appliqués(es) vous avez répondu spontanément avec brio ! Bravo !
Ninette