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Déjà depuis le 14 juillet 2018 il présente sous un aspect assez restreint une exposition intitulée “Magiques licornes” (jusqu’au 25 février 2019) belle introduction à la superbe “Dame à la licorne” toujours exposée avec le beau devant d’autel de la cathédrale de Bâle et une nouvelle ornementation du Frigidarium.
Si vous voulez rester au fait de la rénovation du Musée du Moyen-Âge n’hésitez pas, rendez-vous rue du Sommerad devant la nouvelle entrée.
Nikaïa la belle a dans son domaine plusieurs jardins magnifiques auxquels nous rendons régulièrement visite par devoir et par plaisir.
En cette mi juillet, notre choix s’est porté sur le jardin des moines de Cimiez, créé en 1546 par les Franciscains de l’ Observance et resté quasiment à l’identique depuis. À proximité des Arènes, il rappelle par son style le jardin à l’italienne. Cet ancien potager et verger des moines a gardé son tracé d’origine avec son puits central et ses pergolas anciennes entièrement recouvertes de rosiers grimpants.
Il est organisé en damiers sur une surface de 9950 m². Lorsqu’on y pénètre, une vaste esplanade s’offre au regard, partagée par une large allée. Elle est longée sur un côté par une tonnelle recouverte de rosiers grimpants. Des orangers, des citronniers, des mandariniers ponctuent une pelouse parfaitement ordonnée.
Des espèces méditerranéennes comme l’olivier et le cyprès côtoient de splendides magnolias. Des roses anciennes et des carrés d’autres fleurs embaument le jardin. Nous y avons pique-niqué (pan bagnat obligé !) et lié amitié avec une gracieuse tourterelle grise, venant quérir des miettes dans la main.
Au fond, on découvre un panorama très étendu sur les limites Est de la ville et la chaîne des collines niçoises : mont Gros, mont Vinaigrier, mont Boron, et au sud, la colline du Château, la mer et la vallée du Paillon.
Beauté, grâce, sérénité, silence, il fait bon y venir et revenir et s’y reposer sur les nombreux bancs offerts aux visiteurs.
Retrouvez-nous au Forum des associations qui se tiendra sur le bd de Reuilly, entre la place Félix Éboué et la rue de Charenton le samedi 8 septembre de 10h à 18h. Nous serons sur le stand C1.
Vous ne connaissez pas les activités de l'association, c'est l'occasion de les découvrir, vous nous connaissez, un petit bonjour nous fait toujours plaisir.
Un bon film durant lequel on revit forcément en souvenirs les émotions d’un concert et l’emballement ressenti pour l’artiste, au temps de nos belles années !
Alex Lutz est génial. (Si agréable au naturel que l’on déplore de le voir se dégrader essentiellement en privé, désabusé, acariâtre, un peu vulgaire... Mais il est vrai que sans être une star, souvent les vieux deviennent grincheux !! )
Pour le coup, heureusement là, c’est du cinéma et avec l’expérience de cette formidable transformation sûr, qu’il ne deviendra pas comme cela ! Et retrouvons vite sur Canal+ l’acteur qu’on aime.
Allez voir voir ce film, vous passerez un bon moment.
…. où nous étions en ce début du mois d’août pour participer, pour la 26e fois, au festival international des jardins dont c’était la… 27e édition. Édition très réussie sur le thème des "jardins de la pensée".
Ce fut l’occasion, une fois encore de mesurer les progrès accomplis par ce festival depuis sa création en 1991 : il a largement étendu sa superficie et ses dépendances : restaurants, boutiques, parkings, et salle logistique notamment un système d’arrosage permanent de haut niveau.
Que l’on songe au verger de Platon, au jardin d’Épicure, ou jardin des lettrés de l’ancienne Chine, au jardin des mille et une nuit, mais aussi aux "promenade des philosophes" d’Heidelberg ou de Kyoto, aux connaissances botaniques dont Shakespeare a parsemé son œuvre, le jardin a eu, de toute éternité partie liée avec la littérature et la pensée, qui d’ailleurs a donné son nom à une fleur.
Le festival dure jusqu’au 4 novembre 2018 , et désormais, les jardins peuvent être visités le soir à la lueur de diodes électro luminescentes.
Voici quelques impressions après être passé parmi les 25 parterres illustrant la pensée : – ceci n’est pas un jardin… à la manière d’un tableau de René Magritte, – le livre de sable. C’est le nom d’un recueil de l’écrivain Jorge Luis Borges et nous entraîne dans une déambulation labyrinthique sans fin, – dans les bois, à nouveau de l’écrivain argentin sur le thème : "être perdu, c’est se retrouver", – le dédale de la pensée, voyage dans les méandres du cerveau, – le jardin des voyelles inspirées de l’Oulipo cher à Georges Perec, – l’attrape rêves, inspiré d’une légende populaire amérindienne et d’un objet mystique qui retire les mauvais rêves, - Les sept vallées : jardin en spirale qui déroule le récit d’un recueil de poèmes en langue persane "la conférence des oiseaux", – le jardin de Proust : le cours d’un dessein, – le temple de nos pensées, à la manière de La Fontaine de Trevi en Italie – et beaucoup d’autres remarques.
Si vous en avez l’occasion, ne manquez pas cette visite. D’autant que, sur le plan gastronomique, restaurant le Velum nous offre, chaque année, de délicieux repas inspirés.