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Méli-mélo - Page 16

  • Soirée beaujolais

    Goûter le Beaujolais primeur
    À l'Ile du Martin Pêcheur
    Destination la guinguette,
    L'idée était chouette.
    Ce lieu quelque peu champêtre
    Qui se prête à la fête
    Pas seulement dans nos têtes
    Mais aussi dans l'assiette!
    Eh oui ! Cher Ami absent,
    Normal pour l'apéritif, un moment
    Ce n'était pas les cacahuètes
    Mais des petits gâteaux secs
    Qui sur tables, attendaient !

    Avec une pensée pour ce que tu sais !

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  • Théâtre "Un homme à la mer"

    paris,théâtreUn homme à la mer" de Chigo de Chiara par la compagnie Aurore.

    Cette sortie au théâtre organisée par l'Arvem a permis une double découverte.

    Celle du Centre Culturel Auguste Dobel, bien équipé, même si la Compagnie Théâtrale Aurore souhaite trouver une salle de spectacles plus adéquate, notamment quant au nombre de places. Et celle d'un auteur italien, polyvalent, qui a consacré sa vie au théâtre : traducteur de textes anciens, essayiste, metteur en scène, scénariste.

    Le propos est très actuel, et sans doute a présidé au choix de cette compagnie de la RATP : le licenciement d'un cadre d'entreprise qui le laisse désemparé, tournant en rond chez lui, et s'inventant comme cela s'est produit ; parfois avec des conséquences dramatiques, un nouvel emploi... tout fictif pour rassurer sa femme.

    La mise en scène faisant intervenir le vécu chaotique et pluriel du personnage devant sa psychiatre est très efficace. Les obsessions diverses : désir, haine, désespoir prennent corps, commentées placidement par le docteur Kappa (Brigitte Plançon).

    Saluons son jeu maitrisé, correspondant au rôle, et faisant éclater par contraste, souvent humoristiquement, l'exubérance du "chômeur" admirablement interprété par Hugo Clément.

    Contrairement à certaines citations de critiques, je ne trouve aucune démesure, au sens d'extravagance, à ce personnage, si proche en fait de bien des sacrifiés du système, jusque dans le haut de l'échelle.

    Il se bat, et pour s'en tirer, il imagine. Il va même jusqu'à se trouver lui-même une autre formation, étrange, qui le délivrera de son ancienne aliénation ; si pour finir il se laisse reprendre par celle-ci, et renonce à ce projet grandiose et un peu fou, il en construit méthodiquement les prémices.

    Hélas, la mort qui faisait partie de l'utopie deviendra celle de la réalité à laquelle il l'a sacrifiée...

    Terrible ironie du sort qui colore tragiquement cette comédie et nous fait rétrospectivement mesurer la gravité de situations semblables.

    Marie-Claire C

  • Le carrousel de Paris

    Dimanche 20 octobre 2013 : Je me faisais une joie d'aller dans un déjeuner-spectacle que je ne connaissais pas et avec les amis d'ARVEM, en plus. Hélas! 3 fois hélas! Quelle déception....

    Le repas a mal commencé avec un apéro sans la moindre cacahuète.... Le saumon fumé en entrée était bon, mais le beurre ne suffisait pas à tartiner un seul des 3 "toasts". Le magret acceptable sauf que la sauce pour le riz a été apportée quand les assiettes étaient déjà enlevées (!). Mini bout de Brie avec quelques feuilles de salade sans sauce. Et dessert ... bof !

    Je suppose que le café n'avait pas été prévu par Jeannette et il fallait le payer (3€ au lieu de 5€, prix d'ami).

    Quant au spectacle, un animateur lourd de chez lourd, un raconteur d'histoires... connues et archi connues.... (mais certaines personnes riaient), heureusement un très bon montreur d'ombres chinoises et le classique ballet (4 filles et un gars quand même) auquel on a eu droit dans plusieurs numéros.

    Quant à la musique pour danser ensuite, ce n'était pas à mon goût et il fallait escalader quelques marches bien hautes pour accéder à la scène/piste de danse.

    Bref, j'ai regretté d'être venu, et j'ai l'impression de m'être fait prendre pour un touriste primaire auquel on demande d'entrer, de payer et d'être content. Il est vrai que, pour certains, le vin rouge (uniquement) à volonté peut aider à atteindre cet état.

    Aucune comparaison avec ARTISHOW, par exemple.

    Enfin heureusement que la compagnie était agréable...... ça a sauvé mon après-midi.

    Jean O

  • Vide-greniers Arvem

    Le 14eme... En ce jour de la St Médard, une oreille sur la radio, un oeil sur la météo, car si on en croit le dicton... Prévoir le pire !

    5h... Paris s'éveille... 5h30 Cours de Vincennes quelques commerçants du marché montent leurs étals. Tout aussi courageux,"mon chauffeur" est également à la manœuvre, alors que je me rends à pieds sur les lieux de la réjouissance, profitant du lever du jour, du calme de la ville, du chant des merles pas encore dérangés par le déploiement typiquement barbare d'un vide-greniers.

    À cette heure, nous sommes deux sur le terrain. Notre organisatrice et moi, papotons en douceur (afin de ne pas gêner les braves qui dorment encore).

    paris 12Nous avions, cette année de fortes inquiétudes sur l'impossibilité de pouvoir garer les voitures pour s'installer sur ce boulevard, du fait des travaux importants et de la présence de nombreuses barrières sur les places de parking, sans oublier le passage des autobus, le trafic habituel sur une largeur réduite de la voie de circulation.

    "Mais qui ne risque rien, n'a rien".

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  • Karaoké de Juin

    Comme nous avions quelque peu "chauffé la voix" durant la discussion, nous sommes allés sans souci, au rendez-vous Karaoké pour la seconde fois.

    paris,karaokéEn pays de connaissance, ce fut une soirée tout aussi joyeuse que la première, si ce n'est davantage, le fait qu'il y eut moins de monde, les amateurs ont pu chanter plus souvent.

    L'animation agrémentée d'imitations à faire revivre des voix éteintes, produit toujours un effet sympathique.

    La piste de danse a bien été piétinée comme il se doit, alternant défoulement et chansons. Une soirée très variée qui n'engendre pas la mélancolie. C'est à une heure tardive que le groupe s'est séparé, car les meilleurs moments ont une fin.

    Ninette

  • KARAOKE à la Brasserie L'Europe

    paris,karaokéVenez. Vous aussi... Venez...

    Allons-y, c'est une soirée d'essai ! Pour un coup d'essai, c'est un coup de maître, "chanteur"... (bien sûr).

    Accueillis avec beaucoup de gentillesse, car reconnus depuis notre dernière venue du réveillon, nous retrouvons nos places, au fond de la salle, face à l'écran où apparaissent les textes à chanter agrémentés de clips.

    Très vite nous compulsons le "livret" composé d'une "gamme'" importante de titres. Après que chacun ait fait son choix de chansons, les passages au micro se sont succédés "allegro" en attendant que les plats soient servis. Là "un bémol" c'est un peu long, mais il est vrai qu'il y a du monde.

    Les ventres creux n'ont pas donné de défaillances, bien au contraire. Les encouragements ont été inutiles tellement les amateurs à la fête étaient "au diapason". De belles voix, de bonnes interprétations, bien agréables car... Pour calmer la faim trop pesante rien de tel que d'occuper l'esprit, donc pas de supplications pour reprendre en chœur de nombreux couplets, quant aux refrains, aucun souci, çà "balance".

    paris,karaokéJe cherche encore les bouches cousues. On ne se contentera pas de donner de la voix. L'animation est d'une telle qualité, qu'elle nous entraîne dans diverses danses laissant nos chaises vides sans aucuns remords. Bravo les animateurs de vrais "Maestros" aux commandes de "la table de mixage" ! Quelle ambiance ! Qui n'avait pas le sourire ? Même les passants attirés par la musique, à la vue des gesticulations adressent de l'autre côté des vitres un regard en vrille...

    Habituée depuis longtemps au karaoké, c'est la première fois que je vois un tel enthousiasme général, une soirée aussi festive.

    À la prochaine occasion, nous ne manquerons pas "de concert" de renouveler "la partition" puisqu'elle est à notre "portée".

    Quel bienfait ! Cela répond peut-être au besoin de rompre avec l'atmosphère morose de cette période délicate productrice de "couacs" divulgués à la "queue leu leu" qui finissent par nous agresser à faire "péter une corde".

    Nous avons quitté les lieux "sans tambours ni trompettes" l'esprit léger, gardant en mémoire ce dernier moment, où, le responsable montrait sa joie devant cette réussite.

    "Le majeur" avait trouvé "la clef"... "de SOL" !....

    RE.....SI....de Ninette

  • Théâtre "Suivez le guide !"

    SuivezleGuide.jpgDans le petit théâtre de La Huchette, où se joue également "La Cantatrice chauve" (depuis 56 ans, un record) situé dans la rue si animée du même nom, vous pouvez "suivre le guide" dans une plongée tragi-comique au coeur du théâtre du XIXeme siècle.

    Vous côtoierez durant cette représentation Victor Hugo (en conflit feutré avec l'actrice Melle Mars) Dumas père et fils, Labiche, Maupassant (truculent) Sand et Musset (coquins), Zola, et pour clôturer le voyage, Edmond Rostand avec Cyrano de Bergerac.

    Les 2 guides Nathalie Newman et Corinne Darnay donnent le meilleur d'elles-mêmes et réussissent à nous rendre cette plongée ludique, à laquelle le public est appelé à participer, agréable et instructive.

    À recommander à tous les amoureux du si talentueux XIXeme siècle, restés nostalgiques du "Boulevard du Crime".

    Séances programmées les 4, 11, 18 avril à 15h ainsi que le 22 avril 2013 à 19h.

    Jean-Paul