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Méli-mélo - Page 16

  • Théâtre "Court sucré ou long sans sucre ?"

    Quel bonheur ! Comparable à Feydeau !

    Pour être sucrée, cette pièce* est un délice ! Dégustée avec gourmandise, je n'étais pas rassasiée après 1h30 de situations de plus en plus drôles, déchaînant rires et fous rires devant l'énergie déployée par des comédiens époustouflants qui trouvent la force de garder leur sérieux, alors que les spectateurs hilares, souhaitent presque qu'ils se soulagent, tellement cette comédie est irrésistible.

    Quel bienfait ! Pourquoi fallait-il qu'elle s'arrête ? Bravo à tous, des créateurs aux acteurs.

    Ils méritent vraiment une grande scène, pour faire profiter à un plus large public leur bonne humeur contagieuse

    Ninette

    Comédie Bastille

  • A night to remember

    Une soirée très sympathique comme ARVEM sait en dénicher.

    D'abord à l'entame (mais c'était pas une soirée jeux !), accueillis par un cocktail (boire et manger) copieux et original (pas une cacahuète sur les tables, mais des verrines variées, des feuilletés au fromage, au thon, à la saucisse... en veux-tu en voilà..).

    Puis on passait dans la salle (dommage, remplie aux 1/3 des 200 places) pour entendre des chanteuses de bon niveau (lyrique, variété, soul-jazz...).

    À l'entracte, re-belote (mais c'était pas une soirée jeux ! ) ... à boire et à manger....

    Et en 2ème partie, un trio d'Amérique du sud qui enchanta la salle et fit remonter sur scène tous les participants pour un final endiablé..... Les spectateurs ne tenaient plus en place et une grande majorité (les plus jeunes... dans leur tête surement, mais peut-être aussi les moins arthrosiques) se mirent à danser !!!

    Puis, que croyez-vous qu'il se passa ? Eh! bien oui, pour le 10 de der (mais c'était pas une soirée jeux !) on eut droit à boire et à manger.... salé et sucré !!!! Et tout ça pour 20€ !!!!

    Dommage que certains amis arvemois/oises, co-frustrés récents de cacahuètes n'étaient pas parmi nous.

    Merci ARVEM pour cette soirée.

    Jean O.

  • Réveillon au "Bella Tavola"

    Belle te voilà ? Non ! "Bella, Bellissima" Vous voilà !.....

    Les dames d'Arvem ont sorti paillettes, strass, tenues brillantes, accessoires fantaisies, "le petit plus de fête", le cœur léger afin de passer le cap de la nouvelle année en beauté !

    Le vaste endroit réservé s'est vite investi, chacun libre de choisir sa place, 55 personnes.... pas simple de les regrouper. Ce sont les arrivées les plus tardives qui sont placées quelque peu éloignées, mais soignées d'égale façon.

    Le service aimable et rapide, ne laisse pas nos appétits en souffrance, lorsqu'une jeune danseuse lance l'animation.

    parisSur scène, trois belles jeunes femmes nous feront des démonstrations de danses diverses, plutôt exotiques, changeant de costumes, de plus en plus dénudés, dévoilant des corps bien moulés (À laisser baba la gente masculine qui ne s'attendait pas à ces attractions affriolantes).

    Déjà la technique est celle essentiellement d'onduler et de gesticuler copieusement sur un rythme d'enfer. Bras, torses, bassins, jambes et on remonte, genoux, ventres, épaules, cous, têtes ont le tournis. Mais...... Lire la suite >>>

  • Soirée beaujolais

    Goûter le Beaujolais primeur
    À l'Ile du Martin Pêcheur
    Destination la guinguette,
    L'idée était chouette.
    Ce lieu quelque peu champêtre
    Qui se prête à la fête
    Pas seulement dans nos têtes
    Mais aussi dans l'assiette!
    Eh oui ! Cher Ami absent,
    Normal pour l'apéritif, un moment
    Ce n'était pas les cacahuètes
    Mais des petits gâteaux secs
    Qui sur tables, attendaient !

    Avec une pensée pour ce que tu sais !

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  • Théâtre "Un homme à la mer"

    paris,théâtreUn homme à la mer" de Chigo de Chiara par la compagnie Aurore.

    Cette sortie au théâtre organisée par l'Arvem a permis une double découverte.

    Celle du Centre Culturel Auguste Dobel, bien équipé, même si la Compagnie Théâtrale Aurore souhaite trouver une salle de spectacles plus adéquate, notamment quant au nombre de places. Et celle d'un auteur italien, polyvalent, qui a consacré sa vie au théâtre : traducteur de textes anciens, essayiste, metteur en scène, scénariste.

    Le propos est très actuel, et sans doute a présidé au choix de cette compagnie de la RATP : le licenciement d'un cadre d'entreprise qui le laisse désemparé, tournant en rond chez lui, et s'inventant comme cela s'est produit ; parfois avec des conséquences dramatiques, un nouvel emploi... tout fictif pour rassurer sa femme.

    La mise en scène faisant intervenir le vécu chaotique et pluriel du personnage devant sa psychiatre est très efficace. Les obsessions diverses : désir, haine, désespoir prennent corps, commentées placidement par le docteur Kappa (Brigitte Plançon).

    Saluons son jeu maitrisé, correspondant au rôle, et faisant éclater par contraste, souvent humoristiquement, l'exubérance du "chômeur" admirablement interprété par Hugo Clément.

    Contrairement à certaines citations de critiques, je ne trouve aucune démesure, au sens d'extravagance, à ce personnage, si proche en fait de bien des sacrifiés du système, jusque dans le haut de l'échelle.

    Il se bat, et pour s'en tirer, il imagine. Il va même jusqu'à se trouver lui-même une autre formation, étrange, qui le délivrera de son ancienne aliénation ; si pour finir il se laisse reprendre par celle-ci, et renonce à ce projet grandiose et un peu fou, il en construit méthodiquement les prémices.

    Hélas, la mort qui faisait partie de l'utopie deviendra celle de la réalité à laquelle il l'a sacrifiée...

    Terrible ironie du sort qui colore tragiquement cette comédie et nous fait rétrospectivement mesurer la gravité de situations semblables.

    Marie-Claire C

  • Le carrousel de Paris

    Dimanche 20 octobre 2013 : Je me faisais une joie d'aller dans un déjeuner-spectacle que je ne connaissais pas et avec les amis d'ARVEM, en plus. Hélas! 3 fois hélas! Quelle déception....

    Le repas a mal commencé avec un apéro sans la moindre cacahuète.... Le saumon fumé en entrée était bon, mais le beurre ne suffisait pas à tartiner un seul des 3 "toasts". Le magret acceptable sauf que la sauce pour le riz a été apportée quand les assiettes étaient déjà enlevées (!). Mini bout de Brie avec quelques feuilles de salade sans sauce. Et dessert ... bof !

    Je suppose que le café n'avait pas été prévu par Jeannette et il fallait le payer (3€ au lieu de 5€, prix d'ami).

    Quant au spectacle, un animateur lourd de chez lourd, un raconteur d'histoires... connues et archi connues.... (mais certaines personnes riaient), heureusement un très bon montreur d'ombres chinoises et le classique ballet (4 filles et un gars quand même) auquel on a eu droit dans plusieurs numéros.

    Quant à la musique pour danser ensuite, ce n'était pas à mon goût et il fallait escalader quelques marches bien hautes pour accéder à la scène/piste de danse.

    Bref, j'ai regretté d'être venu, et j'ai l'impression de m'être fait prendre pour un touriste primaire auquel on demande d'entrer, de payer et d'être content. Il est vrai que, pour certains, le vin rouge (uniquement) à volonté peut aider à atteindre cet état.

    Aucune comparaison avec ARTISHOW, par exemple.

    Enfin heureusement que la compagnie était agréable...... ça a sauvé mon après-midi.

    Jean O

  • Vide-greniers Arvem

    Le 14eme... En ce jour de la St Médard, une oreille sur la radio, un oeil sur la météo, car si on en croit le dicton... Prévoir le pire !

    5h... Paris s'éveille... 5h30 Cours de Vincennes quelques commerçants du marché montent leurs étals. Tout aussi courageux,"mon chauffeur" est également à la manœuvre, alors que je me rends à pieds sur les lieux de la réjouissance, profitant du lever du jour, du calme de la ville, du chant des merles pas encore dérangés par le déploiement typiquement barbare d'un vide-greniers.

    À cette heure, nous sommes deux sur le terrain. Notre organisatrice et moi, papotons en douceur (afin de ne pas gêner les braves qui dorment encore).

    paris 12Nous avions, cette année de fortes inquiétudes sur l'impossibilité de pouvoir garer les voitures pour s'installer sur ce boulevard, du fait des travaux importants et de la présence de nombreuses barrières sur les places de parking, sans oublier le passage des autobus, le trafic habituel sur une largeur réduite de la voie de circulation.

    "Mais qui ne risque rien, n'a rien".

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  • Karaoké de Juin

    Comme nous avions quelque peu "chauffé la voix" durant la discussion, nous sommes allés sans souci, au rendez-vous Karaoké pour la seconde fois.

    paris,karaokéEn pays de connaissance, ce fut une soirée tout aussi joyeuse que la première, si ce n'est davantage, le fait qu'il y eut moins de monde, les amateurs ont pu chanter plus souvent.

    L'animation agrémentée d'imitations à faire revivre des voix éteintes, produit toujours un effet sympathique.

    La piste de danse a bien été piétinée comme il se doit, alternant défoulement et chansons. Une soirée très variée qui n'engendre pas la mélancolie. C'est à une heure tardive que le groupe s'est séparé, car les meilleurs moments ont une fin.

    Ninette