Le blog de Bel Air Sud a publié un article sur "la propreté de l'espace public à Paris" dont la question est "partagez-vous ce point de vue".
Vous désirez indiquer le vôtre cliquez ICI
Jeanet
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Le blog de Bel Air Sud a publié un article sur "la propreté de l'espace public à Paris" dont la question est "partagez-vous ce point de vue".
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Jeanet
Quelques idées pour le weed-end de pâques
Les brocantes et vide greniers
cafés et salons de thé originaux
Jonglopolis au Carreau du Temple : ateliers et spectacle
Jeanet
Voici février presque passé
Et l'on commence à s'inquiéter
De ne plus voir d'oiseaux,
Hormis les pigeons, les corbeaux
Mésanges, rouges-gorges, les tout petits
Et les moineaux de Paris.
Ne pas entendre ces chants
À nos oreilles si charmants.
Que sont-ils devenus ?
Ont-ils vraiment disparu ?
Quitté la ville bruyante
Pour une terre plus accueillante ?
Malgré mes regards désespérés
Aux alentours souvent lancés
Rien sur les toits, les antennes
S'entêter, ce n'est pas la peine.
Mais voilà qu'un matin,
Alors qu'une petite douceur revient,
Que vois-je soudain
Sur la barrière du jardin,
Quelques petits piafs sautiller
Qui se mettent à piailler.
Quel bonheur! Et je me surprends
A dire, c'est la vie qui reprend !
Pourtant la nature est encore endormie
Vont-ils bientôt préparer leurs nids ?
Les pigeons ont commencé leurs parades
Ils roucoulent autour de leurs camarades
Tout gonflés, parcourant le trottoir,
Dansant avec espoir !
Histoire de décompresser
De ce monde agité
Dans lequel nous vivons,
Que souvent nous subissons,
Jouons sur la corde sentimentale
Même si cela semble banal,
Puisqu'ils annoncent le printemps
Alors prenons le temps
De les regarder, les écouter,
Si possible les protéger
Car, moins nombreux ils sont
Au fil du temps nous le constatons.
Et quand à l'improviste
Ils osent rendre une petite visite
À nos fenêtres et balcons,
Avouez-le, vous trouvez cela trop mignon !
Ninette
Si vous vous intéressez à Antoine de Saint-Exupéry et découvrir un certain nombre de choses ignorées sur sa vie et sa passion pour l’aviation, un documentaire très intéressant sera télévisé sur ARTE ce dimanche 12 mars à 18h.
Quand l’on parle des années 1936/37 date à laquelle il s’était rendu dans le sud marocain à Mogador (devenue Essaouira à l’indépendance) pour le tournage de son roman "courrier sud" les rares images filmées par un amateur sont celles de mon père car à l’époque il était très rare de posséder une caméra. En fait il existe très peu d’images filmées, surtout des photos sur Saint-Exupéry.
J’ai été invitée à la 1ère et j’ai appris beaucoup de choses sur sa vie et sa passion, beau documentaire.
Estelle
Pourquoi "les rombières" ? Ce sont leurs manières
Qui m'inspireront
Toute mon indignation.
Quelle mouche m'a piquée
Ce matin là au marché ?
C'est que la bonne éducation
Veut que nous ne touchions
Pas aux fruits présentés
Que chacun va acheter.
Les choisir avec les yeux
"Ah ! Non !" Qui dit mieux ?
"Faut bien les tâter"
Dit une autoritaire échevelée.
Et vas-y que j'te triture
Des pauvres clémentines la pelure,
Et puis une ou deux pas la peine
C'est parti pour une dizaine.
"Elles sont molles, çà n'vaut pas l'coup
J'en prends pas du tout"
Dit cette mégère à sa mère
Qui, choquée, lève les yeux en l'air.
(Son regard vers moi se fait long
Comme pour dire pardon)
Puis demande deux poireaux
Trois, non, c'est trop !
Lance après la pesée,
"Vous pouvez me les couper"
Puis deux navets, deux oranges à jus
Comme salade, tu veux de la laitue ?
La mère âgée qui a le malheur
D'émettre des mots, trouble l'humeur
De l'héritière qui ouvertement
Lui reproche de parler tout le temps.
Cela perturbe sa concentration évidemment !
Deux pamplemousses ? Des pommes ? Non
Des framboises ? Non, un citron
Ah ! J'oubliais une branche de céleri
Non pas de raisin d'Italie !
Puis prend son temps
Pour discuter avec le marchand
"Ah ! Mais elle m'énerve celle-là"
Dit la mémé, qui d'elle s'est écartée.
Charmant ! Cela surprend les clients
Qui font la queue patiemment
Mais commencent à s'agiter
De voir le temps passer.
Lire la suite ICI
Avec "l'affaire Fillon"
La justice va tracer son sillon
Et tous ses champions
L'auront dans l'croupion !
Alors de cela, qui va sortir
Pour la France à conduire?
Quel phénomène prendra la place
Un prétendant plein d'audace ?
Est-ce "la macronique"
La bonne tactique ?
C'est anachronique
Pour la République
D'être un Président unique !
Puisque Fillon est attaqué
Valls écarté, Hamon utopique,
Les électeurs vont-ils nommer
Mélenchon ou Macron l'énergique
Une nouvelle musique ?
Si Fillon démissionne,
Marine fanfaronne
Envisageant son avènement
"A moi, le gouvernement" !
Nos anciens dirigeants effarés
Doivent se retourner
Dans leurs tombes, constater
Les magouilles des successeurs
Et grâce au peuple électeur
Voir les têtes tomber.
Par la guillotine ? Non, les informations
La moderne Révolution et son action.
De la politique, le désenchantement ?
Faudra pourtant assurément
Y croire encore, prochainement,
Pour trouver un bon Président !
Allez, citoyens, gardez l'espoir
Et faites votre " propre" devoir
En votre âme et conscience,
Mais souhaitons nous bonne chance !
NInette
Que s'est-il passé ?
La lune se serait-elle mariée
Une fois le soleil couché ?
Cette nuit y a-t-il eu une fête
Car ce matin, de ma fenêtre
Mes yeux étonnés
Sur le trottoir, ont remarqué
Des confettis en quantité.
Pourtant je n'ai rien entendu
Aucun bruit le soir venu
Vrai, les oiseaux endormis
Les chiens chez eux à l'abri,
Aucun promeneur par la pluie
Alors, que s'est-il passé ?
Ma surprise maîtrisée
Soudain j'admets la réalité.
"Arrête ton imagination"
Me dit la voix de la raison
"C'est la nouvelle saison
Celle que l'on nomme automne
Celle qui occasionne
Toute ta confusion"
Pas de fête de mariage
Sous un ciel couvert de nuages,
Mais le tourment des vents
Qui prennent le temps
De faire perdre aux arbres leur allure,
Ainsi éparpiller leur parure
Recouvrant le sol d'un tapis
Tel un semis de confettis.
Alors encore un furtif regard
Avant qu'il ne soit trop tard,
Sur cette nature citadine
Qui met tout son art
À charmer les âmes mutines
Dont parfois l'esprit s'égare.
Soudain, je vois la lune qui sourit
Face à mon étourderie,
C'est qu'elle, pardi, a pu observer
Tout ce qui s'est passé.
Ninette
Notre dernière chronique date de l'été dernier. Son héros était jeune merle, un merlot, baptisé Piou Piou, qui venait régulièrement quémander de la provende auprès de Nicole. Il est maintenant adulte et on ne distingue plus de ses congénères, toujours aussi affamés que lui , mais il vient régulièrement frapper aux carreaux !
Si l’hiver a été doux, le resto du cœur pour oiseaux des Marguettes est resté ouvert en permanence avec les mêmes clients.
En cette fin du mois d’avril, le jardin est en fleurs : arbres de Judée, forsythia, Koria (chorette), oranger du Mexique, Magnolias blancs, Lilas …Primevères, pâquerettes et violettes blanches forment des tapis colorés sur le gazon.
Nous voyons toujours notre volière habituelle : pigeons patauds au jabot avantageux, merles, mésanges, pies, moineaux, et bien sûr les impitoyables geais, qui surgissent comme des flèches lorsqu’une boulette de brioche est lancée. Ce matin, ce fut une escadrille de quatre geais !
Hier, Nicole lance une boulette sous un buisson d’arbousier où se précipite un petit merle, très vite chassé par une pie, laquelle se perche alors sur une branche, mais… y reste sans bouger. Mais que se passe-t-il ?
En regardant attentivement, on aperçoit, bien camouflée dans les rosiers, non loin du buisson, la superbe chatte angora Michka, que nous connaissons bien, et qui attend son heure…
Le superbe pic vert manque encore à l’appel. Nous l’espérons bientôt…
En ce lundi 2 mai, c’est l’effervescence dans le jardin : toute la volière s’agite car les geais sont venus nous présenter leur deux nouveaux petits (pas si petits que ça d’ailleurs…) Comme nous l’avons déjà observé, ils leur apprennent, côte à côte sur la pelouse, à se saisir de la boulette de pain, mais continuent à refuser les cacahouètes.
Nous comprenons mieux pourquoi ces derniers jours, les geais refusaient les cacahouètes et se précipitaient sur les morceaux de pain brioché : pédagogie oblige !
Ainsi continue notre agréable cohabitation avec nos chers oiseaux…
Jacques et Nicole
Lors de notre rendez-vous, avec Marlène Dietrich, chez Maxim's nous avons remarqué un dessin de Sem. Celui des personnages dans le salon, qui est devenu "le logo" de la maison. On le retrouve sur tous les supports papier Maxim's, les menus, les étiquettes de vin, de Gin, de Champagne, et même sur les capsules de muselet.
Collectionnant ces petites choses (cliquez sur les images pour les agrandir),
j'avais écrit une note, sur Maxim's, pour la revue de l'association d'œnographilie, où je suis adhérente. Lire l'article ICI.
Tchin, Tchin à notre santé "Le papier, peut se consommer, sans modération, pour le plaisir de l'œil !"
Arletteck
Cette histoire n'est pas celle
De la "Dent du Chat"
Cette montagne de Savoie,
Ni "Les dents de la mer" ou autres
Pas plus celle des dentelles,
Ce sont simplement les nôtres.
Ah! La la ! Les dents quelle misère !
Pour les avoir bébé
Vous aussi le savez
Combien nous avons pleuré !
Puis, avec les sucreries
Vinrent les caries.
Et hop ! En piste
Bonjour le dentiste!
Ado, sont-elles mal alignées ?
Allez hop! Devanture grillagée
Sourire plombé, métallisé
Et pour quelques années.
Ah! La la ! Les dents quelle misère !
Encore plus tard soudain
Voici un autre refrain,
La gencive en grossesse
V'la t'y pas les dents de sagesse !
Les aider à pousser ?
Piqûres, faut y passer,
Bistouri pour décapuchonner
Pas question de ronchonner.
Ah! La la ! Les dents quelle misère !
Quelques années à surveiller,
Mais histoire de nous ennuyer
Elles se mettent à saigner,
Les bactéries s'y sont logées.
Dentiste, à notre secours
Pour ne pas les perdre tour à tour
Avant qu'elles ne se déchaussent
Vite, faites quelque chose !
Et nous voici embarqués
Pour être à nouveau dorlotés.
Radios, piquage, grattage,
Ah ! Faut pas prendre de l'âge !
Ah! La la ! Les dents quelle misère
Pour ne pas faire partie de la bande
"Des sans dents" de Hollande,
Alors n'attendons pas le moment
Où les poules auront des dents.
Il faut savoir souffrir
Pour garder un beau sourire
Auquel modestement j'aspire
À la lecture de ce délire !
Si vos souvenirs j'ai évoqué
Pitié, pas une dent contre moi, à garder !
Ninette