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  • Programme novembre 2019

    Jeux de société
    Vous cherchez des partenaires, vous désirez vous initier ! Venez nous rejoindre.

    Scrabble, tarot, belote
    Lundis 4, 18 & 25 de 18h30 à 21h30

    Scrabble, tarot
    Samedi 9 novembre à 10h30 & 17h

    Échecs
    Lundis 4 & 25 novembre de 18h30 à 21h30

    Samedi  9 novembre à 14h30
    Discussion de Jean-Paul : Émile Zola

    Lundi 18 novembre à 19h
    Ateliers d'écriture

    Mardi 19 novembre à 18h30
    Billard américain

    Dimanche 23 novembre à 11h
    Beaujolais, billard et bowling

    Mercredi 27 novembre à 18h30
    Atelier photos

    Samedi 30 novembre à 10h20
    Expo au Grand Palais "El Greco"

     

     

  • Maison de Balzac

    Profitant de l’exposition (jusqu’au 13 janvier 2020) "Balzac et Grandville" à la fantaisie mordante vous pouvez visiter ou revisiter la Maison de Balzac qui vient d’être rénovée (nouvelle entrée, salles à l’agencement renouvelé).

    Je ne saurais trop vous conseiller de vous munir de l’audio-guide bien des secrets de Balzac (et Dieu sait s’il en avait), vous seront révélés.

    Jean-Paul

  • Un dîner original

    Pendant notre séjour en Berry début août, nous avons fait un dîner berrichon surprenant, mais finalement excellent. Appâtés par une annonce parue dans le journal régional "la République du centre" nous nous sommes rendus un soir au restaurant la Luzeraise, aux environs de la petite ville de Chalais. Un chemin dans l’ombre nous conduisit au restaurant.

    Il faisait noir, pas de lumière, pas de voitures… nous avons quand même été jusqu’à la porte, et là, nous avons été accueillis par une vieille dame, s’appuyant sur une canne anglaise, qui nous a confirmé que nous étions arrivés à bon port. En effet, dans une salle déserte, une table de cinq nous attendait. Après quelques minutes, la vieille dame est arrivée avec la carte des plats et la carte des vins. Puis le chef, un grand gaillard moustachu,(la vieille dame était sa maman) nous a demandé si c’était bien nous qui avions commandé cinq portions de poulet aux écrevisses : en effet, c’est bien ce qui nous avait amené dans ce lieu perdu.

    La vieille dame, toujours claudicante, est ensuite arrivée avec une assiette de rillettes et des toasts. Excellents rillettes d’ailleurs, qui nous ont permis de goûter le vin blanc de Reuilly que nous avions commandé, excellent lui aussi. En entrée, il y avait le choix, sur la carte, entre du foie gras ou du sandre au beurre blanc. En réalité, il n’y avait plus de foie gras. Donc nous avons dégusté, de force, un néanmoins remarquable sandre, cuit à point, et un beurre blanc délicieux. Cela commençait finalement bien. Est arrivé ensuite le poulet aux écrevisses : honorable bestiole et chacun avec deux écrevisses dans une sauce à l’armoricaine : nous sommes régalés !

    Le plateau de fromages qui a suivi était très bien, avec notamment la vedette locale : le Pouligny St Pierre, célèbre chèvre berrichon.

    Est arrivée la surprise du chef, qui nous a proposé comme dessert une omelette norvégienne ! Ce que nous avons adopté d’enthousiasme et que nous avons beaucoup apprécié, en finissant une deuxième bouteille de Reuilly, d’un viticulteur dont nous avons retenu le nom : Claude Laffont.

    Nous sommes repartis dans la nuit, rassasiés et heureux ! Entre-temps, deux couples étaient arrivés, la salle était plus animée, heureusement pour nos hôtes. De retour à Paris, nous avons constaté que ce restaurant était couvert d’éloges sur Internet !

    Jacques et Nicole

  • Atelier écriture "Écrire dans un losange...

    Thème : Écrire sur la fin de l'été ou la rentrée : 1ère ligne 1 mot, 2è ligne 2 mots, 3è ligne 3 mots jusqu'à 5 mots puis décroître.

    Fin
    De l'été
    Enfin l'Automne arrive
    Adieu l'été si merveilleux
    J'aimerais revoir le ciel bleu
    Mais tout passe évidemment
    Il faut accepter
    Cette saison
    Naturellement

    Solange C

     

    Ah
    La rentrée !
    Fini la rigolade,
    Les balades en rivière,
    Les siestes sous le parasol,
    Les discussions entre amis,
    Bonjour les vêtements
    sérieux, étriqués
    conventionnels.

    Chantal Cn

  • Discussion "Leonard de Vinci"

    paris,vinciPour cette rentrée nous étions nombreux à vouloir suivre cet artiste qui aimait voyager pour finir en France.

    Il est né le 15 avril 1452 à Vinci près de Florence. Fils naturel d’un notaire et d’une servante paysanne Catarina qui dût épouser un chaufournier et fit 5 enfants.

    Le père vit à Florence, Léonard vit à Vinci auprès de son grand père et d’un oncle, très curieux, il observe la nature et peint très jeune .Vers 15 ans il rejoint son père qui va l’instruire, lui trouver un atelier de peinture et sculpture, où il fait son apprentissage auprès de Verrocchio comme Botticelli. Il joue aussi de "la lira" (viole avec archet). Vers 21 ans il a son propre atelier, il peint des Annonciations pour les monastères.

    La vie mouvementée d’un créateur.

    - 1481 beaucoup de peintres florentins sont demandés au Vatican pour décorer la chapelle Sixtine, mais lui va à Milan chez les Sforza où il gère la création d’une statue équestre du chef de guerre, père de Ludovic Le More (seul le cheval en argile a existé). Il peint "la Cène", "la Dame à l’Hermine" "la Belle Ferronnière", Il organise également des fêtes avec créations d’automates, réalise aussi les costumes... C’est un touche à tout et cela n’est rien !...

    - 1499 Les troupes françaises débarquent, Ludovic est chassé de Milan et comme çà sent le roussi, Léonard part avec un mathématicien et des élèves, dont Salaï et Melzi, à Mantoue puis Venise.

    1 an après de retour à Florence il habite chez les moines. Il réalise "Sainte-Anne La Vierge et l’enfant".

    1502-1503 En Romagne au service de César Borgia il devient pratiquement ingénieur, architecte militaire, s’intéresse à la fabrication d’engins de guerre, construction de fortifications. Rien ne l’arrête ! C’est l’époque où il commence La Joconde (Monna Lisa) sur peuplier 77cm / 55cm.

    Mais qui est le modèle ?

    Est-ce Salaï ou Lisa Guerardini femme d’un riche florentin Francisco del Giocondo ? C’est Lisa, confirmation donnée en 2004 par un chercheur d’Heidelberg

    - 1504 Il revient à Florence, le maître de Florence Soderini lui commande une peinture sur la bataille d’Anghiari gagnée en 1440 à la gloire de sa ville.>

    - 1506 Il fait des études sur l’anatomie, la géologie, de nombreux dessins le prouvent (13 000 pages de manuscrits) Sa curiosité est toujours sollicitée !>

    - 1513 Il passera 3 ans à Rome (se dévoile un génie). Il s’intéresse aux machines volantes, mais il est concurrencé par le constructeur Bramante et pour la peinture par Raphaël et Michel-Ange.

    Autres destinations et sécurité.

    - 1515 François 1er arrive à Milan, il rencontre Léonard, l’invite au château de Cloux (Clos Lucé) près d’Amboise. Il arrive avec "La Joconde" "Saint Jean-Baptiste" "Sainte- Anne". François 1er lui offre le château et lui donne une pension. Il le nomme "peintre, architecte, ingénieur du Roi".

    >Il fait des études sur la ville de Romorantin, Chambord, mais à 65 ans il commence à être malade, un bras se paralyse, il est fatigué. Le roi lui rend visite de temps en temps, et il lui achète des tableaux.>

    - 1519 Léonard fait son testament, demande que soient dites 3 grandes messes, 30 petites messes, 60 mendiants avec torches... Le 12 mai il décède, il est enterré près d’Amboise.>

    LA JOCONDE

    Voyons la vie de Monna Lisa qui aussi a beaucoup voyagé !

    Lire la suite ICI

    Ninette

  • Lire "La présidence de Georges Pompidou"

    Cet ouvrage nous permet de mieux connaître l’hoparis,livremme qui eut le devoir redoutable de succéder à l’Élysée au  général de Gaulle.

    Grâce à sa profonde culture et à son grand sens politique il réussit à bien représenter la France pendant son mandat écourté par la maladie, dans une période qu’on ne savait pas être le symbole des "Trente Glorieuses".
     
    Des photos inédites (la cigarette y est omniprésente) et des commentaires demandés à de grands spécialistes incitent le lecteur à s’intéresser à cette période qu’il ne mémorise pas toujours.
     
    Jean-Paul