Quelle est la particularité du personnage féminin de "La Grande Odalisque", d'Ingres ?
- Elle a les yeux vairons
- Elle a été peinte avec au moins trois vertèbres de trop
- C'est le petit frère du peintre qui a joué les modèles
Réponse lundi prochain
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Quelle est la particularité du personnage féminin de "La Grande Odalisque", d'Ingres ?
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Qui n'a pas écrit "Antigone" ?
Au haut de la colline, après une éreintante et torride grimpée depuis la plage, Monsieur Pin Parasol vous accueille et vous enveloppe de son ombre de la hauteur de sa majesté.
Poussez le petit portail de bois peint en vert, délavé au fil des ans et dont le loquet ne fonctionne plus depuis des lustres, comme pour mieux attirer le promeneur.
À droite siège un vieux portique de balançoires brinquebalant, témoignage d’enfances de trois générations.
Une bienfaisante sensation de fraîcheur et de calme vous saisit.
Vous traversez deux haies de lauriers roses aux feuillage vernissé et fleurs de soie embaumant le miel. Suivent les mimosas persistants alourdis de leurs pompons, couleur soleil et senteur suave. Arrivent alors les oliviers aux troncs noueux et ridés, habillant l’azur de leur feuillage d’argent, bruissant aux rafales du Mistral. Puis s’élance vers le ciel, devant la pergola de la maison, le palmier-dattier, vous préservant généreusement de ses longues palmes raides de l’ardeur du soleil.
Trois petites marches de pierre de mika et voici le pied de l’imposant eucalyptus qui parfume l’air de sa forte essence mentholée et poivrée. Il abrite les cigales qui, certains étés, étourdissent les oreilles de leur grésillement.
Le matin, un ballet de colombes blanches, ailées de beige, volettent amoureusement de branche en branche en roucoulant. Et le pic vert solitaire, rigolo, qui plante son long bec fin par force à-coups dans le tronc d’un vieux mimosa. Parfois pies, grives et geais atterrissent sur un coin de terre nue, picorent et s’envolent, un gros vers – excise pitance - pendant du bec.
Encore quelques marches qui contournent pieds de romarin, de lavande et de myrte et un bouquet odorant la garrigue ravit les narines. Le bougainvillier s’impose là insolemment, ses quelques feuilles violettes et ses petites fleurs jaunes snobant le mauve délicat des abondantes fleurs de lavande. Les abeilles laborieuses bourdonnent et se gorgent du nectar de ce joli maquis. Quelques précieux papillons, jaunes et blancs, volettent de ci de là.
Promeneurs, un pichet bien frais de rosé de Provence accompagné des toutes petites olives très noires de Nice vous attend sur la pergola à la fraîcheur de mon jardin de Méditerranée.
Martine C
Je vous invite à venir nous écouter à l’Église Notre Dame de Lorette dimanche 6 octobre à 16h30 où nous aurons le plaisir d'interpréter des œuvres de Bach et Vivaldi.
Plus de détail c'est ICI
Entrée libre.
Estelle
A peine sorti de la librairie je me suis plongé avec délectation dans la vie de Pierre-Augustin Caron fils d’un maître-horloger qui va devenir après bien des aventures, Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, auteur universellement connu du Barbier de Séville et du Mariage de Figaro.
Je n’ai posé le livre achevé que le soir de la même journée charmé par le style d’Erik Orsenna et fasciné par la vie mouvementée, parfois “en même temps” horloger comme son père, musicien, financier, promoteur immobilier, industriel, espion, armateur, éditeur et auteur d’autres pièces que l’on peut oublier.
Un livre passionnant que vous n’oublierez pas, lui !
Jean-Paul
Qui n'a pas écrit "Antigone" ?
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Qui avait pour écrire deux stylos : l'un pour les mots courts, l'autre pour les mots longs ?
Nous sommes partis pour les Côtes d’Armor
Avouant quitter Paris sans remords,
Retrouver la Côte de "Granit Rose"
Merveille que la nature ose
Par les formes de ces rochers étonnants
Qui laissent les promeneurs pantelants.
Quand on emprunte le "sentier des douaniers"
Loin d’être plat, plutôt accidenté
L’on découvre la côte découpée
Que la mer transparente vient caresser.
Ce chemin tout au long est entouré de verdure
Fougères, liserons, soucis, bruyère qui durent
Adoucissent le regard des marcheurs
De tous âges partis plein d’ardeur
Afin de trouver là-bas, tout au bout
À Perros, la plage de "Trestraou" !
Une haie d’hortensias cache encore la vue
De cet endroit tant attendu,
Même des palmiers en bordure
On se croirait sur la Côte d’Azur !
Une immensité tout en contradiction
Si l’on se permet la comparaison,
Large baie de sable blanc et fin
Alors que la mer, partie au loin
Étonnamment est toujours aussi bleue
Parfois foncée pour se différencier des cieux.
Au large quelques bateaux, voiliers, canoës
Semblent être des jouets animés
Si petits sur cette étendue d’eau
Partie, de si haut
Pour s’éloigner, suivant la marée
Ces allers et retours ponctués,
Libérant un vaste espace humide
Enthousiasmant des enfants peu timides
Engagés à construire des châteaux,
Avec courage creuser pour trouver de l’eau
Chefs d’œuvre qui dureront quelques heures
Le temps que la mer reprenne son labeur !
Dans les terres se jouent d’autres évènements
Si l’on observe le manège des goélands
Qui solitaires ou à plusieurs, tournoient
Autour des constructions, puis sur les toits
Se reposent sans oublier d’émettre
Des sons différents, à reconnaître
"Bonjour, çà va bien ? " ou "J’ai faim"
Appel auprès des copains ?
Encore que se jetant sur les miettes
N’acceptent pas le partage, coups de bec
À celui qui ose s’approcher
Avec le désir aussi de se restaurer !
Le vacancier avide d’évasion
Profite de cette nature à chaque occasion.
Soudain il remarque une différence,
Un après-midi la brume s’avance
La mer est toute envahie,
La lumière du jour s’assombrit
Plus de distinction entre ciel et elle
L’horizon est ouaté de gris, pas de bruit d’ailes,
Sommes comme dans du coton enveloppés
Heureusement, c’est la fin de la journée.
Mais cette brume, ce n’est rien
Elle annonce le soleil de demain !
Présent chaque jour depuis notre arrivée
Pourquoi voudrait-il déjà nous priver
De son éclat, de sa luminosité
Qui donnent au paysage encore plus de beauté ?
Le soleil breton tout en douceur
Offre de la couleur et réchauffe les cœurs !
Voyez comme ici, les gens sont heureux
Chagrins, soucis, oubliés pour eux
Détente, calme, festivités, font le lien
Sur ce site, nommé "Le Ranolien"
Ninette
Thème : texte avec le maximum de mots comprenant le son "per, pair, père etc.."
Les deux font la paire !
Mon père, pépère a dispersé de la poudre de Perlimpinpin sur le perron. Il croyait jeter du permanganate. Ma mère, perverse, a perdu son calme. Elle perd son temps à persifler.
Perdu dans ses pensées, mon père s'isole dans son repaire.
Il tient une permanence. Il est permanent au Parti des Percutants Perpendiculaires.
Il est prospère, mon père et il s'est fait la paire avec la péripatéticienne de Perpignan. Cette péronnelle est superbe avec son collier de perles.
Ma mère est perturbée et en fait une histoire personnelle.
Et moi, je me sens persécuté.
Marie Dp
Sophie Chauveau est fascinée par la Renaissance italienne et l’art florentin. Cet ouvrage “L’obsession Vinci” vient compléter, profitant du 5eme centenaire de la mort du génial artiste, ses deux livres précédents ”La passion Lippi” et “Le rêve Botticelli”.
Ce 3eme livre tente de répondre à la question maintes fois posée : mais qui est véritablement Vinci ? Nous suivons le génie florentin des bas-fonds de Florence à la cour de François 1er en passant par le Milan de Ludovic Sforza et les campagnes guerrières de César Borgia.
En achevant cette biographie le lecteur a puisé bien des renseignements sur celui que la légende fit mourir à Amboise, au Clos Lucé, entre les bras du vainqueur de Marignan.
Jean-Paul