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  • Promenade de l'église de Ménilmontant à l'église de Belleville

    Notre rendez-vous se situait à la sortie du métro Ménilmontant, pour une découverte des églises de Ménilmontant et  celle de Belleville, toute proche, guidée par Ania. Dès que l’on empreinte la rue Etienne Dolet, qui "monte" à la première église, une impression de petit village, me revient, j’y avais passé mon enfance… De celle-ci remonte en moi, une chanson de Maurice Chevalier… "Les Gars de Ménilmontant"  Une place, au pied de l’église, porte son nom. Mais j’ignorais que c’était grâce à Napoléon III, que ces deux quartiers étaient rattachés à Paris.

    Autrefois, hors de Paris, et grâce à ses vignes, le vin y était moins cher donc "y’avait qu’à" sortir de Paris pour trouver de bonnes guinguettes…

    La Chapelle de l’époque devient trop petite pour recevoir les fidèles. Il faut donc une église plus grande. L’architecte Antoine Héret, en est chargé. La construction de Notre Dame de la Croix commence en 1863 pour s’achever en 1880. Elle est la 3ème plus grande église de Paris, surprenant pour un petit quartier !!

    Après avoir grimpé les marches… un certain nombre, équivalant à environ 4 étages. L’église, portes  ouvertes, nous reçoit. Que de lumière… certes, rénovée, il y a peu de temps, mais quand même ! Les voûtes en fer, car la pierre commence à manquer dans Paris, soutiennent l’Église,  mais les arcs ne choquent  pas, ils ressortent.

    Les vitraux, ne témoignent en rien que nous sommes dans une église, ils sont de formes géométriques. Cependant chaque culot de pilier est différent, une tête de Moïse, celle d’une femme, celle d’un prélat… et d’autres encore.>

    Nous sortons, par le côté  nord, sur la rue d’Eupatoria, pour nous diriger vers l’église Saint Jean Baptiste de Belleville. Construite en 1854  par l’architecte Lassus et à Guérin pour les vitraux. Au dessus des 3 portails de la façade, des tympans rappellent une période de vie du Christ.  Toute la lumière extérieure est filtrée par des vitraux, chacun différent racontant un moment de la bible. L’autel et le tabernacle aussi, le premier représente l’agneau pascal, le second le buisson ardent.

    Une affichette indique "En ces lieux, sur ces fonds baptismaux, Edith Giovanna Gassion (Edith Piaf) fut baptisée le 15 décembre 1917."

    Mais silence… une cérémonie, un baptême, se prépare… par respect, pour ne pas déranger, il nous faut sortir, sur la pointe des pieds…..

    Arlette

  • Lire "Un fils parfait"

    paris,livreRoman de Mathieu Menegaux, tiré d’une histoire vraie…

    C’est le récit poignant du combat d’une mère qui réalise : « Il n’y avait plus aucune place pour le doute. J’avais épousé un monstre et il fallait que je sorte mes filles de ses griffes sans plus tarder. »

    Combat contre l’inceste… contre la manipulation de ce père si parfait… et contre la machine judiciaire surtout…

    Je n’ai eu de cesse en lisant ce livre, d’aller le plus vite possible jusqu’au bout, tant j’étais secouée, révoltée, haletante…

    Je vous le recommande fortement.

    Colette C

  • Atelier écriture "Inclure titres chansons"

    Inclure dans un texte 6 titres de chansons dites chansons cultes françaises.

    C'est extra : Léo Ferré
    Belle-Ile -en-mer : Laurent Voulzy
    Quelque chose de Tennessee : Johnny Hallyday
    La quête : Jacques Brel
    Ils s'aiment : Daniel Lavoie

    1er texte

    Faux départ

    Ces deux là, accoudés sur la rambade de la jetée, ils s'aiment ….mais depuis combien de temps ? Je les regarde et je les envie. S'aimer comme ça, serrés l'un contre l'autre, c'est extra.                             

    Je suppose qu'ils attendent le bateau pour Belle-Île-en-Mer.

    Est-ce un couple, un vrai ou bien, est-ce une escapade incognito ?

    L'homme, élégant dans son jean cintré et sa chemisette Lacoste a l'air d'un cadre supérieur fatigué. Il veut se ressourcer à Belle-Île. C'est bien connu…..le blues du businessman s'évanouit face à la mer en tirant des bords sur un fringant voilier.

    La femme, vêtue de cuir (blouson, pantalon et boots) a quelque chose de Tennessee. D'ailleurs, elle parle avec un accent américain. Elle murmure des "I love you" mais l'homme est ailleurs.

    Il est à la recherche d'un bonheur qui lui échappe. Cette quête perpétuelle le hante. Il est découragé. Quand le bateau est prêt à lever l'ancre, l'homme prend son sac, enlace la fille et lui demander de rester là.

    -"Je pars seul, je préfère ne pas te faire souffrir."


    2è texte

    Relax à Belle-Île

    Belle-Île-en-Mer, je vous le dis, c'est extra !

    Tout est organisé pour soulager le blues du businessman.

    Ceux qui sont en quête de tranquillité seront heureux d'apprendre que nous sommes à l'Ouest… il y a quelque chose de Tennessee dans le folklore breton !

    Ici, c'est la détente…… regardez tous ces rescapés du burn-out. Aujourd'hui, ils s'aiment

    Marie Dp

  • Film "Le collier rouge"

    Encore un film sur la guerre de 14/18, penserez-vous peut-être ?!!! Que nenni ! C’est avant tout une histoire bouleversante et tragique sur l’absurdité de la guerre, une belle histoire d’amour entre un homme et une femme, une histoire d’attachement profond entre un chien et son maître. Une formidable leçon d’humanité.

    De plus, excellemment joué par François Cluzet, Nicolas Duvauchelle et Sophie Verbeeck.

    Très beau film de Jean Becker, d’après un roman de Jean-Christophe Ruffin.

    Martine C

  • Scrabble Duplicate 2018

    Un grand merci à Jean de nous avoir organisé cette partie de scrabble, dans la convivialité et la bonne humeur…

    Primo : Un public de 14 femmes qui sont maintenant informée(s) et même surinformée(s) que nous pouvons typer des femmes selon leur hème qui nous est défini selon le rhème de l’énoncé du propos, même si elles parlent le darija et portent la burqa et que nous ne sommes peut-être pas toutes mateuse(s)..…

    Deuzio : Bien sûr le temps des kapo(s) est heureusement derrière nous et nous pouvons désormais nous consacrer à améliorer nos qualités de duathlète(s) pour les disciplines du scrabble et du tarot où Jean est notre maître… Et promis… nous ne lui donnerons pas de gourmade même s’il nous écœure avec des mots introuvables.

    À l’année prochaine j’espère pour une autre soirée comme celle-ci.

    Colette C