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  • Rencontre avec l'écrivain Michèle Audin

    Le jeudi 7 juin 2018 à 19h30 à la Librairie Le Phare Michèle Audin, écrivain, mathématicienne, membre de l'Oulipo, viendra parler de son dernier ouvrage, "Comme une rivière bleue", roman historique se déroulant pendant la Commune de Paris en 1871 ainsi que de son livre original et émouvant "Mademoiselle Haas".

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    Jeanet

  • Sur les pas de Louis XVI

    paris,louis xviEn effet, le lendemain de la conférence nous sommes allés “ SUR LES PAS DE LOUIS XVI” repérer des lieux importants, tel que celui où Fersen avait organisé le départ pour Varennes rue de l’Échelle, puis le couvent des Feuillants où, le roi a dormi, 3 jours, avant d’être prisonnier au Temple.

    • Nous avons suivi le chemin sur "la terrasse" qu’il aurait empruntée pour se rendre au Manège, lieu de l’Assemblée Législative, afin d’y être protégé pensait-il. Ce bâtiment ayant disparu, nous nous sommes recueillis devant la plaque qui indique les dates des différentes Assemblées et le premier jour de la République à retenir : le 21 septembre 1792

    • Puis nous nous sommes dirigés vers la place de Révolution à la recherche de l’emplacement de la guillotine.

    Une promenade commentée, tranquille, où notre attention a quelque peu été distraite par le passage en chair et en os, d’une Jeanne d’Arc en tête d’une manifestation en l’honneur de l’héroïne.

    À nouveau concentré sur le passé, au beau milieu des Tuileries, comment résister au passage de 2 superbes chevaux montés par des gendarmes venus sermonner des vendeurs à la sauvette, éparpillés, obéissants qui remballent... observent attendent... avant de se réinstaller !

    Et puis sans oublier d’admirer la belle perspective entre l’Arc de Triomphe du Carrousel et l’Arc de Triomphe de L’Étoile.

    Un ciel sombre nous accompagnait, mais il n’a pas versé la moindre larme pour la fin de la royauté que nous venions de revivre !

    Ninette

  • Par un beau dimanche

    C’est par un beau dimanche que nous nous sommes réunis dans ce restaurant de quartier, installés près d’une grande baie ouverte, laissant passer un léger souffle d’air, atténuant la température d’été soudainement revenue à Paris.

    Un menu préalablement choisi par chacun, servi très aimablement, bien qu’une quarantaine de convives à soigner en même temps, devait poser problème pour garder le rythme en cuisine.

    Mais nous avions tout l’après-midi devant nous, et les bavardages allaient bon train, car, même en élevant la voix, nous avions quelques difficultés à entendre les conversations des plus proches.

    Une fois les assiettes généreuses englouties, les desserts dégustés et les boissons chaudes avalées, il fallait débarrasser le couvert chacun donnant un petit coup de main pour rendre les tables prêtes à recevoir les cartons du Bingo.

    La distribution faite auprès des amateurs soulagés de quelques monnaies, la partie est lancée par un appel de numéros et dans un silence surprenant, tel que les serveurs du bar éloigné, n’en revenaient pas !

    C’est le minimum demandé pour bien suivre l’énoncé rapide, piocher les petites pâtes à disposer délicatement au fur et à mesure, se concentrer espérant à chaque appel pouvoir cacher un numéro et ainsi compléter tout, le, ou les cartons.

    Les annonces pleuvent, on ne perçoit juste que le cliquetis des pâtes dans les gobelets, quelquefois un mot échappé, le jeu se poursuit, il reste 3 cases nues, puis 2, la tension monte, on y croit, et là, soudain on entend "Bingo" Ha ! Bravo ! Et la chanceuse ramasse le pot lourd de petites pièces, alors que la déception ose s’afficher sur des mines déconfites.

    Ainsi par 3 fois la chance a souri aux "choisis", malgré l’acharnement et l’énergie multipliée en désespoir de cause, simplement pour le plaisir de jouer.

    Pour ce bon dimanche, c’est en fin d’après-midi raisonnablement que nous avons stoppé les dégâts, prouvant qu’aucune addiction ne nous habitait ! Pardi ! Forcément ! Nous étions bien guidés puisque ... le 6 mai, c’est la Sainte Prudence !

    Ninette

  • Discussion "La fuite à varennes"

    Nous savions tous que Louis XVI a fui après les évènements révolutionnaires se sentant comme prisonnier aux Tuileries. Cette affaire nous est évoquée comme toujours, très en détails, retenons-en quelques-uns.

    La fuite, quel jour ?
    Le 20 juin 1791 au soir avec un peu de retard, dura 1 journée, mais considérée officiellement être un enlèvement.

    Quel moyen de transport ?
    - 1 cabriolet en tête tiré par 3 chevaux pour 2 servantes
    - 1 berline jaune et verte pour 6 personnes tirée par 6 chevaux pour:
    - le roi déguisé en valet sous le nom de Mr Durand
    - la reine nommée Mme Rochet
    - la sœur du roi Elisabeth nommée Rosalie
    - la gouvernante Mme de Korff
    - la fille du roi, Amélie
    - Le dauphin déguisé en fille, Aglaé
    Fersen en cocher, 3 accompagnateurs dont 1 sur la berline et 2 à cheval.

    Déroulement du voyage
    La berline dans ses couleurs correspondantes à celles du prince de Condé affolait les paysans redevables d’impôts, qui pensaient à l’arrivée du collecteur, ou pire...

    La présence de soldats répartis inquiète... Les rumeurs courent... De nombreux arrêts aux 12 maisons de poste pour changer les chevaux et les postillons, où dans 2 relais le roi semble avoir été reconnu.

    Des retards importants ont eu une répercussion sur l’horaire du rendez-vous fixé avec le chef de l’Armée de l’Est... Confusions, défaillances dans les transmissions des messages, des ordres, suspension des gardes, désordre général... La pagaille !

    L’arrivée
    Le 21 juin au soir à Varennes, passant sous la voûte d’une église, la berline est arrêtée par les habitants, les soldats de la Garde Française présents, menés par Drouet maître de poste à Sainte-Menehould qui avait galopé prenant un raccourci pour rattraper et devancer les fuyards. Ils sont recueillis à leur corps défendant, dans la maison Sauce où le propriétaire attend un ordre de Paris : laisser passer la berline, ou doit-elle retourner ?

    Le retour
    paris,louis xviLe lendemain matin, tout le monde fait demi-tour sous les quolibets, les injures, les menaces. Retour en 4 jours pour l’arrivée à Paris dans un silence méprisant. Il y était placardé "Celui qui applaudira le roi, sera bâtonné, celui qui l’insultera sera pendu". Avant d’arriver aux Tuileries les 3 accompagnateurs sont bâtonnés. La reine ôtant son bonnet découvre ses cheveux blancs... Dus aux émotions, à la peur !

    La suite nous a été développée... Mais c’était après la fuite... Et la fin ? On la connaît, mais on y reviendra !

    Lire la suite ICI

    Ninette

  • Lire "Les étoiles filantes ne filaient plus"

    paris,livre"Les étoiles filantes ne filaient plus" est un premier roman plein d’humour et de poésie écrit par Hervé Valray.

    Cette histoire d’amour très atypique, vécue entre un non-voyant et une femme au passé encombré, nous immerge dans des relations sentimentales qui nous interpellent et nous attirent immédiatement.

    À recommander vivement, Il est vraiment de qualité et donc à encourager !

    Jacques T

  • Expo "Loupot"

    À la bibliothèque Forney-Hôtel de sens, l'exposition LOUPOT peintre en affiche va bientôt se terminer.

    Dans un style Art déco, puis évoluant vers plus d'épuré, la publicité pour Saint Raphaël, Valentine, Vichy Célestins, Valisère, Galeries Barbès, plusieurs marques de chocolat, ainsi que de très belles pour une marque de fourrure, de soieries, d'eau de toilette, de sport, et bien d'autres encore.

    Pour ma part, j'ai particulièrement aimé celles présentant des femmes, dont la première de toutes serait "Ambre solaire".

    Entrée libre jusqu'au 26 Mai. Pas de file d'attente.

    Annick D