À quel roman appartient ce héros : Joseph K ?
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Notre Assemblée Générale
En ce samedi d’octobre, mois célèbre pour une certaine Révolution, nous étions si nombreux à notre Assemblée Générale Consultative, que “l’hémicycle” en était même trop étroit !
Cette sympathique réunion s’est déroulée dans le calme, laissant les intervenants s’exprimer clairement et vos souhaits émis, recueillis pieusement, sollicitant votre patience pour les voir se réaliser.
Le compte rendu confirmera tous les détails de nos idées échangées.
Pour clôturer la séance, le buffet préparé avec attention, aussi varié que possible, bien garni et léger à la fois, vous a récompensés pour votre venue, et nous étions ravies de constater que vous l’aviez apprécié, en retrouvant les plats soulagés de leur contenu, ce qui nous fit grand plaisir !
C’était l’heure du déjeuner, vous avez bien fait de prendre des forces pour soutenir la Révolution Russe l’après-midi, journée non-stop pour les plus courageux (es)!
Merci à tous, évidemment on compte sur vous l’année prochaine !
Ninette
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Lire "Lénine, l’inventeur du totalitarisme"
Après avoir participé en 1997 à la rédaction du “Livre noir du communisme” Stéphane Courtois s’intéresse dans ce dernier ouvrage à Lénine nous démontrant qu’en fait il fut “l’inventeur du totalitarisme” à rebours de l’idée dominante qui accable en priorité Staline, alors que celui-ci n’en fut que son disciple.
Pour l’auteur en attaquant sans cesse ses rivaux et en instaurant une culture de la violence et de la soumission, Lénine favorisa la montée des extrêmes qui endeuilla le XXeme siècle et blessa à mort la vieille Europe.
Un livre à lire de toute urgence pour mieux appréhender le centenaire de la Révolution d’Octobre et mieux comprendre le siècle qui vient de s’écouler.
Jean-Paul
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2 - Atelier écriture "Brodez un texte à partir de : J'aime la pluie
Tiens, aujourd’hui il pleut ! Certains vont se plaindre : "Encore il pleut" "Quel temps de chien".
D’abord pourquoi un temps de chien ! Les pauvres, Ils n’y sont pour rien eux s’il pleut !! Cela n’est pas de leur faute !! Bof de toute manière, y’en a qui sont jamais contents de rien ! Qu’il pleuve, qu’il vente, et même quand il fait beau ! Et bien "OUI" Moi j’aime la pluie !
Je ne dis pas que je n’aime pas le soleil. Mais oui, j’aime aussi la pluie ! Hum, c’est bon la pluie… Hum, ça sent bon après. L’herbe a un parfum bien particulier. Et puis réfléchissons… Lorsqu’il ne pleut pas… Hé bien, il faut arroser les fleurs du jardin pour qu’elles poussent, et puis tout se dessèche… Plus de légumes, plus de fruits… plus de fleurs !
Mais attention ne pas confondre avec le déluge ! Mais j’aime la pluie ! Une paire de botte, un imper, un panier…. hé hop ! On va chercher les escargots.
Dans les bois, on n'entend que la pluie qui caresse les feuilles. Tout se tait. Tous se calfeutrent.
Et puis, avez-vous remarqué à la mer, sur la plage, les baigneurs quand il pleut, ils sortent de l’eau en courant !! Pourquoi !? Ridicule ! Puisqu’ils sont déjà mouillés ! En plus, l’eau de la mer est encore plus chaude quand la pluie vient lui chuchoter aux vagues. Moi, je vous dis, J’aime la pluie ! Mais j’aime aussi le soleil… à l’ombre des cocotiers !
Arletteck
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Le flash radar dans les virages
Il existe depuis peu un nouveau type de radar, le radar placé à l'entrée ou à la sortie d'un virage et capable de flasher (prendre une photo si l'excès de vitesse est constaté au milieu d'une courbe). Il a été testé pour la première fois dans le Var le 16 septembre 2017 et doit être prochainement déployé dans toute la France.
Tous les radars placés à l'approche d'un virage dangereux seront annoncés par un panneau indiquant le contrôle. Concernant ce nouveau type de radar, il pourra notamment être déployé sur les routes de montagne.
Jeanet
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À vous de jouer ? (484)
À quel roman appartient ce héros ?
- Joseph K
Réponse lundi prochain
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Réponse "à vous de jouer n°483"
Quel est le square parisien qui a été construit sur l'ancienne "île aux Singes" ?
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Promenade au Luxembourg
Sous un coin de parapluie a débuté la promenade jusqu’à la monumentale fontaine Médicis où batifolent d’heureux canards entre la cascade et le bassin.
Le jardin pratiquement vide en ce dimanche au ciel capricieux, nous a permis aisément de faire le tour auprès de ses Grandes Dames du Haut Moyen Age jusqu’au XVII e siècle, qui n’ont plus de secret pour nous.
Sur le parcours, nous avons admiré le beau jeune homme “marchand de masques” qui nous a incité à identifier les visages sculptés à ses pieds.
Puis nous profitons d’un rayon de soleil pour découvrir la plaque commémorative signalant l’emplacement où furent fusillés des communards (des traces de balles sur le mur sont encore visibles).
Au passage on peut jeter un regard admiratif sur les superbes massifs de fleurs si bien entretenus par une soixantaine de jardiniers !
Curieusement nous remarquons le ballet de chaises vides pêle-mêle ; certaines étant marquées du symbole “sénat” signe de leur appartenance. Jusqu’en 1975 pour les occuper, il fallait payer auprès de la chaisière. (Je me souviens comme au Jardin des Plantes... Celles du Luxembourg devaient être jolies, il parait que Lénine demeurant à Paris, serait tombé amoureux de l’une d’entre-elles).
Nous contournons le bassin octogonal où des enfants comme jadis, s’activent avec leurs petits bateaux. Subitement me vient à l’esprit qu’il manque des gamins jouant avec leurs cerceaux.
Poursuivons notre visite, passons devant l’espace verdoyant autrefois mal famé, indésirable, car lieu de séjour des brigands (d’où l’expression “au diable vauvert”) remplacés par des Chartreux eux-mêmes expulsés à la Révolution.
Hormis devant les Dames en pied de ce jardin, nous nous sommes arrêtés face au médaillon de Stendhal par Rodin, La bouche de la vérité, George Sand assise, Flaubert, et près du verger, Baudelaire invisible car la statue est enveloppée, comme également d’autres, en vue d’un nettoyage supposé.
Pas de bouches closes, mais au contraire grâce aux mémoires aguichées, des poésies allègrement ont été reprises en chœur. Courageusement nous reprenons notre balade vers le Pavillon de la Pépinière pour écouter un extrait des Misérables relatant le lieu où Marius rencontrait Cosette.
Soudainement nous constatons que de nombreux parisiens sont sortis de chez eux, profitant de l’éclaircie, pour noircir les allées par leur présence et animer l’horizon.
Tout en croisant de multiples joggeurs, notre attention se tourne encore vers la statue de "La Liberté éclairant le monde“ et le “Triomphe de Silène” magnifique bacchanale, composition imposante de Dalou, avant de retrouver le buste récent de Stéphan Zweig et celui de Beethoven de Bourdelle.
Passons devant l‘Orangerie aux fenêtres ouvertes laissant apparaitre palmiers et orangers, pour terminer devant la fontaine de Dalou qui rend hommage à Eugène Delacroix.
Presque 3 heures de promenade culturelle gratuite, avec un guide connaissant parfaitement les personnages, capable d’élargir à souhait leur histoire, avec la totale reconnaissance des plus courageux(es) qui en ont pris plein les yeux, plein les oreilles....et “plein les bottes “!
Ninette
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Discussion "Révolution d'octobre"
Qu’il est difficile de faire la Révolution ! Encore plus d’en résumer les causes, les faits, d’identifier les acteurs, les lieux aux noms compliqués, la complexité des rebondissements....
Tournons-nous vers notre Histoire, celle de la grande Révolution et pourquoi pas, la Commune, et nous aurons tout compris. Rien ne ressemble à une révolte populaire comme une autre (avec cependant des conséquences plus ou moins graves).
Ce samedi nous avons profité du centenaire de la “Révolution d’Octobre” pour suivre les pérégrinations de Lénine en Europe (à Paris de 1908 à 1912 ) avant de prendre le train à demi blindé qui le mènera de Zurich à St-Pétersbourg, pour y être avec Trotski l’organisateur de la Révolution.
Nous nous sommes intéressés aux malheurs de Tsar Nicolas II, à son couronnement en 1896, à la famille royale au fils héritier Alexis hémophile, à “l’Ami” de la Tsarine Raspoutine, le complot contre lui, puis vint l’abdication du 2 mars 1917, jusqu’à leurs disparitions à Ekaterinbourg en 1918.
La guerre de 1914 étant enclenchée, les défaites russes ont entrainé désertions, famine, inflation, multiples grèves qui appellent la révolte du peuple.
Lénine disait “la guerre est un cadeau pour la révolution”. Le 5 janvier 1918 il dissout l’Assemblée Constituante récemment élue, puis crée le gouvernement “des commissaires du peuple” ayant tout pouvoir.
Mais vous avez tellement bien écouté et suivi sagement cet exposé, qu’il n’est pas utile que je m’étende davantage craignant de vous égarer dans ces ”10 jours qui ébranlèrent le monde” comme l’a écrit John Reed.
Les livres, les expositions, les reportages dans la presse et sur les écrans sont une source plus efficace pour ceux qui veulent approfondir leurs connaissances sur le sujet.
Si le compte-rendu est un peu court, c’est aussi qu’il me faut garder des forces pour la promenade du lendemain.
Alors R.V au Jardin du Luxembourg.
Ninette
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Lire "La Fontaine, une école buissonnière"
Eric Orsenna nous entraine dans un style alerte et fluide à la suite de celui qui reste souvent un de nos meilleurs souvenirs de l’école primaire. Lire un extrait ICI.
La Fontaine dont les Fables ont illuminé notre enfance. Ses contes méritent également notre attention, mais pour un âge plus avancé. Il se repentit sur la fin de sa vie de les avoir écrits. Qu’importe La Fontaine nous restera toujours aussi cher.
Jean-Paul