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Pour prouver son arrivée à bon port, le pélerin achète sur le parvis des églises des insignes (petite broche à coudre sur les vêtements, en forme de coquilles, de croix, ou de figures de saints, ou de la Vierge). Cliquez sur l'image pour l'agrandir.
Revenu à son point de départ, il les jette du haut d'un pont en "geste de remerciement" pour avoir survécu. Les insignes présentés au Musée de Cluny ont été souvent repêchés dans la Seine.
Jean-Paul
L'association ayant été sollicitée, quelques adhérentes se sont rendues à l'enregistrement d'une émission.
Elles s'étaient mises sur leur 31 !
Arrivées à 14h, surprises, elles durent se déshabiller, (enfin, ôter bonnets, écharpes, manteaux, gilets, sacs... stop...)
Puis furent accueillies par un goûter, collation à volonté : ça commençait bien !
Le 1er enregistrement, émission test, ne débuta que 2h plus tard et se passa sans incident.
Après un entracte de 45 mn avec dégustation de bonbons et sucreries diverses, retour à leurs places.
La 2eme émission mis 1h à redémarrer. De multiples pannes jouant les troublions. L'attente fut longue, mais sans ennui, nos dames avaient des ressources pour tuer le temps ; papotage à droite, papotage à gauche... Finalement, l'enregistrement s'est effectué pour se terminer autour de 21h.
L'expérience fut intéressante par le côté ludique, voir l'élaboration d'une émission, le déroulement, les aléas, pour qu'il ne reste que le côté "brillant" à retrouver chacun, sur son petit écran.
D'après le récit de Viviane P.
Je ne puis résister au plaisir de vous communiquer une lettre intime écrite le 4 août 1828 par François René de Chateaubriand 60 ans, à Léontine de Villeneuve-Hauterive 25 ans, " l'Occitanienne" future comtesse de Castelbajac.
"J'ai peur de vous affliger et cependant je dois vous parler sérieusement. Vous me dites: je vois du bonheur ou du malheur avec vous et par vous. - Vous vous trompez je ne puis que vous donner du malheur ...."
C'est engageant pour une jeune femme et l'on reconnaît là, notre toujours sombre et tourmenté précurseur du Romantisme.
Cette lettre (comme celle de Napoléon à Joséphine et de Victor Hugo à Juliette Drouet) vous pourrez la lire à l'exposition "Carte blanche à Luc Ferry" (entrée libre) à la Pinacothèque de Paris, exposition adjointe à "L'âge d'or hollandais de Rembrandt à Vermeer" jusqu'au 7 février.
Jean-Paul
Vingt-six-artères parisiennes honorent nommément des Jules. Saurez-vous trouver la profession de ces trois Jules-là ?
Jules Breton (13è arrdt)
Jules Chaplain (6è arrdt)
Jules Simon (15è arrdt)
Réponse jeudi prochain
À vous de jouer n°73
Dans quelle ville François Mitterand a-t-il inauguré le premier réseau cablé en 1987 ?
Quel journaliste a créé la formule du 19/20 sur FR3 ?
Quel 1er ministre a instauré la 5è semaine de congés payés ?
Voulez-vous en savoir plus sur le premier monstre sacré du spectacle, son génie ayant été d'avoir compris l'importance grandissante de la "réclame", la "pub" de l'époque.
Vous saurez tout sur celle qui a inventé les tournées mondiales sous un chapiteau géant de New-York à Moscou et de Dakar à Honolulu.
Il s'agit bien entendu de Sarah Bernhardt la "Divine", prête à tout pour réussir qui saura rester si proche du peuple tout en séduisant les têtes couronnées.
Ce livre "Sarah Bernhardt" Madame "Quand même" d'Hélène Tierchant éditions Télémaque, vous contera avec entrain son parcours théâtral éblouissant et sa vie, en tous points, exceptionnelle.
A remarquer qu'Hélène Tierchant signale qu'à la suite de son voyage en 1874, accompagnée de Maurice son fils et du dessinateur Gustave Doré, le premier "fauteuil de Sarah Bernhardt" à la Pointe de Raz, attira les touristes, avant celui de "Belle-Île" qui voisine la demeure qu'elle habitait au cours de ses mois de relâche, à partir de 1894.
Jean-Paul
Le "siècle" Aztèque correspond à 52 ans.
On est considéré comme un vieillard " retraité" à partir de 52 ans. L'ivresse est permise chez les vieillards, sinon, elle peut-être punie par la mise à mort.
Jean-Paul
Newsletter mais "lettre d'information"
Pop up mais "fenêtres intruses"
Freeware mais "logiciel gratuit"
Podcasting mais "diffusion pour baladeur"
Termes français choisis par la Commission Générale de Terminologie et de néologie.
Jeanet
Un de mes coups de coeur de l'année 2009 "Le mec de la tombe d'à côté (traduit du suédois - auteur Katarina Mazetti)".
Le registre principal est l'intimité, traité avec originalité et réalisme, à la fois drôle et plein de sensibilité, il décrit très bien les différents caractères, les ressentis des personnages selon leur milieu social et le métier qu'ils exercent. C'est une histoire d'amour, ou peut-être pas !..
Le style d'écriture est agréable à lire, l'histoire est racontée en alternance, tantôt par la femme, tantôt par l'homme (un chapitre sur 2).
L'histoire se situe en Suède. Divers thèmes sont abordés : le deuil, la solitude, le choix du conjoint, le choix de la profession, qu'est-ce qui nous pousse vers un métier, vers quelqu'un ? entre attirance et répulsion, comment interpréter ces sentiments si opposés ? Malgré un titre qui peut "refroidir" à priori, ce roman gagne à être connu, vraiment ! j'ai adoré ces 2 personnages principaux, très attachants. Je ne voudrais pas enlever le suspens non, alors je voulais juste vous dire que j'ai eu beaucoup d'émotion à la fin, mais je ne vous dis pas pourquoi.
J'ai appris qu'une pièce de théâtre adaptée du livre était sur une scène parisienne en ce moment, mais je ne l'ai pas vue. J'aimerais y assister pour voir comment ils ont mis cette histoire en scène. Si vous y allez, pensez à me faire vos commentaires.
Florence V.
J'ai rencontré hier dans une haute tour
Quelqu'un que j'ai connu en mon adolescence
C'est un ami d'hiver c'est un ami d'enfance
Mais il avait fondé le véritable amour
L'intérieur était gai il trottait un enfant
Et mon Dieu une femme à la voix douce et tendre
Le faisait rester sage et semblait lui apprendre
Nous nous étions perdus depuis au moins dix ans
Quelle joie mes amis et je vous le confesse
Il fallait tout ce temps pour que rien ne nous blesse
Par cette femme douce et son enfant béni
Ô chair de la jeunesse à qui tous appartiennent
Le bonheur est présent de partout ils le tiennent
Petit oiseau caché tout au fond de son nid
Poème de Mario Di V.
(Un de nos adhérents)
Le 27 décembre, je suis allée voir Zorro aux Folies Bergères.
L'intrigue, bien construite, s'inspire bien sûr de celle du Zorro que nous connaissons tous (avec le sympathique sergent Garcia, fidèle à son image), mais étoffée par des éléments nouveaux (la troupe de gitans, le doute sur les circonstances de la mort du père de Zorro).
Elle est enrichie d'une mise en scène originale (par exemple les chaises comme accessoire aux lamentations des femmes des condamnés), de surprises (l'arrivée de Zorro par l'arrière de la salle), et bien sûr d'une ambiance andalouse ensoleillée!
Les danseuses nous offrent un flamenco authentique : un rythme endiablé au son des guitares gitanes et des frappements des pieds, des postures de bras et mains sensuelles, aériennes, et fluides, des robes chamarrées qui voltigent et des voiles qui orndulent gracieusement. Cela donne sacrément envie de se trémousser sur son siège !
Enfin, tous les acteurs chantent également très bien. Un grand bravo aux choeurs qui se répondent depuis le balcon, comme un écho dans la montagne : à écouter les yeux fermés pour mieux capter l'émotion qui vibre dans la salle.
En conclusion, je vous conseille vivement d'aller voir ce spectacle qui vous dépaysera et vous enchantera !
Florence A
