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Si vous aimez le théâtre romantique et particulièrement les histoires d'amour et d'honneur n'hésitez pas, courez vite au théâtre de Belleville 94 rue du Faubourg de Temple Xe (métro Belleville, bus 46) à une représentation de la pièce "Hernani"de Victor Hugo.
Des jeunes pleins d'allant et d'enthousiasme avec des trouvailles de mise en scène rendent le public heureux de redécouvrir cette pièce qui fait partie de notre patrimoine théâtral.
Mercredi, jeudi, vendredi, samedi 21h - dimanche 17h Dernière le 3 juin. Tél 01 48 06 72 34
Thomas Henry Marsoulan (1839-1909), fabricant de papiers peints et conseiller municipal du XIIè arrondissement de 1874 à sa mort, a participé à la fondation des écoles Boulle, Braille et physique-chimie de la ville de Paris.
Un très bon film, mais dur, souvent émouvant : je ne dirai pas "aux âmes sensibles de s'abstenir" car les acteurs jouent admirablement avec toute leur sensibilité des scènes difficiles. On se demande s'ils vont sortir de leur galère respective...
Je n'ai pas sorti de mouchoir, mais j'ai dû fermer les yeux plus d'une fois ! On ne sort pas indifférent de la séance ! Un film à voir.
En compétition à Cannes, aura-t-il la palme ? Cela serait vraiment mérité.
Cette exposition se tient au Musée de l'armée, à l'intérieur des Invalides. Elle couvre toute la période d'occupation française de la conquête à l'indépendance.
Beaucoup de documents papiers, sonores, visuels (documents, tableaux, costumes...). Tous les aspects y sont traités, sans parti pris apparent, le sujet étant toujours sensible : l'occupation, la vie au quotidien, l'OAS, les harkis, les pieds noirs, l'armée, le FLN, la torture, la politique.... et j'en oublie.
C'est très intéressant, bien documenté, complet. J'y suis resté 1h30 mais si on veut tout lire, voir et entendre, il faut bien compter 2h. J'y retournerai sûrement.
Joli mois de mai quand reviendras-tu ? Il est vrai qu'étant en avril, il a bien plu Pour notre promenade depuis St-Sulpice ! Ce ne fut pas du tout un supplice, Que de chercher les médaillons au sol Du tracé de la Méridienne ; un bémol, Car c'est une ligne imaginaire, Mais en connaissance de cause, tous débonnaires Avons ardemment parcouru les rues de Paris, But à atteindre : le Parc Montsouris ! Avant d'y découvrir du "Sud la Mire", ma foi Dans l'église, admirer les toiles de Delacroix Revoir des sculptures, bénitiers, gnomon en hâte Découvrir des lieux, le mètre étalon d'origine, demi-tour Traverser le jardin du Luxembourg Et saluer ses dames en pierre grisâtre. Passer devant la maison du fontainier Et bien d'autres sujets oubliés... ne pas le nier !
La promenade s'est déroulée Avec ses moments de gaieté, Par les réponses données Aux questions parfois posées, Souvent avec humour pardi, N'étions-nous pas partis... Pour passer un bon après-midi ? Sous un coin d'parapluie Contre un coin d'paradis"... De Brassens on connaît la chanson ! Paradis ? C'est trop d'illusion !
Mais sous cet arrosage la nature fleure bon Se pare d'un brillant voile vert vif, Alors comment ne pas être positifs ! Sachant apprécier le bon côté de la chose Balayons les idées moroses, Soyons prêts à continuer le chemin, Retrouvons le tracé "Nord" du Méridien. Rendez-vous à la prochaine balade Avec ceux qui s'en sentent capables !
Pluie du matin n'arrête pas le pèlerin... contre toute attente le soleil était au rendez-vous.
Tout guilleret, nous prenons le bus en direction de la rue St Antoine où les vitrines peuvent nous offrir leur reflet.
Merci la pluie de nous avoir laisser de belles flaques, miroir de la ville que nous avons photographiée allègrement.
De retour à Nation nous retrouvons, pour déjeuner, quelques arvemoises qui avaient renoncé à la balade à cause de la pluie mais qui ont regretté, à la lecture des photos, de ne pas y avoir participé.
Tous ceux qui aiment Victor Hugo devraient jusqu'au 19 août se rendre place des Vosges dans la Maison de Victor Hugo, pour visionner l'exposition "Annie le Brun Les arcs-en-ciel du noir".
Depuis sa jeunesse le grand écrivain est fasciné par le noir. Les dessins exposés en portent témoignage. En complément ils pourront examiner à loisir des documents émouvants, comme la lettre à Adèle Hugo du 10 septembre 1843 après la mort de Léopoldine, et la robe de la princesse Négroni portée par Juliette Drouet dans Lucrèce Borgia en 1833.
C'est une exposition réellement fascinante pour les Hugophiles.
Au VIIème siècle avant J.-C., 6 juristes athéniens dont Dracon rédigèrent pour leur cité une loi pénale impitoyable. Tous les crimes étaient sanctionnés par la peine de mort.
De là vient l'adjectif draconien (rigoureux, sévère, strict).