Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ARVEM ASSOCIATION - Page 193

  • Atelier écriture "À partir de cartes postales"

    La carte postale, qui m’a inspirée, est celle avec le couple échangeant un baiser à la table d’une terrasse de café.

    Par un bel après-midi, je déambulais dans le quartier, sans but précis. Le matin déjà, j’avais couru pour différentes démarches administratives. Je m’octroyais le droit de lever le pied, et me promener avant de rentrer. Puis, je m’installais à table, à la terrasse d’un café.

    Le thé glacé que j’avais commandé tardait à venir, non pas que je fus pressée, rien de particulier m’attendait. Mais un peu plus loin, à l’oblique de ma table, un jeune couple était installé là. Sans savoir pourquoi... comme ça... ils attirèrent mon regard.

    Mais excusez-moi... ils étaient là en train de - je vous demande pardon - de "se lécher" !! Même le chien en bavait !! Mai 68 était passé certes ! Mais de mon temps, on aurait rien vue de tel ! À la terrasse d’un café !

    Mais bon, ils semblaient tant s’aimer ! Du moins je l’espère ! Et je le leur souhaite.

    C’est si beau des amoureux qui s’embrassent ! Mieux vaut voir des baisers et entendre des "je t’aime" que voir des claques et hurler des "têtes d’abrutis". N’êtes-vous pas de mon avis ? Oh, et puis, moi c’est ce que je pense, alors ici l’avis des autres. Pourtant le jeune homme semble prêt à lever le pied, et la jeune fille le retenir. Le Toutou, guette, comme sur le qui vive.

    Je me souviens moi... ce premier baiser, qui me fut donné. C’était un soir, à la pénombre d’un réverbère sous un porche.Ah ! Voilà le serveur. Il me dérange maintenant, et mes souvenirs, à peine présents, s’envolent !! J’avale vite mon thé, laisse une pièce sur la table. Je pars et coure vite, vite, pas si loin, là, à la maison où m’attend, juste un peu vieillit ce même baiser.

    Arlette CK

  • Riches heures sur la Loire

    Ce fut une mini croisière de Saumur à Saint-Nazaire en passant par Nantes et Angers avec des étapes dans différents châteaux.

    Départ le matin du 9 juin 2016 porte d’Italie, avec un car où nous retrouvons beaucoup de connaissances amies de notre association des anciens du CEA.

    paris,loireNous arrivons à Saumur en fin de matinée et après un déjeuner roboratif arrosé d’un Chinon rosé de Couly-Dutheil, nous nous rendons quai des Patenôtriers (fabricants de chapelets !) pour visiter la chapelle de Notre-Dame des Ardilliers. Elle fut édifiée pour abriter une minuscule statue de la Vierge (25 cm) trouvée au XVIe siècle dans les environs par un paysan. Elle fît ensuite pendant des siècles l’objet de pèlerinages et de vénération, avant que Lourdes ne la supplante. Sa coupole rappelle celle des Invalides.

    Montée ensuite vers le château de Saumur, surplombant la vallée de la Loire. Construit par le féroce Foulque Nera, où passa Aliénor d’Aquitaine dont nous découvrons qu’après avoir épousé un roi de France elle épousa un roi d’Angleterre et lui donna deux fils : Richard Cœur de Lion et Jean sans Terre, de célèbre mémoire.

    Nous descendons ensuite dans le cœur de la ville, où parmi les maisons à colombages, on nous signale celle décrite par Honoré de Balzac dans Eugénie Grandet.

    Nous reprenons notre car pour arriver enfin à Nantes et à notre bateau, en début de soirée, car en raison des crues importantes, il n’avait pas pu remonter le fleuve.

    Après dîner, un petit bateau nous conduit sur l’Erdre, la plus belle rivière de France disait François Ier, longue d’une centaine de kilomètres, dont nous admirons, dans la nuit tombante, les rives avec de charmantes gentilhommières et de nombreux hérons.

    En face de notre bateau, se trouve le grand voilier centenaire Belem.

    Le 10 juin c’est une balade dans Nantes avec deux charmantes guides : Servane (joli prénom breton) et Sandrine. Au passage, nous admirons dans un jardin d’enfants un magnifique dragon japonais en bois et métal ! Puis, après avoir passé le célèbre bâtiment des fabricants de biscuits LU, gloire du pays, nous visitons la blanche cathédrale gothique Saint-Pierre et Saint-Paul (en pierre de tuffeau), avec notamment le tombeau des ducs de Bretagne et un cénotaphe du Maréchal Lamoricière conquérant de l’Algérie. Commencé en 1434 l’édifice fût achevé en 1893

    C’est ensuite l’imposant château des ducs de Bretagne, avec son magnifique musée en mémoire des trafics négriers. Sucre et bois d’ébène firent la fortune de la ville du XVIe au XVIIIe siècle.

    paris,loireNous découvrons ainsi une ville en pleine modernisation avec de multiples chantiers et aussi le célèbre éléphant géant robotisé, familier des fêtes de la ville.

    L’après-midi est consacré à Saint-Nazaire et ... Lire la suite ICI

  • Réponse "à vous de jouer n°416"

    Le brevet initial date du 7 octobre 1952 et a été déposé par deux étudiants américains, Norman Joseph Woodland et Bernard Silver. Ils cherchaient une méthode pour automatiser l'enregistrement des produits des fabricants.

    La première utilisation du code-barres a été l'étiquetage des wagons de train. Mais sans succès commercial. Il a pris réellement vie dans les supermarchés où il est utilisé pour automatiser les activités de caisse.

    Quel est le premier produit doté d'un code-barres scanné à une caisse de paiement ?

    • Un paquet de chewing-gum le 26 juin 1974 à Troy (Ohio).

    Arletteck

  • Expo "Templiers et Francs-Maçons

    paris,exposition"De la légende à l'histoire" c'est le sous-titre de cette exposition qui vous est proposée au Musée de la Franc-Maçonnerie jusqu'au 23 octobre 2016. Vous êtes reçus dès l'entrée par Gérard de Molay et Geoffroy de Charnay brûlant sur le bûcher le 18 mars 1314.

    C'est le point de départ de l'exposition qui s'achève par une vue du donjon de Gisors où, jusqu'au milieu de XXeme siècle on s'interrogea sur la présence d'un trésor caché sans jamais le découvrir.

    Entre ces 2 dates le visiteur est interpelé par les similitudes entre les secrets (réels ou supposés) véhiculés par ces 2 organisations qui font fantasmer les curieux en ésotérisme.

    Jean-Paul

  • Théâtre "Les voisins du dessus"

    À la Comédie Bastille, une vingtaine d'adhérents d'ARVEM s'est déplacée pour assister à la représentation d'une comédie drôle et débordante d'énergie : "Les voisins du dessus".

    paris,théâtreComme le jeune couple sur scène, les spectateurs sont tout d'abord surpris par les voisins pour le moins déroutants s'imposant sans vergogne et critiquant sans retenue le mobilier et l'habillement du jeune couple.

    On s'y fait rapidement et la salle se laisse séduire par l'histoire de cette cohabitation à quatre qui ne peut que bien se conclure.

    Les spectateurs se retirent en général satisfaits ayant récolté un peu de tonus que savent leur délivrer les quatre acteurs débordants d'énergie (je me répète mais "çà le vaut bien ".

    Jean-Paul

  • À vous de jouer ? (416)

    Le brevet initial date du 7 octobre 1952 et a été déposé par deux étudiants américains, Norman Joseph Woodland et Bernard Silver. Ils cherchaient une méthode pour automatiser l'enregistrement des produits des fabricants.

    La première utilisation du code-barres a été l'étiquetage des wagons de train. Mais sans succès commercial. Il a pris réellement vie dans les supermarchés où il est utilisé pour automatiser les activités de caisse.

    Quel est le premier produit doté d'un code-barres scanné à une caisse de paiement ?

    • Un paquet de chewing-gum en 1974
    • Un paquet de bonbons en 1970
    • Un paquet de chips en 1965

    Arletteck

  • Journée à Reims

    Départ 7h l'œil bien frais pour tous les présents prêts à affronter une bonne journée, avec entraînement habituel par un quiz traditionnel sur l'historique de la ville.

    La visite du centre de celle-ci nous a permis de découvrir de très belles maisons reconstruites après la dévastation occasionnée par la 1ère guerre mondiale, des constructions très variées Art Déco ou d'inspiration médiévale dont les tours de formes diverses, symbolisent l'évocation de cette époque.

    Les édifices publics comme le marché couvert, la splendide bibliothèque dont les murs intérieurs de marbre sont agrémentés de scènes en mosaïque, une immense lanterne, ou les vitraux de la salle de lecture nous plongent en période 1925.

    L'Hôtel de ville style Louis XIII imposant monument incendié en 1917 par les bombardements reconstruit en 1920, La Place Royale style Louis XVI et la statue de Louis XV, le Palais de Tau archevêché et résidence du roi lors du sacre.... sont surprenants.

    La cathédrale Notre-Dame en pleine restauration pour la partie centrale de la façade symétrique, nous laisse tout de même admirer les innombrables statues, (dont l'Ange au sourire) de la façade gothique du XIIe au XVe siècle.
    Construite en plusieurs épisodes à partir du Ve siècle sur d'anciens thermes romains. Au IXe siècle, Reims est revendiquée comme ville de sacre. Vers 1150 la nef est allongée et le chœur agrandi, 60 ans de travaux sont engagés et dureront jusqu'au XVIe siècle.

    Après avoir subi des incendies, bombardements, de beaux vitraux ont été préservés. Chagall a participé à l'élaboration de 6 vitraux de la chapelle axiale, mêlant l'Ancien et le Nouveau Testament. D'autres contrastent par leurs dessins contemporains ou des grisailles. Une horloge astronomique à 16h nous dévoile des personnages en mouvement accompagnant la sonnerie.

    Cette cathédrale a sacré nos rois entre le Moyen Age et Charles X. C'est en 1962 que le général de Gaulle et le chancelier Adenauer entérinent la réconciliation de leurs pays en ce lieu.

    Nous avons apprécié les qualités de notre charmant et excellent guide durant toutes ces visites, nous aidant de documents photos, afin de mieux visionner les moindres détails souvent bien éloignés, trop élevés, inaccessibles pour nos pauvres yeux pourtant grands ouverts.

    VISITE DE LA TONNELLERIE ARTISANALE DE CHAMPAGNE

    Existante depuis 1998, une rare productrice de tonneaux en chêne, en France et la seule fabrique de fûts traditionnels champenois. Lire la suite ICI