Chaque écrivant choisit un ouvrage de Jean-Louis Fournier (auteur entre autres) des dialogues des Shadoks.
Chacun choisit un texte (1 page)
Chacun lit son texte et explique son choix en précisant le titre
Chacun sélectionne 8 mots et écrit une histoire incluant ces 8 mots.
N.B. le texte doit être précédé d'un titre
paris - Page 41
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Atelier écriture "8 mots ouvrage Jean-Louis Fournier "
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À vous de jouer ? (780)
Qu’est-ce que le "turntablism" ?
- L’art de créer de la musique grâce aux platines à vinyles et aux disques vinyles
- Une forme de musique africaine
- Un style de musique électronique où l’on superpose des rythmiques accélérés sur des rythmes classiques de techno
Réponse lundi prochain
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Journée à Amiens
Nous étions tous à l'heure au rendez-vous matinal pour rejoindre l'autocar et son chauffeur, retrouvé avec un énorme plaisir, perdu de vue depuis tous ces mois passés si particuliers .
Partis sur une route sans encombre, pour sensibiliser l'équipage, quelques informations sont données sur la ville qui nous attend.
Les hortillonnages ou "jardins flottants"
Nous arrivons à "La maison des hortillonnages" située sur un quai garni de touristes, mais plusieurs barques de 12 places sont sollicitées pour un circuit d'une heure environ sur "les rieux", découvrir cet espace naturel où les parcelles autrefois étaient maraichères, sont de nos jours transformées en majorité en jardins fleuris, quelques maisons cabanes souvent cachées où les propriétaires décorent de façons rigolotes leurs propriétés avec des sujets animaliers ou humains, qui au passage font sourire, mais ne surprennent plus les hérons et canards aperçus séjournant paisiblement en ces lieux si calmes...
Promenade dans la verdure aux multiples arbres souvent anciens si on en juge par leurs hauteurs impressionnantes et leurs troncs volumineux, des saules pleureurs que l'on caresse au passage. Aux virages le paysage change, après une voute très feuillue, les yeux se portent sur des bordures fleuries, le regard attiré par une belle pelouse avec ses gros bouquets colorés, un épouvantail ou par hasard une culture d'artichauts entre-autres et tout cela avec même pas le bruit d'un clapotis !
Cette promenade reposante, d'une douceur totale est très appréciable pour affronter la température élevée annoncée, mais il faut quitter ce dépaysement, reprendre l'autocar afin d'être déposés vers la cathédrale .
La cathédrale
Une conférencière nous accueille pour nous présenter passionnément la naissance de cette construction, la plus grande de France. Placés devant la façade, tout nous est expliqué sur d'innombrables personnages sur lesquels parfois, on peut apercevoir encore quelques traces de couleurs puisqu'il étaient autrefois peints. Détails des portails, en soubassements des scènes sculptées sur les vices et vertus représentées que par des femmes.... Les 3 portails nous sont expliqués ainsi que la partie supérieure dont la galerie des rois.
Puis nous entrons à l'intérieur surprenant par son espace important et sa luminosité grâce à ses nombreuses ouvertures. La chaire blanche et or surmontée d'un immense ange le tout fraichement restauré. Quelques beaux vitraux subsistent. Admirons le long du transept plusieurs hauts reliefs en pierre polychrome représentant des scènes du XVI e siècle, finement travaillées dans les expressions, les gestes, les tissus drapés, c'est une splendeur! Admiration totale pour tous ces artistes de l'époque !
Avant de sortir, un regard sur les 2 gisants en bronze destinés aux 2 évêques fondateurs du XIIIe siècle.
Une visite impressionnante qui fit que le temps passa plus vite que prévu !
L'heure du réconfort
Le restaurant choisi se trouve sur le quai de la Somme où de nombreuses terrasses côte à côte occupées animent l'endroit. Il fait très chaud et nous apprécions cet épisode de repos au frais.
Bien accueillis malgré le retard, ce n'est pas contre la montre , mais pas très éloigné, pour un service rapide des spécialités picardes.
L'après-midi , la ville
C'est presque en courant que nous prenons le petit train touristique qui nous attend. Il a bien failli partir sans nous, mais nous le remplissons à nous seuls ! Alors !
Une fois assis sur les banquettes ultra chaudes, serrés les uns contre les autres, nous faisons un grand tour dans la ville, découvrir ses différences avec des commentaires assurés, conseillez à regarder à gauche, à droite, lever les yeux, malgré l'avancement lent c'est souvent trop rapide pour bien suivre et tout voir... Si à pied il est plus efficace de visiter, là au moins, par la forte chaleur, tranquillement assis, pas de fatigue supplémentaire, se laisser emporter est l'avantage.
À Amiens, la "Fête des rues" est une tradition. Discrètement nous avons aperçu de ci de là des déguisements, des artistes de cirque, entendu de la musique.
Le retour
Après le train, il nous faut retrouver l'autocar. Guidés par notre chauffeur venu nous chercher en vélo pour nous indiquer le chemin, car se garer à Amiens n'est pas simple et pour les gros véhicules c'est compliqué !
À mi parcours, un arrêt sur l'autoroute s'impose pour soulager les pauvres voyageurs assoiffés, récupérer des boissons fraîches ou des glaces fort attirantes... Enfin reprise de la route sans problème, au sortir du périphérique notre chauffeur, comme toujours bien attentionné, fera plusieurs arrêts pour faciliter le mieux possible la rentrée chez eux des participants.
Conclusion
Une excellente journée qui restera j'en suis certaine en mémoire par sa diversité, sa découverte aussi agréable qu'émotionnelle. Je ne crois pas me tromper en disant que ce sentiment est partagé !
Ninette
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Lire "Anne d'Autriche" de Jean-François Solnon
Le lecteur d'Alexandre Dumas passionné par la lecture des "Trois mousquetaires" ne connaît souvent dans Anne d'Autriche que l'amie supposée du duc de Buckingham dont d'Artagnan va jusqu'en Angleterre récupérer les ferrets imprudemment offerts.
Jean-François Solnon dans cette biographie renouvelée lui propose une approche inédite sur la vie mouvementée de cette reine (et mère) qui, lorsqu'elle rend son dernier souffle son fils Louis XIV déclare; "elle n'était pas seulement une grande reine mais mérite d'être mise au rang des plus grands rois"
La lecture de cet ouvrage, qui vous passionnera, vous le prouvera.
Jean-Paul
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Réponse " À vous de jouer n°779"
Cherchez l'intrus.
Réponse : Ce sont tous des verbes utilisés en marine sauf "taluter".
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Week end 18 et 19 juin
ARVEM a fait fort ce week-end écoulé écoulé (18 et 19 juin) en nous proposant des divertissements fort agréables.
AMIENS
D'abord, samedi matin, malgré l'heure tôtive de départ, nous étions toutes et tous ravis de retrouver notre "vieux complice" Dominique, redevenu autocariste pour l'occasion, qui nous a donc accompagnés à Amiens, où nous avons passé une chouette journée, malgré les fortes chaleurs : balade en barque au milieu des hortillonnages, ces jardins flottants ; puis visite de la magnifique cathédrale, commentée par des conférencières passionnées (2 groupes); et pour terminer cette matinée en beauté, un délicieux repas nous attendait au restaurant "Le 31", avec une équipe de serveuses et de serveurs au top ! L'après-midi, avec une température aux alentours de 36/37° s'est déroulée à bord du petit train touristique, qui effectue un tour de la ville permettant de découvrir les principales curiosités. Puis ce fut le retour et grâce à la conduite très sage de Dominique nous avons rejoint la capitale sans encombre.
Théâtre La Bruyère "AIME COMME MARQUISE
Ensuite dimanche, rendez-vous au théâtre La Bruyère, pour assister à la pièce "Aime comme Marquise" : originale car chacun(e) des comédien(ne)s jouent plusieurs personnages. Jeu remarquable des 2 actrices et des 2 acteurs; distrayante, évoquant le siècle de Louis XIV et les auteurs tels Molière, Corneille, Racine... Une vraie réussite ! "
AnnickB
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À vous de jouer ? (n°779)
Cherchez l'intrus.
- Affaler
- Taluter
- Dérader
- Capeler
- Virer
Réponse lundi prochain
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Discussion "Viollet-le-duc"
Nous nous sommes penchés sur cet homme célèbre avant d'admirer son travail dans la cathédrale d'Amiens, notre prochaine excursion.
Il est né à Paris le 24 janvier 1814, très jeune il est passionné pour le dessin et par l'architecture. Son père était conservateur des résidences royales
Sa mère tenait un salon d'intellectuels dont Stendhal et bien d'autres, il vit dans un milieu aisé, mais en 1832 sa mère décède du choléra
1834 Refusant" l’École des Beaux Arts" il devient professeur suppléant à la" Petite École Nationale des Arts Décoratifs"
1835 Payé par ses dessins, il fait un voyage au Mont-Saint-Michel
1836 Il vend l'aquarelle "Banquet des dames aux Tuileries" au roi Louis Philippe et s'offre un voyage en Italie. Un jour il a fait la connaissance de Prosper Mérimée, inspecteur des Monuments Historiques
1840 Grâce à Mérimée il va restaurer à Vezelay, la basilique romane incendiée et en ruine . C'est la 1ere grande entreprise à 26 ans !
1842 Les obsèques du Duc d'Orléans à Notre Dame de Paris alors en mauvais état, incite Louis Philippe à organiser un concours pour sa restauration (à savoir qu'en 1831 le livre de Victor Hugo " Notre Dame de Paris"a sensibilisé le public)
1843 Jean-Baptiste Lassus et Eugène Viollet-le-Duc gagnent le concours et la restauration s'en suivra. À Notre Dame sur la façade dans "la galerie des Rois" (Rois d'Israël et de Juda ancêtres de la Vierge) on cherche Viollet-le-Duc parmi ces rois (le 8eme en partant de la gauche) et Lassus y figure également.
À la base et autour de la flèche se trouvent 12 apôtres. Eugène représente Saint-Thomas tenant la règle d'architecte où est inscrit NON AMPLIUS DUBITO traduction : "Je ne doute plus" Les apôtres en cuivre mesurent 3,40 m de haut et pèsent 150 kg.
1846 restauration de Saint-Denis
1849 Eugène tombe malade du choléra mais il en guérit et poursuit bien d'autres chantiers comme en 1853 Carcassonne, le Mont-Saint-Michel,
Clermont-Ferrand, Roquetaille en Gironde 1858 Pierrefonds plus moyenâgeux que moyenâgeux, la Sainte Chapelle, Amiens entre autres.......
À Amiens nous remarquerons la balustrade ," la galerie des Sonneurs" sur la façade au-dessus du portail polychromé.
1870 -1871 Il veut diriger la restauration des fortifications de Paris, condamné par la Commune, il se réfugie à Lausanne où il fera la restauration de la cathédrale Notre Dame jusqu'en 1872.
1879 Il décède à Lausanne où il est enterré.
Supplément d'information sur cette période
Pierrefonds est à côté de Compiègne où l'Impératrice Eugénie organisait des "séries" pour distraire l'intelligentsia de l'époque. Eugène était éventuellement souffleur lors de pièce de théâtre et Mérimée proposa une dictée¨.
Nous avons eu le plaisir de nous épancher sur ce texte avec des interrogations sur les pièges et les changements d'écriture d'orthographe survenus en 1990 ! Par une simple lecture nous n'avons pas trop séché !
Ninette
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Poème de J.Yves "Régine la grande dame du cabaret"
Le décès de Régine inspira Jean-Yves.
REGINE, La grande Dame du cabaret
Elle était la reine de la nuit
Une longue partie de sa vie,
La grande star du cabaret
Son enthousiasme plaisait.Interprétant son répertoire
Joli à entendre,
Belle dans sa robe noire
Elle nous a laissé des rêves tendres.Autour de son cou, un boa
Devint son emblème,
Même, elle le chanta
Fréquemment sur scène.Née sous une bonne étoile
S'est envolée comme un voile
En mémoire les fêtes qu'elle apporta
Avec toute sa joie.J ÿ D
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Réponse "à vous de jouer n°778"
Trois stations de métro se cachent dans ce texte. À vous de les retrouver.
Ainsi l’affaire s’annonçait plus complexe que prévu. Plus le temps, plus le choix… Je devais avancer. Quelques minutes me suffire à atteindre l’entrée. Cela se corsait. À ma droite, une décharge sur laquelle s’entassaient portes de bagnoles, et pare chocs variés polluait l’environnement.
Je montais les marches du perron quatre à quatre. Septembre s’achevait, il commençait à faire froid. Je remontais mon col et toquait à la porte.
Solution
Ainsi l’affaire s’annonçait plus complexe que prévu. Plus le TEMPLEus le choix… Je devais avancer. Quelques minutes me suffire à atteindre l’entrée. Cela se corsait. À ma droite, une décharge sur laquelle s’entassaient PORTE DE BAGNOLET pare chocs variés polluait l’environnement.
Je montais les marches du perron quatre à QUATRE SEPTEMBRE s’achevait, il commençait à faire froid. Je remontais mon col et toquait à la porte.