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Le dimanche 5 décembre 201O nous voici en grand nombre (plus de 5O) à 15 h dans la salle de la Mutuelle RATP, en tant que spectateurs de la pièce "André le magnifique", comédie de Denis Podalydes, qui reçut 5 molières en 1998. Eh bien ! elle les a mérités.
Nous avons passé une après-midi hilarante au milieu de ces scènes burlesques dues à la difficulté de co-habitation entre un acteur professionnel sur le retour, mais plein de suffisance, et ces amateurs campagnards pétris de bonne volonté. Un spectacle qui ne cherche qu'à distraire et y réussit pleinement.
C'est au "Killy-Jen" Que cette année sans gêne, Nous nous sommes rassemblés Pour le plaisir de déguster Le beaujolais, avec modération Et marquer ainsi, la tradition. Encore une occasion De sortir de sa maison, Se retrouver entre "habitués" Et des nouveaux à rencontrer.
Afin que la fête soit complète Voici quelques airs de musette... Quoi de mieux que l'accordéon Pour accompagner les chansons, Qu'un temps... Nous chantions. Alors ce soir... Nous fredonnons, Puis reprenons en choeur Des refrains connus par coeur. Soudain, sur des ritournelles Certains se sentent des ailes
Peu de place, mais qu'importe L'envie est la plus forte, "V'la-ty pas" qu'ils se lancent Sur une imaginaire piste de danse ! Tango, valse, paso, chouette De se dégourdir les gambettes. Ambiance guinguette assurée "Pitance, gorgeon", détente, gaieté Encore une charmante soirée Qu'Arvem avait proposée.
Sans Vous, elle n'eut été la même Bravo à Vous, fidèles d'Arvem Pour votre amicale présence Regrettant bien sûr des absences, Merci d'avoir encore une fois répondu Et à la prochaine fois, bien entendu !
Notre 9e de la série Nous donna cette fois-ci Quelques petits soucis ... La pluie pour débuter, Intermittente à l'arrivée, Permit de nous installer, Sans pour autant oublier Une certaine appréhension, À l'annonce d'une manifestation Terminant à la Nation.
Était-ce la météo, la crise, la manif ? Beaucoup moins de visiteurs ; affirmatif ! Mais toujours les habitués De ce trottoir, à arpenter. Quelques connaissances de l'association Venues nous faire la conversation, Toujours les contacts sympas Dont je ne me lasse pas !
Avant ou après votre visite à la Maison de Victor Hugo, on ne peut que vous conseiller, d'assister à la représentation de "Victor Hugo mon amour" qui se joue à la Comédie Bastille 5 rue Nicolas Appert 75011.
Les 2 personnages, l'écrivain et son grand amour, sont interprétés avec fougue et passion. Pas une seconde de répit dans ce spectacle qui nous permet de nous remémorer les grands moments de la vie littéraire et politique de cet immense auteur.
La chanson dit : "Alouette je te plumerai, la tête", j'ai cru comprendre "Ninette je te plumerai la tête". Et pourquoi faire?
Doutant de sa capacité, non, la plume de mon serre-tête n'écrira pas ! Aurait-elle le style suffisant pour ne pas me faire résumer, comme une oie blanche, cette journée magnifique, passée dans les traces d'Alexandre Dumas ?
Même avec le stylo, je laisserai donc cette tâche à plus calé. Un nègre ? Un esclave ? Non au passionné qui bouclera ainsi le sujet.
Lors de la discussion précédente, si vous n'avez pas tout saisi, ou si vous avez oublié quelques détails, sur le Général et Alexandre Père, là, vous avez été servis en informations répétées. Mais de quoi parler d'autre dans ces lieux, que de ces deux destins bien remplis ?
En ce qui me concerne, pour ne pas manquer à mon devoir de "scribouillarde" je vous ferai part de banalités et balivernes sur cette balade en Picardie agréablement guidée sous un beau soleil, puis le pique-nique dans cet endroit paisible au vert, enfin la beauté du site de Port Marly.
Vos photos appuieront mes dires !
Cette journée vécue comme un avant goût de vacances, me rappelle la fin des années scolaires avec le bilan du conseil des maîtres ! Que ce serait-il dit ?
"Mon Dieu qu'il a plu" chantaient Les Frères Jacques ! À 6 h du matin, nous déchantons ! Pour rester dans le ton, même "le téléphone pleure" en ce matin très humide, qui inquiète les exposants, à savoir, vont-ils venir ?
Quand le ciel a fermé l'arrosoir ; armés de courage, avec 2 h de retard, nous lançons l'installation.
La demande est toujours grande pour cette manifestation qui attire beaucoup de monde. Le tout est de trouver la bonne date pour éviter le chevauchement et ainsi recevoir des clients de l'autre bout du XIIeme
C'est le rassemblement d'un quartier ! Positif !
Que répondre à la question ; "À quand le prochain ?" si ce n'est "On se reverra avec plaisir" !
Vous connaissez ? Alors je ne vais pas être originale, ce qui suit, va sembler banal !
Qui n'a pas entendu parler De ces artistes inspirés ? Parfaits musiciens, chanteurs, "humoristes" Tels des clowns "en piste". Mais où vont-ils chercher Tous ces thèmes à "enfourcher" ? Comme leurs chaises, évidemment, Seul décor, mais aussi, leurs instruments. Archets et cordes sont chatouillés Avec aisance, manipulés Dans des situations burlesques, Agrémentées de mouvements lestes. Sortes de ballets, danses évocatrices, Illustrant leurs sujets : pas triste !
Un soir à Vincennes, quelques Arvemois se sont arrêtés afin d'écouter mais aussi de voir Minino Garay et ses tambours.
Ces musiciens nous transportent en Amérique du sud dans un rythme latino et jazzy. La voix chaude de l'un communique nostalgie et tendresse. Un autre nous joue un rythme musical sur des pas claqués. Le public manifeste l'envie de bouger, de danser. Une dizaine de musiciens, autant d'instruments différents nous entraînent dans cette évasion.
Et, surprise, une dizaine d'enfants percussionnistes du conservatoire ont largement participé au spectacle, ceci pour le bonheur de tous. Ils y ont mis vraiment du coeur (avec leurs mains) !. Un ou deux jeunes talents dans le groupe se sont fait particulièrement remarquer. La relève est assurée semble t'il.
La soirée fut chaleureuse et agréable tout comme l'était le ciel ce soir là.
Découverte d'une équipe excellente de musiciens, menée par le percussionniste argentin Minino, tous soudés par le plaisir, heureux de nous présenter une musique endiablée. Un mélange de jazz, tango moderne, blues, au résultat étonnant, formidablement interprétée, grâce au talent de chacun, liés par la connivence et la fantaisie.
Possédé par le rythme, ce groupe a littéralement transmis "le virus" à un public, qui debout, ne demandait qu'à démontrer l'envoûtement reçu. Gigotant sérieusement, faute de pouvoir se mouvoir davantage et danser réellement sur cette musique colorée si entraînante, que têtes, cous, épaules, mains, hanches, genoux, pieds, ont oublié leurs douleurs.... et gardèrent longtemps le souvenir d'une soirée fort agréable, où détente et gaité ont été maîtresses.
Merci à ces artistes et principalement à leur "manager"... qui fut à la sortie, spontanément assailli de baisers de spectatrices de tous âges ! C'est tout dire !