Ce dimanche 22 Novembre, fermons nos parapluies et allons nous réchauffer sur "Un Air de Tango".

Cette pièce écrite par Isabelle de Tolédo, nous joue quelques notes plus ou moins graves, justes, fausses ou légères, selon les attentes de chacun.

• La surcharge de travail pour les uns, le plaisir du temps libre pour les autres,ou est l'équilibre pour le couple,la famille,et soi-même.

• La valeur de la paternité est-elle dans la génétique ou dans la responsabilité et l'affection donnée. A ce sujet, un secret bien gardé par l'un, peut être su depuis longtemps par l'autre.

• L'âge avançant inexorablement, quelles seront nos capacités?

• Nos fantaisies pourraient elles sembler excessives aux yeux de nos proches.

• Si toutefois ils décidaient de notre lieu de vie, serait-ce pour nous protéger ou plutôt se rassurer ?

• Que choisir; garder son indépendance voire sa solitude, ou opter pour la carte sécurité et compagnie tout compris.

Enfin, sur un rythme de claquettes pour les uns, ou un air de tango pour les autres, il suffit de s'adapter et trouver l'équilibre.

Annick

Excusez le français !
Nous étions "un paquet"
Venus goûter le beaujolais
Voir s'il nous "emballerait".

Bien des retrouvailles
Pour cette petite ripaille !
Donc, bon train les bavardages
Pour cela, il n'y a pas d'âge.

Le nectar vite servi,
Le service suivit
Au rythme très acceptable,
Pour nos multiples tables.

Après le dessert, un brin de musique
Grâce à l'attendu accordéoniste,
Qui suscita l'envie de chanter
De vieux airs, d'une jeunesse passée.

Voire même agiter les gambettes
Et pas celles des plus jeunettes...
Ambiance assurée à "tous les rayons"
Comme le veut la tradition.

En réunion, décontraction, dégustation
Fêter le "cru nouveau" avec modération,
Quelques bises sur des joues rougies,
Des adieux? Oui... mais que de mines réjouies !

Ninette

Vous avez reçu le compte-rendu de l'Assemblée Générale donc, vous êtes au courant des sujets évoqués, passés et futurs. Alors passons à autre chose.

La couleur orange portée par les membres du bureau, ainsi que la table du buffet, n'a pas échappé à l'assistance. Clin d'œil à Halloween... en ce 31 octobre, une note de gaieté pour détourner l'idée préconçue, sur une réunion dite "sérieuse" !

Nous remercions vivement les nombreux participants qui se sont déplacés, regrettons bien sûr, les absences de ceux occupés ailleurs, en cette date particulière.

Ceci dit, si tous les adhérents avaient été présents... Hou la la !!!  Il aurait fallu à la cuisinière ne pas se coucher ! Et même, le service en porcelaine de l'arrière-grand-mère n'aurait pu fournir suffisamment de plats....

Heureusement au bar, pas besoin de tire-bouchon, sinon, bonjour les biceps du barman....

Curieusement devant l'étalage de gâteries, personne n'a pensé aux absents !... Aucun regret... encore moins de remords....

Sans prétention, le goûter voulait se faire un petit tour de France.

En passant par la Normandie avec ses beignets aux pommes, la Bretagne ses fars aux pruneaux et crêpes dentelle, la Vendée et sa brioche, de Bordeaux les cannelés, les fruits secs du Sud-Ouest, remontant par la Provence avec les croquants aux amandes, pour finir par l'Alsace et les bretzels.

Les cidres et jus de fruits servis "au petit trot" par le vice-président "remis en selle", firent glisser ces douceurs appréciées.

Croyez-moi, c'est un vrai régal que de vous voir déguster et un désir accompli, celui de vous faire plaisir. Pour un peu, on se remettrait aux fourneaux !

Autour du buffet par petits groupes les bavardages ont complété la séance. Quand les fonds de plats sont apparus, ne restait qu'à se dire au revoir, et à bientôt, car le planning est bien rempli, et vous avez pris divers rendez-vous !

Ninette

Après avoir pris un pot dans une ambiance chaleureuse nous décidâmes de nous lancer dans l'aventure. Quelques explications claires et....... une table, deux tables, trois tables s'organisent. Et voilà ça roule, le billard américain n'a plus de secret pour nous.

Jeanet

Et voilà ; nous avons remis cela, comme pour les travaux d'Hercule, avec le même enthousiasme, les mêmes sensations et à la clef, les mêmes courbatures, le tout sous un ciel clément, avec la visite du vent frais qui adore agiter les porcelaines, tinter les cristaux, s'engouffrer dans les vêtements suspendus, ce qui fit rouspéter plus d'une exposante.

Ayant déjà écrit mes impressions sur le vécu des deux derniers vide-greniers, je ne vais pas recommencer. Cependant, pensez donc ! 7ème du genre !...7 ...quel chiffre !

Voyons un peu :

• le 7 porte bonheur
• les 7 péchés capitaux
• les 7 nains de Blanche Neige
• les 7 lieues des bottes de l'ogre
• les 7 sommets de l'étoile du shérif
• les 7 notes de la gamme
• les 7 couleurs de l'arc-en-ciel

et combien d'autres célèbres ! Même le test des 7 années du couple, ce fameux tournant dit-on, après avoir grimpé au 7ème ciel ... etc...

Comment ne pas réussir le 7ème vide-greniers après 8 années de vie bien remplie avec Arvem ? Nous avons donc passé le cap fatal ! Chouette alors !

Comme les précédents beaucoup de monde, des contacts, des échanges sur les lectures, des informations sur l'association, peut-être pour de futures adhésions, des chineurs qui souhaitent exposer plus tard, appréciant l'espace de ce boulevard où, les badauds se promènent sans gêne.

Comme chaque fois c'est avec plaisir que l'on y retrouve tout au long de la journée, des connaissances, non seulement de l'association, mais de voisinage, d'anciens collègues de travail, des parents ; d'anciens élèves. Là ! mine de rien çà fait " tilt" quand on voit leur descendance... Bref c'est toujours chaleureux.

En fin de journée si les cartons sont moins nombreux et moins lourds, ce sont les jambes qui pèsent. Non pas qu'elles supportent le poids d'une aumônière remplie de "monnaie sonnante et trébuchante", mais 12h debout à arpenter le stand pour accueillir, le mieux possible les clients potentiels... forcément.... Elles se manifestent ! Que voulez-vous tout se gagne !

Comme de bien entendu, on oubliera vite ce détail. Reste à stocker, jusqu'au prochain déballage où l'on dira, "j'ai encore tout çà ? et avec le même engouement on dressera les tables. Alors je vous dis, à l'année prochaine.

Ninette

À l'entrée, nous avons été surpris par un accordéoniste et un clarinettiste qui nous accueillent dans la cour au son d'une musique des rues de Paris.

À peine rentrés, nous découvrons le monumental et superbe escalier à double évolution, sculpté avec sa rampe en fer forgé travaillé, qui nous mène au premier étage, à une galerie bordée d'arcades... grandiose !

Nous arrivons dans des salles dont les décors raffinés tant en mobilier, boiseries, peintures, plafonds sculptés, sols marquetés magnifiquement, nous emballent.

Dans le salon de musique 5 artistes interprêtent la musique Baroque chantée, tout à fait dans le style de ce très bel édifice, si bien entretenu, et pourtant peu connu.

Un joli jardin fleuri accessible, dont on peut faire le tour, permet d'écouter le ruissellement de la fontaine, quelques sièges pour profiter de ce havre de verdure si soigné.

Pour complèter le parcours musical, un groupe de jazz vint clore notre visite, par quelques morceaux joués dans les allées de ce jardin privé.

Nous avons été tentés par l'offre d'Arvem, pour cette journée du patrimoine. Aucun n'a regretté cette visite agréable pour les yeux et les oreilles. Ce lieu préservé n'ouvre ses portes qu'à cette occasion ; peu de visiteurs en ce dimanche matin, ce qui rendit ce déplacement encore plus appréciable.

Ninette

En ce samedi de rentrée nous nous sommes retrouvés dans un local agréable, vaste , clair, confortable.

Vous avez apprécié les nouvelles activités, selon les goûts de chacun, et les bonnes habitudes ont été reprises; la journée complète avec les jeux, la collation, le papotage pour les habitués comme pour les nouveaux. Le tout pour se terminer en chansons... pour les amateurs (dans les 2 sens de terme). Il paraît que les fortes pluies ont même inondé Cannes, peu de temps après ! A la prochaine fois.

Annie

Suite note du 21 juin

Après

Hélas tout a une fin ; le moment de remballer a sonné. Alors on refait les cartons ! Tout est reclassé, le marqueur en main indiquera leur contenu pour la prochaine fois, le rouleau adhésif s'active, déployant son ruban promettant une fermeture étanche.

Autrefois n'avons-nous pas été à bonne école ?
- chaque chose à sa place = organisation oblige
- c'est abimé ?  on raccommodera
- ne rien jeter: ah ! non! ça peut resservir
- un restant ? on saura  accommoder
- ordre donné : exécuter sans rechigner etc...

Maintenant les tables repliées, les colis attendent leur retour.
Un pigeon vient picorer quelques miettes d'un frugal casse-croûte. Tiens, la "limousine" arrive : elle baille d'impatience, contente de recevoir un peu moins de chargement (son image en a pris un coup ce matin).  Moins d'allées et venues entre le bout de trottoir et cette mangeuse de babioles, un dernier regard sur le lieu des festivités.
Règlement a dit : laisser la place impeccable : O K ... C'est nickel !...

Qui croira que là, il y avait un déballage ? Seuls les oiseaux, pourront témoigner, car ils ont eu une journée agitée... Cette nuit ils vont bien dormir,... et nous aussi !

Ninette

P.S Pour plus d'info sur le vécu détaillé d'une telle expérience, lire le texte suivant>>>>

Suite note du 20 juin

Le jour - Pendant

Oh ! C'est toujours le même scénario. Grand sursaut dû à la sonnerie bien trop matinale du réveil ! D'ailleurs il en rigole encore ... car il faut vaquer sans faire de bruit, malgré les gestes plutôt imprécis et l'excitation montante devant cette journée particulière, qui nécessite une présence assidue, agrémentée d'amabilités, alors que l'estomac tiraille, le ventre gargouille, les reins coincent, les genoux couinent, les jambes s'alourdissent, les pieds gonflent ... et j'en passe....

Mais le contact avec la clientèle est dynamisant souvent fructueux en anecdotes pour peu qu'on y glisse un peu d'humour !

Puisque à chaque date prévue pour cette animation on y retourne ; finalement, reconnaissons-le, quelque part, c'est du bonheur !

à suivre.....

Ninette

Avant

N'avez-vous pas entendu ce cri d'espoir ? Celui du bibelot que vous réveillez !

Nous avons tous fouillé dans les placards, grimpé sur l'escabeau, chamboulé les piles pour aller jusqu'au fond voir ce qui y dort, ôté les couvercles des boîtes pour y chercher ce qui s'y prélasse mollement, bousculé les amoncellements de livres, déménagé la bibliothèque, trié ce pour qui le cœur ne bat plus ! et encore !...parfois s'être ressaisit et replanqué " un rescapé'.

Après avoir nettoyé, repassé, fait briller, refeuilleté, reste à emballer ! Un carton, un deuxième, encore un autre, dans de grands sacs placer avec précaution des bibelots qui ont fait leur temps, et qui cherchent encore à plaire  (surtout qu'ils viennent d'être bichonnés). Ah ! ils ne vont pas de nouveau se manifester ceux-là !... Allez, taisez-vous, je vous range, et soyez sages !.....

C'est pas tout, il va falloir aller à la cave car y attendent soigneusement entassés des objets endormis, des héros dans les livres qui seront heureux de revenir à l'air libre !
Courage ! Il en faut pour descendre dans cet endroit sordide, dont l'obscurité est toujours impressionnante ( un vieux restant de l'enfance),
Que n'ai-je pas un bon vieux grenier ? Allez, courage ! Allons récupérer ces autres bagages qui trouveront place, faudra bien, dans le coffre de la voiture, où déjà les tables devant recevoir " les trésors" sont installées.

Après maints allers et retours pour empiler tous les paquets , lorsqu'enfin tout est entré dans son ventre... J'ai cru entendre la Peugeot soupirer de satisfaction, car elle va revivre le moment délicieux du petit parcours dans le quartier, déguisée en charrette d'Emmaûs, et sera déchargée dans la joie et la bonne humeur ! Doux souvenir de l'an passé !

à suivre>>>>

Ninette