Je vous invite à venir nous écouter à l’Église St-Antoine des quinze-vingt dimanche 16 décembre à 16h où nous aurons le plaisir d'interpréter des œuvres de Mozart, noëls populaires.
Plus de détail c'est ICI
Entrée libre.
Estelle
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Je vous invite à venir nous écouter à l’Église St-Antoine des quinze-vingt dimanche 16 décembre à 16h où nous aurons le plaisir d'interpréter des œuvres de Mozart, noëls populaires.
Plus de détail c'est ICI
Entrée libre.
Estelle
Si vous voulez scruter tout à votre aise un document hors du commun qui une fois signé rendit fous de joie des millions d’êtres humains, précipitez-vous sans tarder (avant le 22 janvier 2019) au château de Vincennes, Pavillon du Roi.
Il est très rare que ce document, à savoir, la convention originale d’armistice sur laquelle les représentants des Alliés et de l’Allemagne ont apposé leur signature le 11 novembre 1918 à 5 h du matin sorte du lieu où il a pieusement été entreposé.
Profitez de cette occasion ; lundi 13h/7h , du mardi au jeudi 9h/17h, vendredi 9h/16h , samedi 9h30/15h
Fermé les dimanches et jours fériés ( je me suis “cassé le nez” le jour de la Toussaint)
Fermeture annuelle, du 24 décembre 2018 au 1er janvier 2019 inclus.
Autre information : c’est gratuit !
Jean-Paul
Je n’ai pas la prétention de faire le rapport de cette période, bien compliquée, seulement quelques notes.
En ce 10 novembre, il nous a été développé tous les évènements écoulés depuis une partie des causes de ce conflit, l’évolution mondiale, le désastre général de ces années de combats, la position des alliés, la naissance de la République d’Allemagne, puis le recul de l’armée allemande et enfin la signature de la "convention de l’armistice".
Bien des détails précis donnés avec l’apport de documents officiels comme, l’affiche de la "mobilisation des français", des premières pages de la presse "Le matin", "Le figaro", "La Métropole" appuyés par nos photocopies permettant la comparaison entre l’Europe de 1914 et celle de 1923 bien plus morcelée, le wagon de Rethondes où fut signé la "convention de l’armistice" et ce document exceptionnel (conservé et exposé pour ce centenaire au château de Vincennes, jusqu’au mois de janvier 2019), aussi le clairon qui sonna l’arrêt des combats, avant que toutes les cloches du pays ne retentissent joyeusement.
Tout ceci avant de revivre au maximum les évènements échelonnés durant ces nombreuses années de malheur, où beaucoup de pays se sont impliqués, faisant des millions de morts, soldats et civils, millions de blessés, des "gueules cassées", des amputés, des aveugles tous dus aux éclats d’obus....
Mais vous avez peut-être vu de nombreux reportages télévisés relatant ceci et également le retour des survivants, durant ces dernières semaines précédant le 11 novembre.
De plus, si vous avez suivi la belle commémoration émouvante, exceptionnelle, à Paris retransmise en direct, si bien commentée, agrémentée de témoignages, de récits plus ou moins connus, (jusqu’à voir passer en ombre le fameux clairon) alors vous aurez constaté que vous aviez été bien informés la veille, par cette conférence offerte à laquelle vous aviez assisté.
Il fallait bien sûr, être resté scotché devant l’écran pour réentendre précisément les actions, les comportements, les décisions des chefs d’armée, des hommes d’état, les conséquences, la survie des combattants, et puis cette libération, certes provisoire pour 36 jours, car il a fallu que cet accord soit reconduit par 3 fois.
Mais la guerre a continué plus à l’Est jusque dans les années 20 et malheureusement une revanche allemande mijotait...
Grâce au petit écran, on a remarqué qu’en ce 11 novembre 2018 bien d’autres nations se sont unies dans le souvenir et l’espoir d’une paix solide.
Ninette
Remplissez les cases vides avec des lettres en veillant toujours à ce qu'une même lettre ne figure qu'une seule fois par colonne, une seule fois par ligne, et une seule fois par carré de neuf cases, vous pourrez lire dans la diagonale grise le nom d'un animal.
Diagosudoku n°2 à imprimer
Réponse lundi prochain
La République Batave est l'ancien nom de la Hollande ?
Le Musée de l’Armée des Invalides présente jusqu’au 20 janvier 2019 l’exposition “À l’Est la guerre sans fin 1918-1923”.
Elle nous permet de découvrir les bouleversements qu’a connus l’Europe entre 1918 et 1923.
Le visiteur assiste tout d’abord à la dissolution des empires (russe, allemand, austro-hongrois et ottoman). Puis c’est l’élaboration ô combien difficile des traités il y en eu pas moins de 6 : Versailles, St-Germain-en–Laye, Neuilly sur Seine, Trianon, Sèvres et Lausanne).
Une leçon d’histoire dont les conséquences se font encore sentir de nos jours.
Jean-Paul
Thème "Trois photos tirées au hasard: un objet, un lieu, un personnage ; imaginez une scène "
Mauvaise rencontre.
Un après-midi d'hiver, tout comme la veille et l'avant veille, le ciel est grisonnant, brumeux à se terrer au fond d'un trou. Clémence réside dans un immeuble où elle se sent bien seule. Autour d'elle ne vivent que des personnes du troisième voire du quatrième âge. Entre les bonjours et les bonsoirs les échanges sont plutôt rares. Pas même un couple de son âge, pas un enfant non plus avec qui elle pourrait raconter des histoires qui font rêver ou dormir debout, pas même un chat noir qui pourrait porter bonheur. En fin de journée, comme d'habitude elle s'appuie à la rambarde de sa fenêtre et s'invente une autre vie qui pourrait la sortir de ce calme plutôt tristounet.
De l'autre côté de la rue, dans l'immeuble en face, elle remarque depuis plusieurs jours un homme derrière sa vitre l'observant à l'aide de jumelles. "Mais qu'a-t-il donc celui-là à me mater avec insistance, je vais lui dire deux mots". Elle lui fait de grands signes tout en l'invitant à descendre. Au coin de la rue il y a un petit café où il pourra s'expliquer.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Devant la porte du bistrot il est déjà là à l'attendre, avec sa mine patibulaire. Tremblante, le teint blême, elle n'est pas très rassurée. Au fond de la salle dans la pénombre, sans un mot, ils s'installent autour d'une table. Lui, ne dit rien, sous son regard glacial il ne la quitte pas des yeux, visiblement il la détaille. Le bonnet de laine enfoncé, engoncé dans son blouson de cuir plutôt crasseux, il ne semble pas très à l'aise. "Pourquoi ne l'ouvre-t-il pas par cette chaleur étouffante. Que cache-t-il là-dessous, peut-être ses jumelles, mais pourquoi puisque je suis là face à lui, il me semble vraiment très louche".
Soudain, brisant ce silence, un bruit métallique résonne. De plus en plus angoissée, Clémence sent son cœur palpiter. Rapidement il se baisse, pose le pied sur un objet brillant, mais il n'a pas été assez rapide. Elle a bien vu, c'est un couteau, un Opinel rutilant à la lame pointue finement aiguisée.
Il prend les devants, en s'excusant de l'avoir fait sursauter. Gêné, il balbutie "Je dois vous dire que je suis boucher. Du matin au soir je tranche, je coupe, je découpe, je cisaille, je tape, je me défoule avec tout ce qui est tranchant. Ainsi, ma journée terminée je ne me sépare jamais de mon Opinel, j'en ai besoin, il est mon ange gardien. Il y a quelques années j'étais menuisier ébéniste, je sciais, je rabotais je créais, et patatras, je me suis retrouvé au chômage. Afin de garder la main, dés que je suis chez moi je fais de la sculpture sur bois. Actuellement j'ai le projet de sculpter, bien sûr avec mon Opinel, la femme dont je rêve. Depuis que je vous observe de ma fenêtre je pense avoir rencontré le bon modèle. Voulez vous poser pour moi".
Clémence devient blême, elle reste froide à cette proposition plutôt inattendue. Si elle refuse il serait capable de lui mettre le couteau sous la gorge à cet instant même, si elle accepte que va-t-il faire d'elle en allant chez lui ? Sait-on jamais... Après toutes ces émotions elle aurait bien besoin d'une boisson chaude, va-t-il lui en proposer une en attendant sa réponse ? Non, la galanterie n'est pas son genre. Elle reste muette mais sa décision est prise. La nuit tombe, le bistrot va bientôt fermer. Sans même lui dire bonsoir, Clémence rentre chez elle frôlant les murs.
Ce soir, comme les suivants, elle fermera ses volets ainsi que sa porte à double-tour. Demain elle l'évitera, puis elle tentera de l'oublier.
Annick D.
En ce samedi 3 novembre nous avons avec Arvem, profité de l’exposition ”Picasso, bleu et rose” qui jusqu’au 6 janvier 2019 s’est installée au Musée d’Orsay.
Comme de coutume les "fans" de Pablo ont sauté de joie en découvrant la période bleue pleine de mélancolie (son ami Carlos Casagenas vient de se suicider) puis la période rose incommensurablement plus gaie (il vit le grand Amour avec Fernande Olivier).
Les moins fans ont également été intéressés, surpris parfois, par le grand nombre de prostituées et de mères maquerelles que fréquentait notre génial espagnol habitué des bordels de Montmartre.
De toute façon une exposition enrichissante qui jette la lumière sur une période importante dans la vie d’un personnage emblématique du XXeme siècle.
Jean-Paul
Plus courageux que Donald Trump pour ce 11 novembre pluvieux, un groupe d’Arvemois s’est donné rendez-vous sous l’orme de St-Gervais. Ils en ont profité pour visiter l’église en souvenir de la Grosse Bertha et des victimes du vendredi saint 29 mars 1918.
Puis ils se dirigèrent vers l’Hôtel de Beauvais avec une pensée pour Mozart, vers la rue St-Antoine qui porta malheur à Henri II, l’Hôtel de Sully où le souvenir de Mme de Sévigné et de Voltaire reste vivace, l’église St-Paul Victor Hugo y maria sa fille Léopoldine, la rue de Beautreillis qui vit la fin de Jim Morrison et le couvent de la Visitation où Mme de La Fayette séjourna cloitrée pour le plus grand bonheur de Louis XIII et enfin la place de la Bastille afin d’y fouler les fondations de la Tour de la Liberté.
Il ne leur restait plus qu’à entonner la Marseillaise. Ils ne le firent pas, il pleuvait déjà trop.
Jean-Paul
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