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  • La bonne franquette

    À la bonne franquette: selon le dictionnaire, locution familière signifiant "Franchement et sans façon".

    Bonne définition que les participants de la Bonne Franquette d'ARVEM dimanche 21 janvier ne sauraient contredire.

    Ils s'accordent sans doute pour ajouter : un régal pour les papilles (que de bons petits plats et douceurs !) et joyeuse assemblée, orchestrée par des organisateurs et des animateurs dévoués et décidés, plein d'idées, sur le thème, - les Animaux -, qui a fédéré les cœurs et les esprits.

    MERCI, MERCI ARVEM pour cette belle journée !paris

    Et à bientôt.

    Francine B

  • Film "La douleur"

    Film LA DOULEUR – D’après le roman autobiographique de Marguerite Duras De Emmanuel Finkiel Avec Mélanie Thierry, Benoît Magimel, Benjamin Biolay

    Je suis encore sous la choc de "La Douleur", beau film d’Emmanuel Finkiel. Ce film est sensible, intelligent et… douloureux tant par l’illustration de la trouble période 1944/1945 que par le jeu délicat des acteurs et une mise en scène très réussie reconstituant le Paris de l’époque.

    C’est l’angoisse individuelle d’une femme espérant le retour de l’homme aimé liée à celle, collective, d’un pays qui n’a pas su ou pas voulu savoir….

    C’est aussi un magnifique et pudique portrait de femme avec toute son ambivalence, tiraillée entre son insoutenable attente et sa liaison secrète.

    Mélanie Laurent honore Marguerite Duras jeune.

    Qui aime la Personne et l’Auteure Marguerite Duras aimera ce film bouleversant.

    MartineC

  • Lire "La disparition de Joseph Mengele"

    Ce livre qui a obtenu le prix Renaudot 2017 nous raconte l’odyssée absolument dantesque de Joseph Mengele, l’ancien médecin tortionnaire d’Auschwitz qui tout d’abord veut s’inventer une nouvelle vie à Buenos-Aires avant de s’enfuir au Paraguay puis au Brésil. Il mourra mystérieusement sur une plage brésilienne le 7 février 1979.

    Lors de cette lecture vous y croiserez d’anciens nazis, des agents du Mossad, des dictateurs (Peron...) des hommes et des femmes cupides évoluant dans un monde corrompu par l’argent, l’ambition ou le fanatisme.

    Un livre à ne pas oublier, poussant à la méditation.

    Jean-Paul

  • Les fêtes d'Arvem

    Après la st-Sylvestre
    Se profile la galette,
    Fêter les rois
    Pourquoi pas ?
    C’est surtout l’occasion
    D’une grande réunion,
    Afin de retrouver
    En ce début d’année,
    Quelques éloignés ou absents
    Depuis un certain temps.

    Mais suit à l’horizon
    Une autre tradition.
    En ce dimanche, je pense
    Du boulot, on s’en balance !
    Et çà c’est chouette,
    Vive notre “Bonne franquette”
    Journée à ne rien faire
    Tout pour nous plaire !

    Puis en février demeure
    Celle de la Chandeleur,
    Et ces bonnes crêpes
    Nées des mains expertes
    De nos adhérents(es),
    Ainsi régaler les gourmands(es)
    Sans faire grande ripaille
    Rien de tel, pour les retrouvailles.

    paris

    2018 aura bien commencé
    Alors, Prêts à continuer ?

    Ninette

  • 3 - Anders Zorn

    Anders_Zorn.jpgAnders Leonard Zorn, né à Mora (Suède) le 18 février 1860 et mort à Stockholm le 22 août 1920, est un peintre, graveur et sculpteur suédois.

    Son originalité se manifeste dans une œuvre marquée par la vie et les atmosphères. Il est connu pour ses peintures liées de la campagne suédoise, par ses portraits et par ses nus ainsi que par ses représentations de l'eau. Il est avec Carl Larsson le peintre le plus populaire de Suède.

    Un musée, abritant la collection Zorn, lui est consacré à Mora.

    Lire la suite ICI

     

  • Expo "Barbara"

    À la Philharmonie de Paris (jusqu’au 28 janvier 2018)

    En ce samedi lugubre de décembre, la même passion pour La Longue Dame Brune nous réunissait, Arlette, Yves, Annick et moi. Nous n’allions pas être déçus grâce à la très belle exposition "Barbara" de la Philharmonie de Paris…

    Nous pénétrions l’antre de Barbara : vastes pièces aux murs tendus de velours sombres, lumières tamisées, baignées des chansons des époques successives.

    Au fil des salles - sans être aucunement dérangés par les nombreux visiteurs - nous découvrions votre vie, Barbara, à travers photos, films, lettres. Votre enfance, votre jeunesse, vos voyages, vos tournées…
    Nous vivions vos débuts ô combien difficiles, vos Amours tourmentées, vos complicités, votre solitude, vos succès, vos larmes, vos rires… la Vie que vous avez si bien dite en chansons…
    Nous vous devinions dans vos longues robes noires de scène et vos escarpins exposés devant nous.
    Puis nous déboulions dans votre jardin reconstitué de Percy, dans le salon garni du piano et de vos objets familiers.

    paris,expositionJ’étais avec Barbara, je vivais ses troubles, ses peurs, ses passions, ses colères, ses joies, oubliant mes amis… Pardon, Arlette, Yves, Annick : sans vous saluer, j’ai refait le tour. J’étais envoûtée, imprégnée de La Longue Dame Brune. Je ne pouvais pas ressortir.

    Fascinante, énigmatique, frénétique, libre et drôle aussi (lorsque je vous voyais tricoter sans fin dans vos longs voyages en voiture.)
    Tellement belle, tellement riche, vous étiez, vous êtes, Madame Barbara à la Voix Magique ! Telle je vous imaginais, telle je vous ai perçue à travers cette exposition exceptionnelle. Vous ne m’avez pas déçue, Grande Madame. Je vous ai retrouvée à la Philharmonie. J’ai vécu avec vous 2 heures d’une grande intensité.

    "Il ne faut pas continuer sa vie, Il faut chaque fois la recommencer." Barbara.

    Martine C qui félicite et remercie les organisateurs.