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  • Lire "Qui a tué lady Di ?"

    paris,livreAvec le vingtième anniversaire de la mort par accident sur le 13eme pilier du tunnel de l'Alma de la princesse Diana, les émissions se succèdent à la télévision.

    Ce livre vous aidera à mettre vos idées en place après le déluge d'informations dont vous serez abreuvés.

    Il vous permettra d'écouter avec plus de sérénité les divers commentaires dont vous ne manquerez pas d'être les auditeurs attentionnés ou pas.

    La cour d'Angleterre vous sera plus familière (elle n'en sort pas grandie) ainsi qu'une certaine société où l'argent est roi (c'est le pire ou le meilleur des maîtres) sans oublier les ravages dus à la Presse-people (les paparazzi n'ont pas le meilleur rôle).

    Un livre tout compte fait très intéressant qui se lit d'un trait, tel un roman policier.

    Jean-Paul

  • Atelier écriture du 26 juin 2017

    D'après une liste de 14 titres de chanson. Sélectionner ceux que l'on désire. Écrire un texte en incorporant les titres choisis.

    C'est une chanson

    Aline, assise sur un strapontin de toile à rayures orange, au bord du lac Majeur, scrute tous les bateaux, tous les oiseaux. Ils sont là devant ses yeux Elle pense, avec le temps, va tout s'en va. Tous ceux que j'aimais s'en sont allés.

    Elle se souvient, c'était hier. Elle se revoit au bal des pompiers du quatorze juillet. Ses amies, Lucie et Cécile l'accompagnaient. Elle ne se disait pas, j'ai dix ans, non, cela faisait longtemps qu'elle n'avait plus dix ans et qu'elle avait dépassé la phase de l'enfance. À l'adolescence, Mamy Blue, alors, l'emmenait au bal et ne la quittait pas du regard.

    Puis, à 18 ans, ce jour là, elle avait croisé le regard noir d'un bel espagnol. Rodrigo, il s'appelait. Il portait un blouson, un casque de moto, avec un aigle noir dans le dos.

    Lui aussi l'avait remarquée. Il a écarté quelques personnes lui barrant le passage Il est venu vers elle. Il a crié, Aline, pour qu'elle revienne. Il lui a lancé sans nuances, vous me plaisez ? Tenez , écoutez, l'orchestre, il joue une valse à mille temps. Je vous invite, Mademoiselle.

    Aline, le cœur cognant fort dans sa poitrine s'est élancée sur la piste de danse, dans la valse et dans la vie avec son bel hidalgo.

    Il l'a emmenée avec lui ce soir là. C'était l'homme à la moto. Celui dont elle avait toujours rêvé. Et, d'aventures en aventures, ils ont bourlingué ensemble pendant des kilomètres, mais aussi des années.

    Aujourd'hui Aline plonge dans ses souvenirs. La guerre a été déclarée et Rodrigo s'est considérablement engagé dedans. C'était un révolutionnaire. Un jour, elle a vu quatre ou cinq soldats qui les ont pris en embuscade. Ils ont emmené Rodrigo à l'écart. Lui ont hurlé après, ne lui ont pas fait de procès. Ils l'ont mis en joue. Elle a crié : Soldats ne tirez pas, c'est mon homme. Ils n'ont rien voulu savoir. FEU !.. Rodrigo est tombé dans la poussière. C'était la mort du clown.

    Jacqueline F

  • Vacances au calme

    C'était dans un camping paumé
    Au fond de l'Allier, planqué,
    Qu'allais-je faire dans cette galère ?
    Simplement changer d'air,
    Près d'une étendue d'eau,
    "Un lac", dit-on là-bas plutôt
    Où dans les roseaux
    Un héron se cache le jour
    Puis, de l'étang fait le tour
    Enfin le soir venu,
    Quand les humains ont disparu.
    C'est qu'ils le gênent
    Quand ils se baignent !

    Le jour à peine levé
    Je vois sur l'étang un voile léger
    Une langue de brume, une fumée ?
    Puis quand le soleil se réveille
    Sur l'eau, devenue miroir
    Des paillettes étincellent
    Clignotent, ayant le pouvoir
    De signaler en douceur
    Au sauvage campeur
    Debout! Il est l'heure !

    Seuls le matin batifolent les poissons
    Qui sur les ondes, font des ronds,
    Car ils sont enfin tranquilles
    Sans les gens des villes
    Qui viennent s'amuser,
    Se reposer, pique-niquer
    Et dont il faut se méfier
    Car ils viennent, aussi, pêcher !

    Mais dans ce camping isolé
    Peu fréquenté cette année,
    Trois familles en tout
    Un gardien, c'est tout,
    Le calme y règne en roi
    C'est parfait pour moi !
    Aucun bruit, pour seul fond sonore
    Toute l'expression orale
    Des oiseaux, de l'âne, des veaux
    Si en ce, lieu cela est banal
    C'est agréable sans être beau
    Mais j'en redemande encore !
    Pouvant observer la nature
    Les animaux dans la verdure,
    Qui paissent sagement,
    Le jour, la nuit, par tous les temps
    Broutent l'herbe, pâquerettes sucrées
    Le reflet de la liberté.

    allier,vacances

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    J'ose une principale distraction
    Nourrir de nouveaux compagnons.
    Même les plus petits
    Ont très vite compris
    Que leurs chants me charmeraient,
    Qu'alors je succomberai
    Et que le pain quotidien, j'assurerai.
    Picorer et transporter
    Pour des petits à alimenter ?
    Un manège à repérer !
    Des as de la communication,
    Dès que terminée la distribution,
    Prévenus par le guetteur,
    Ils arrivent à plusieurs
    Méfiants, et du coin de l'œil
    Visent le moindre écueil
    D'un coup d'ailes s'envolent
    Aussi de peur qu'on ne les vole
    Vite, reviennent anxieux,
    Chercher le pain délicieux !

    J'ai découvert les grives.
    Le mâle nourrit sa compagne
    Qui, ainsi s'éclipse dans la campagne
    Vers sa progéniture pour qu'elle survive.
    Le mâle pas trop farouche car habitué,
    Un jour est même arrivé
    Sautillant, jusqu'à mes pieds.
    Mais de son œil vif, j'étais observée
    Guettant le geste préféré
    Celui de la friandise lancée.

    Alors que mes hommes dorment
    Ma plume s'abandonne
    À sa chère rêverie
    Sinon, elle s'ennuie.
    Bref retour à la réalité
    Va falloir donner le petit déjeuner
    Avec le même ingrédient
    Mais hélas, sans évidemment
    Le son des chants si charmants !

    Ninette

  • Forum des associations 2017

    paris,forumassociation

    Cliquez pour agrandir

    C'est la rentrée !

    Retrouvez-nous au Forum des associations qui se tiendra sur le bd de Reuilly, entre la place Félix Éboué et la rue de Charenton le samedi 10 septembre de 10h à 18h.

    Vous ne connaissez pas les activités de l'association, c'est l'occasion de les découvrir, vous nous connaissez, un petit bonjour nous fait toujours plaisir.

  • Film "Mort à Sarajevo"

    mort-a-sarajevo.jpgSi vous comptez revivre avec informations intéressantes le drame de l'assassinat de François Ferdinand cause indirecte de la Grande Guerre, vous pouvez vous dispenser de vous déplacer pour visionner ce film.

    Dans le scénario, un gala de commémoration doit avoir lieu à l'hôtel Europe de Sarajevo, mais une grève en gestation perturbe la cérémonie annoncée, ainsi que l'interview d'un dénommé Gavrilo homonyme de l'assassin de juin 1914. Tout cela finira mal. Je ne vous en dis pas plus.

    Jean-Paul

  • Lire "Dunkerque" 1940

    paris,livreSi vous voulez en complément du film "Dunkerque" connaître les sentiments d'un enfant de 10 ans qui se trouva plongé avec ses parents dans cette énorme tragédie française, précipitez-vous sur" Dunkerque 1940 une tragédie française" écrit par Jacques Duquesne journaliste et écrivain reconnu.

    Sans fioritures il nous fait le témoin de ses impressions et sentiments sur les évènements accompagnés de nombreux bobards circulant dans la population civile dans cette période si mouvementée.

    Un livre- témoignage bienvenu.

    Jean-Paul