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  • Lire "Dictionnaire amoureux de Paris"

    paris,livreL'auteur de ce "Dictionnaire amoureux de Paris" Nicolas D'Estienne d'Orves est un amoureux nostalgique. Ce livre n'est pas un guide touristique, c'est le fruit du travail d'un écrivain dont la joie est d'essayer de faire comprendre sa ville et de partager son amour.

    Certains choix semblent curieux voire contestables, mais ils méritent d'être tous lus et incitent à y voir de plus près.

    A l'issue de cette lecture votre connaissance de Paris sera enrichie.

    Jean-Paul

  • Film "Les chevaliers blancs"

    Une équipe (pseudo humanitaire), part pour un pays africain afin de ramener des enfants adoptables, et satisfaire des familles en désir d'enfant.

    Afin de concrétiser ce projet, des fonds sont récoltés auprès des demandeurs, Il faut donc réussir coûte que coûte, et de plus, ils doivent être de retour dans un mois.

    Encore faudrait-il que ce soit clair, réfléchi, et bien ficelé, que le but ne soit pas de satisfaire les demandeurs, au dépend des enfants et parents dans le besoin, confiants et mal informés.

    Dés le début de cette aventure, l'équipe est incohérente, dispersée, sans informations précises, de nombreux malentendus n'aident pas à l'aboutissement de la démarche.

    Ce film est tiré d'un fait divers. L' intention était pourtant bonne mais les organisateurs l'étaient moins.

    Annick D.

     

     

  • À vous de jouer ? (393)

    Dans un bureau situé à Paris, un homme d'affaires a été endormi puis kidnappé. À son réveil il est enfermé dans une pièce sombre et spartiate avec seulement un lavabo et un lit. Aucun bruit ni aucune ouverture ne lui permettent de communiquer avec l'extérieur.
    Pourtant il sait de manière certaine qu'il a parcouru plus de 5000 kilomètres.

    Pourquoi ?

  • Atelier d'écriture de janvier

    En ce début d'année à l'atelier d'écriture, parmi différents sujets il était proposé de continuer sur ces quelques mots : "C'était un jour comme les autres semblait-il, et pourtant"...
    Sept participants ont donné sept textes différents dont celui-ci.


    C'était un jour comme les autres semblait-il, et pourtant...

    Monsieur Henri comme d'habitude, entre au bistrot de son quartier afin de se restaurer. C'est un habitué, le patron le connaît bien. Du Lundi au samedi, à midi quinze précise, il est souvent le premier client.

    Par un pas tranquille, il se dirige au fond de la salle et s'installe comme toujours à la même table. Il pose son chapeau sur la chaise face à lui et d'un regard inquiet fait le tour des lieux.

    Ce n'est pas comme d'habitude, les clients sont rares et ceux qui sont là semblent pensifs. Les fidèles, il les connaît bien. Il y a le couple d'amoureux qui se dévore des yeux plus qu'il ne mange, Il y a le vieux monsieur que l'on voit à peine, caché derrière son journal, mais il y a surtout la dame au manteau vert. Comment ne pas la remarquer...

    Personne de tous ces habitués n'est là. Pourquoi la dame au manteau vert est-elle absente? Il connaît sa ponctualité, le temps dont elle dispose, ses goûts gastronomiques. Parfois il a eu la tentation de l'aborder, mais craignait de la retarder, son temps semblait être compté. Sont-ils donc tous malades ou bien en vacances ? Nous ne sommes pas dimanche se dit-il. Depuis que Monsieur Henri est en retraite il n'a pour seul repère que ce jour là, son petit restaurant étant fermé Il doit donc se contenter d'un plat surgelé à la maison.

    Le patron semble pressé, il a constamment le regard vers la pendule.

    Et Monsieur Henri est toujours obsédé par l'absence de la dame au manteau vert.

    Soudain, dans la rue un brouhaha attire son attention. Des enfants courent et chantent en poussant la porte d'entrée dans des éclats de rire. Et surprise, la dame au manteau vert apparaît derrière sa marmaille qui s'exclame en chœur "Joyeux Noël Monsieur Henri".

    Eh oui, Monsieur Henri vit seul, n'est pas entouré, pour seule compagnie n'a que son chat. Il n'a plus aucune notion de toutes ces fêtes, et ne croit plus au père Noël depuis bien longtemps.

    Alors les enfants l'entourent, lui déposent des chocolats dans son chapeau et l'embrassent.

    La dame au manteau vert l'invite alors à venir déjeuner en famille. "Notre appartement n'est pas très grand, mais vous serez mieux qu'au restaurant" insiste t-elle. Et tout ce petit monde est heureux de repartir avec Monsieur Henri.

    Annick D

  • Expo "On l'appelait Chocolat"

    paris,expositionLa Maison des métallos 94 rue Jean-Pierre Timbaud XIeme présente du 3 au 28 février (du mardi au samedi 14h - 20h et le dimanche 14h -19h Entrée libre) "On l'appelait Chocolat", une exposition sur cet artiste sans nom qui fit courir avec son compère Footit "Le Tout Paris" de la Belle Epoque.

    Vous y découvrirez, dans un lieu très lumineux, des documents exceptionnels (affiches, photographies, dessins, archives sonores, films,...) présentés pour la première fois au grand public par l'historien Gérard Noiriel, commissaire auteur de la biographie "Chocolat La véritable histoire d'un clown sans nom " .

    Vous profiterez en visitant cette exposition d'un bon complément au film "Chocolat" de Roschdy Zem où excelle Omar Sy.

    Jean-Paul

  • Film "Chocolat"

    paris,filmCe film raconte tout d'abord la formation à la fin du XIXeme siècle du duo célèbre dans le monde du cirque de Footit le clown blanc autoritaire et de Raphael Padilla un Noir d'origine cubaine (le premier clown noir) son souffre-douleur.

    Il raconte surtout le racisme ordinaire qui existait à cette époque et perdura durant le XXeme siècle (a-t-il totalement disparu ?)

    Un film a voir sans attendre. Omar Sy "Chocolat" y est émouvant à souhait.

    Jean-Paul

  • Film "Spotligth"

    paris,filmÀ Boston, un prêtre est accusé de pédophilie. Les plus hautes sphères du clergé sont informées mais personne ne bouge. Après enquête d'autres ecclésiastiques sont aussi mis en cause. Les nombreuses victimes se taisent ou ne sont pas crues, devenues adultes elles accusent avec difficultés malgré tout. Tout le monde sait, mais des pressions étouffent l'affaire. Jusqu'à ce que la presse s'en mêle...
     
    Des faits identiques se sont passés aussi en France dans des lieux d'accueil pour enfants. 

    Très bon film.   

    Annick D.

  • Réponse "à vous de jouer n°391"

    Mon premier est un pronom personnel dit "réfléchi" (3ème pers. singulier)
    Mon deuxième tire-bouchonne le derrière du cochon
    Mon troisième est une moitié de tutu
    Mon quatrième est un adjectif démonstratif
    Mon cinquième est une conjugaison du verbe "avoir", ou une préposition
    Mon sixième est le son de la lettre "P"
    Des élèves qui rentrent dans la classe forment mon septième
    Mon huitième est un article défini masculin singulier
    Mon neuvième est un chapeau anglais
    Mon dixième est un pronom personnel indéfini
    Jeanne d'arc a, parait-il, entendu mon onzième
    Mon douzième est le son d'une lettre évoquant le bourdonnement
    Mon treizième est le premier entier plus grand que 0

    Mon tout est un proverbe chinois

    • Ce que tu sais, apprends-le à ton voisin