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En 1969, Enric Bernat, créateur de la sucette chupa chups en 1958, décide de redessiner le logo de sa sucette. Il fait alors appel à l’artiste le plus en vogue de son temps : le peintre Salvador Dali. C’est lui qui dessine cette jolie fleur inspirée d’une marguerite.
Jeanet
Belle rétrospective, jusqu'au 3 juillet, de l'oeuvre d'Edouard Manet au Musée d'Orsay intitulée "Monet inventeur du Moderne". Ses tableaux ayant causé le scandale, sont bien entendu mis en valeur : "Le déjeuner sur l'herbe", "l'Olympia", "Le Christ aux anges".
On y côtoie également Manet proche des Impressionnistes (il en passait pour le "chef") ainsi que des maîtres espagnols comme Zurbaran dans ses peintures religieuses "Le moine en prière" et de Berthe Morizot "Le balcon".
Le peintre de l'Histoire n'est pas oublié (la fin de la guerre de 187O et la Commune l'ont touché de près) ainsi "L'évasion de Rochefort" clôture admirablement l'exposition.
L'attente est acceptable (un bon quart d'heure à l'extérieur, même attente à l'intérieur). Si trop d'affluence, plus de billets en vente dès 15h - 15h30.
Jean-Paul
Paul Beuve est un "hugolâtre" qui avec un petit budget réussi à collectionner un nombre infini d'objets ayant trait à son idole Victor Hugo.
La Maison de VIctor Hugo nous propose jusqu'au 28 août dans l'exposition "Les Hugobjets" la présentation de toutes ces reliques rassemblées amoureusement par ce passionné. C'est absolument fascinant de pouvoir visualiser le culte entretenu autour de cet immense écrivain.
Elle prouve notamment, que le commerce des produits dérivés ne date pas d'aujourd'hui.
Cette exposition se déroule au 1er étage de la Maison de Victor Hugo, si vous montez au 2e étage dans les collections permanentes vous observerez un nouvel accrochage "François Chifflart, un oeil tout grand ouvert dans les ténèbres".
Jean-Paul
Monsieur le chauffeur du car : Direction maison de Monet à Giverny, SVP !!
Je suis parti sans voix... et je le suis resté à la vue des jolies fleurs (sans peau de vache !) et des quelques vaches (pas déguisées en fleurs !).
Photos © Jeanet
Une balade cool, pas trop d'embouteillages dans les allées, chacun allant à son rythme... mais personne n'est arrivée en retard pour l'apéro.... et le repas qui a suivi !
L'après midi fut plus "sportif" au domaine de Villarceaux...
Photos © Jeanet
Une grande promenade autour du lac, des jardins.... l'ascension des "verts vertugadins"... la visite de la maison... Chacun a pu se prendre, quelques instants, pour le propriétaire de cette "sympathique" résidence secondaire..... Mais..... on revient toujours au même problème... l'argent... et chantons tous ensemble avec le peintre évoqué plus haut MONEY! MONEY!
Jean O
une très bonne fête aux
Marie-Louise
Si vous voulez vous rendre compte jusqu'où peuvent aller les êtres humains quand une des races (ici les Japonais) se sent supérieure à une autre race (les Chinois), allez voir "John Rabe Le juste de Nankin".
Ce film raconte l'histoire d'un Allemand, John Rabe, qui quoique national-socialiste comme la majorité des Allemands de l'époque, est écoeuré par le spectacle qui s'offre à ses yeux (c'est le sac de Nankin qui fit au moins 300 000 morts). Il fait tout ce qu'il peut pour sauver un maximum de Chinois de la barbarie japonaise.
C'est un film très prenant qui s'intègre bien dans l'actualité de l'époque grâce à des documents particulièrement bien choisis et au jeu des acteurs en tout point remarquable.
Jean-Paul
Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle est la patronne :
Réponse jeudi prochain
À vous de jouer n°142
D’où vient le nom des anciens magasins de « La Samaritaine » ?
Au bord du Pont-Neuf s'élevait naguère la pompe à eau dite de la Samaritaine, commandée par Henri IV pour alimenter en eau le jardin des Tuileries. Cette pompe était dotée d'une horloge astronomique et ornée d'un bas-relief représentant la Samaritaine de l'Évangile donnant à boire au Christ.
Elle fut détruite en 1813 et remplacée en 1900 par le grand magasin que fondèrent Ernest Cognacq et sa femme Louise Jay.
Si vous voulez vivre les aventures d'un jeune Parisien durant les années agitées de la Régence de Philippe d'Orléans, vous pouvez vous procurer "Le cocher du Pont-Neuf" de Jean-Baptiste Bester.
Vous verrez le héros de l'histoire, avant de se rendre outre-Atlantique, cotoyer Le Régent, le jeune Louis XV, Voltaire, Cartouche et bien d'autres personnages ayant vécu dans ces bouillonnantes années du début de règne du "Bien Aimé".
Jean-Paul
Le premier timbre poste du monde, le one-penny-back fut émis au mois de mai 1840 en Grande-Bretagne.
Le premier timbre de la France émis en 1849, le 20 cts Céres, était noir comme tous les premiers timbres des différents pays, à l'exemple du one-penny.
Jeanet
une très bonne fête aux
Jacques et Philippe