Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ARVEM ASSOCIATION - Page 112

  • Réponse "à vous de jouer n°545"

    Recomposez les chansons.... en rassemblant les morceaux

    • Belle-Ile -en-mer... Marie-Galante 'Laurent Voulzy)
    • Un jour j'irai à... New York avec toi (Téléphone)
    • J'aimerais tant voir...Syracuse (H.Salvador/B.Dimey)
    • Avec la mer du Nord... pour dernier terrain vague (Jacques Brel)
    • Voici le Capitole... j'y arrête mes pas (Claude Nougaro)
    • Je reviendrai... à Montréal (Robert Charlebois)
    • Paris sous cloche... ça me gavroche (Thomas Dutronc)
    • I want to go to.... Valparaison (Paula Moore)
  • Venez jouer avec les expressions françaises

    Vous aimez jouer avec les expressions françaises ...... Atout livre au 203 bis Avenue Daumesnil, 75012 Paris, vous propose une soirée autour de ce thème.

    Information fournie par Atout Livre

    Jeu Bescherelle.jpg Fred Elola est le concepteur du jeu A l'origine des expressions françaises, édité par Hatier sous le prestigieux label Bescherelle.

    Il a accepté notre invitation et sera présent le vendredi 15 février,  partir de 19h30.

    Nous discuterons un peu afin de vous présenter le jeu, mais très vite, nous passerons à la pratique !

    En petit amuse-bouche, essayez déjà de déterminer quelle est la véritable origine de l'expression "amuser la galerie" ?

    hypothèse numéro 1 : Au théâtre, il y a la fosse, où s'amusent les gens du peuple, et la galerie, où s'installe le beau monde. Les comédiens ambitieux cherchant un protecteur veillaient surtout à "amuser la galerie"...

    hypothèse numéro 2 : Au jeu de paume, ancêtre du tennis, le public s'installait dans des galeries, sortes d'allées couvertes. Les joueurs rivalisaient d'adresse et de virtuosité pour divertir les badauds qui s'y pressaient.

    hypothèse numéro 3 : Au Moyen-Age, les saltimbanques s'installaient dans les galeries où se situaient les marchands pour distraire les badauds et récolter quelques pièces.

    Une seule de ces hypothèses est la bonne ; saurez-vous deviner laquelle ?

    La réponse (et d'autres questions, et d'autres réponses !) vendredi 15 février !

    Jeanet

  • Théâtre "Alexandra David-Neel" Mon Tibet..."

    Alexandra_David_Neel.jpg

    Alexandra David-Neel "Mon Tibet..." de Michel Lengliney
    Mise en scène et décor de Claude Laucournet,
    Avec Sophie Margalet et Laure Reutermann
    Théâtre Auguste Dobel,
    du 18 janvier au 10 février, 9 rue Philidor (75020).

    Si la curiosité vous pousse à mieux connaître cette personnalité légendaire, symbole des vies de femmes libres, aventureuses, érudites et en quête d'absolu, courez voir cette pièce présentée au théâtre Auguste Dobel par la compagnie Aurore dont nous avons déjà apprécié les initiatives aussi hardies que talentueuses.

    Nous sommes à la fin de la vie de l'héroïne, embauchant une aide dont les tâches mal définies au départ (dans la réalité Marie-Madeleine Peyronnet) se révèleront multiples, de secrétaire à femme de ménage.

    Les rapports entre les deux femmes, dans leur subtilité et leurs perpétuels déséquilibres et réajustements-ceux-ci en raison de l'humeur et des convictions têtues d'Alexandra, sont admirablement servis par un dialogue brillant, dont les à-coups et les ruptures font virer au comique ces derniers moments d'une vie exceptionnelle-qui auraient pu être tragiques ou au moins mélancoliques.

    La mise en scène de Claude Laucournet, très sobre et nuancée, soutenant ces revirements psychologiques par les déplacements et fausses morts de son personnage met efficacement en relief cet échange toujours imprévisible et sa progression vers une intimité tendre, un attachement qu'aucune ne voudrait voir se rompre. La musique (une bande-son d'Hugo Caruana) épouse efficacement les changements de ton et de situation.

    Sophie Margalet est remarquable dans le rôle d'Alexandra. D'autres textes nous avaient fait découvrir son talent. Elle est ici éblouissante entre autoritarisme, résolution passionnée et dure, et vulnérabilité juvénile. Le jeu de sa partenaire est à la hauteur, ferme et sensible à la fois, opposant des forces qui prennent parfois l'aspect de l'impuissance, de la colère et du désespoir au volontarisme stoïque de la championne.

    Grâce à ces talents conjugués l'essentiel des choix lisibles dans cette biographie est reçu et visiblement apprécié par le public : un féminisme qui n'exclut pas les hommes, dans la plus grande liberté des deux : quittant à jamais un mari infidèle, Alexandra continue à le chérir et lui de loin à la soutenir, y compris financièrement, dans ses expéditions ; éloge de la solitude qui ne doit pas être vécue comme un échec mais comme une jouissance ; revendication d'égalité sociale avec des allusions aux méfaits d'une certaine politique encore actuelle ; nécessité de la culture, particulièrement de la lecture, et de celle de la méditation qui permet d'envisager simultanément et sereinement vie et mort, se traduisant par cet étrange refrain que fredonne Alexandra, rythmant ses avancées difficiles: "un pas vers la mort", endurance physique visant à toujours repousser les limites de la machine, entretenue sans cesse à travers ses exploits. D'exploratrice ; orientalisme bouddhique joint à une extrême lucidité permettant d'approfondir et de mettre en pratique cette philosophie de l'existence.

    En cette période instable et incertaine nous repartons du théâtre enchanté(e)s, enrichi(e)s, éclairé(e)s, affermi(e)s.

    Marie-Claire CALMUS

  • Atelier écriture "La boule de neige"

    Thème : La "boule de neige" est une phrase dont la longueur des mots augmente puis diminue régulièrement permettant l'arrangement calligraphique en triangle, losange ou polygone. Ici un losange.


    La

    Rose rouge

    S’épanouit au fil

    Du temps, belle créature

    Mais flétrit à la fin

    Rouge vif deviendra un bel écarlate

    Car seuls les pétales évoluent

    Et la beauté change

    Elle restera toujours

    Une magnifique

    Rose

     Ludmilla

     

  • Film “Colette”

    J’avoue avoir hésité avant de décider à me procurer un billet pour Colette en version originale. Entendre parler anglais à St Sauveur-en-Puisaye me semblait un non- sens.

    Il faut reconnaître que très vite le spectateur s’y fait. Nous assistons avec plaisir à la conquête de la jeune Colette par ce très parisien de Willy qui va très vite profiter de ses dons d’écrivain pour gérer le phénomène littéraire que sera "Claudine à l’école".

    Ensuite la jeune femme s’émancipera, "ô combien” jusqu’à jouer au "Moulin Rouge" en tenue plus ou moins légère en compagnie de son "amie" Missy.

    Un film à voir par les admirateurs de l’écrivain et par les nostalgiques de la "Belle Époque".

    Jean-Paul

  • À vous de jouer ? (n°545)

    Recomposez les chansons

    Belle-Ile -en-mer...

    Un jour j'irai à....

    J'aimerais tant voir...

    Avec la mer du Nord...

    Voici le Capitole....

    Je reviendrai...

    Paris sous cloche...

    I wan to to go to....

     

    en rassemblant les morceaux

    ... New York avec toi

    ... Syracuse

    ... J'y arrête mes pas

    ... à Montréal

    ... ça me gavroche

    ... Valparaison

    ... Marie-Galante

    ... pour dernier terrain vague

     

    Réponse lundi prochain

     

  • Programme février 2019

    Jeux de société
    Vous cherchez des partenaires, vous désirez vous initier ! Venez nous rejoindre.

    Scrabble, tarot, belote, bridge
    Lundis 4, 11 & 18 février de 18h30 à 21h30
    Samedi 16 février à 10h30 & 17h15

    Scrabble, tarot
    Samedi 16 février à 10h30

    Échecs
    Lundis 4 & 18 février de 18h30 à 21h30

    Dimanche 3 février à 14h
    Fêtons la chandeleur

    Lundi 11 février à 19h
    Ateliers d'écriture

    Samedi  16 février à 14h30
    Discussion de Jean-Yves : Histoire de l'Australie

    Dimanche 17 février à 10h30
    Balade photos "La diagonale"

    Mardi 19 février à 18h30
    Billard américain

    Samedi 23 février à 13h45
    Expo au Petit Palais "Jean-Jacques Lequeu"

  • Expo "Un rêve d'Italie"

    Jusqu’au 18 février le Musée du Louvre présente une collection absolument exceptionnelle ; celle d’un marquis romain Campana qui fut un collectionneur hors pair.

    Elle comprend des souvenirs étrusques provenant de Cerveteri comme le célèbre “sarcophage des époux”, des marbres superbes tel le buste d’Antinoüs (le favori d’Hadrien) et de nombreux tableaux dont “la bataille de San Romano” de Paolo Uccello, une croix peinte de Giotto et une ”Annonciation” de Lorenzo di Credi égale à celle de Léonard de Vinci.

    Bien d’autres œuvres vous restent à découvrir dans ce  rêve d’Italie” qui vous permet d’accomplir un périple enchanteur dans cette fascinante Italie, berceau de la Renaissance.

    Jean-Paul