Dans le monde du cyclisme que signifie "Avoir la socquette en titane" :
- Accélérer l'allure avec brutalité
- Démarrer à tout bout de champs
- Se faire remarquer par l'efficacité d'un coup de pédale harmonieux et aérien
Réponse lundi prochain
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Dans le monde du cyclisme que signifie "Avoir la socquette en titane" :
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Vous aimez jouer avec les expressions françaises ...... Atout livre au 203 bis Avenue Daumesnil, 75012 Paris, vous propose une soirée autour de ce thème.
Information fournie par Atout Livre
Fred Elola est le concepteur du jeu A l'origine des expressions françaises, édité par Hatier sous le prestigieux label Bescherelle.
Il a accepté notre invitation et sera présent le vendredi 15 février, partir de 19h30.
Nous discuterons un peu afin de vous présenter le jeu, mais très vite, nous passerons à la pratique !
En petit amuse-bouche, essayez déjà de déterminer quelle est la véritable origine de l'expression "amuser la galerie" ?
hypothèse numéro 1 : Au théâtre, il y a la fosse, où s'amusent les gens du peuple, et la galerie, où s'installe le beau monde. Les comédiens ambitieux cherchant un protecteur veillaient surtout à "amuser la galerie"...
hypothèse numéro 2 : Au jeu de paume, ancêtre du tennis, le public s'installait dans des galeries, sortes d'allées couvertes. Les joueurs rivalisaient d'adresse et de virtuosité pour divertir les badauds qui s'y pressaient.
hypothèse numéro 3 : Au Moyen-Age, les saltimbanques s'installaient dans les galeries où se situaient les marchands pour distraire les badauds et récolter quelques pièces.
Une seule de ces hypothèses est la bonne ; saurez-vous deviner laquelle ?
La réponse (et d'autres questions, et d'autres réponses !) vendredi 15 février !
Jeanet
Alexandra David-Neel "Mon Tibet..." de Michel Lengliney
Mise en scène et décor de Claude Laucournet,
Avec Sophie Margalet et Laure Reutermann
Théâtre Auguste Dobel,
du 18 janvier au 10 février, 9 rue Philidor (75020).
Si la curiosité vous pousse à mieux connaître cette personnalité légendaire, symbole des vies de femmes libres, aventureuses, érudites et en quête d'absolu, courez voir cette pièce présentée au théâtre Auguste Dobel par la compagnie Aurore dont nous avons déjà apprécié les initiatives aussi hardies que talentueuses.
Nous sommes à la fin de la vie de l'héroïne, embauchant une aide dont les tâches mal définies au départ (dans la réalité Marie-Madeleine Peyronnet) se révèleront multiples, de secrétaire à femme de ménage.
Les rapports entre les deux femmes, dans leur subtilité et leurs perpétuels déséquilibres et réajustements-ceux-ci en raison de l'humeur et des convictions têtues d'Alexandra, sont admirablement servis par un dialogue brillant, dont les à-coups et les ruptures font virer au comique ces derniers moments d'une vie exceptionnelle-qui auraient pu être tragiques ou au moins mélancoliques.
La mise en scène de Claude Laucournet, très sobre et nuancée, soutenant ces revirements psychologiques par les déplacements et fausses morts de son personnage met efficacement en relief cet échange toujours imprévisible et sa progression vers une intimité tendre, un attachement qu'aucune ne voudrait voir se rompre. La musique (une bande-son d'Hugo Caruana) épouse efficacement les changements de ton et de situation.
Sophie Margalet est remarquable dans le rôle d'Alexandra. D'autres textes nous avaient fait découvrir son talent. Elle est ici éblouissante entre autoritarisme, résolution passionnée et dure, et vulnérabilité juvénile. Le jeu de sa partenaire est à la hauteur, ferme et sensible à la fois, opposant des forces qui prennent parfois l'aspect de l'impuissance, de la colère et du désespoir au volontarisme stoïque de la championne.
Grâce à ces talents conjugués l'essentiel des choix lisibles dans cette biographie est reçu et visiblement apprécié par le public : un féminisme qui n'exclut pas les hommes, dans la plus grande liberté des deux : quittant à jamais un mari infidèle, Alexandra continue à le chérir et lui de loin à la soutenir, y compris financièrement, dans ses expéditions ; éloge de la solitude qui ne doit pas être vécue comme un échec mais comme une jouissance ; revendication d'égalité sociale avec des allusions aux méfaits d'une certaine politique encore actuelle ; nécessité de la culture, particulièrement de la lecture, et de celle de la méditation qui permet d'envisager simultanément et sereinement vie et mort, se traduisant par cet étrange refrain que fredonne Alexandra, rythmant ses avancées difficiles: "un pas vers la mort", endurance physique visant à toujours repousser les limites de la machine, entretenue sans cesse à travers ses exploits. D'exploratrice ; orientalisme bouddhique joint à une extrême lucidité permettant d'approfondir et de mettre en pratique cette philosophie de l'existence.
En cette période instable et incertaine nous repartons du théâtre enchanté(e)s, enrichi(e)s, éclairé(e)s, affermi(e)s.
Marie-Claire CALMUS
Thème : La "boule de neige" est une phrase dont la longueur des mots augmente puis diminue régulièrement permettant l'arrangement calligraphique en triangle, losange ou polygone. Ici un losange.
La
Rose rouge
S’épanouit au fil
Du temps, belle créature
Mais flétrit à la fin
Rouge vif deviendra un bel écarlate
Car seuls les pétales évoluent
Et la beauté change
Elle restera toujours
Une magnifique
Rose
Ludmilla
J’avoue avoir hésité avant de décider à me procurer un billet pour Colette en version originale. Entendre parler anglais à St Sauveur-en-Puisaye me semblait un non- sens.
Il faut reconnaître que très vite le spectateur s’y fait. Nous assistons avec plaisir à la conquête de la jeune Colette par ce très parisien de Willy qui va très vite profiter de ses dons d’écrivain pour gérer le phénomène littéraire que sera "Claudine à l’école".
Ensuite la jeune femme s’émancipera, "ô combien” jusqu’à jouer au "Moulin Rouge" en tenue plus ou moins légère en compagnie de son "amie" Missy.
Un film à voir par les admirateurs de l’écrivain et par les nostalgiques de la "Belle Époque".
Jean-Paul
Recomposez les chansons
Belle-Ile -en-mer...
Un jour j'irai à....
J'aimerais tant voir...
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Voici le Capitole....
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Paris sous cloche...
I wan to to go to....
en rassemblant les morceaux
... New York avec toi
... Syracuse
... J'y arrête mes pas
... à Montréal
... ça me gavroche
... Valparaison
... Marie-Galante
... pour dernier terrain vague
Réponse lundi prochain
Au théâtre que signifie l'expression "Chausser le cothurne" ?
Jeux de société
Vous cherchez des partenaires, vous désirez vous initier ! Venez nous rejoindre.
Scrabble, tarot, belote, bridge
Lundis 4, 11 & 18 février de 18h30 à 21h30
Samedi 16 février à 10h30 & 17h15
Scrabble, tarot
Samedi 16 février à 10h30
Échecs
Lundis 4 & 18 février de 18h30 à 21h30
Dimanche 3 février à 14h
Fêtons la chandeleur
Lundi 11 février à 19h
Ateliers d'écriture
Samedi 16 février à 14h30
Discussion de Jean-Yves : Histoire de l'Australie
Dimanche 17 février à 10h30
Balade photos "La diagonale"
Mardi 19 février à 18h30
Billard américain
Samedi 23 février à 13h45
Expo au Petit Palais "Jean-Jacques Lequeu"
Jusqu’au 18 février le Musée du Louvre présente une collection absolument exceptionnelle ; celle d’un marquis romain Campana qui fut un collectionneur hors pair.
Elle comprend des souvenirs étrusques provenant de Cerveteri comme le célèbre “sarcophage des époux”, des marbres superbes tel le buste d’Antinoüs (le favori d’Hadrien) et de nombreux tableaux dont “la bataille de San Romano” de Paolo Uccello, une croix peinte de Giotto et une ”Annonciation” de Lorenzo di Credi égale à celle de Léonard de Vinci.
Bien d’autres œuvres vous restent à découvrir dans ce rêve d’Italie” qui vous permet d’accomplir un périple enchanteur dans cette fascinante Italie, berceau de la Renaissance.
Jean-Paul