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À vous de jouer n°170
Qui suis-je ? la flamme
Elle décore une lettre : la flamme de l'envelppe Rougit à un kilomètre : la flamme rouge, elle indique le dernier kilomètre dans le Tour de France Elle peut se déclarer : Déclarer sa flamme
Voici donc jusqu'au 16 janvier 2012 une superbe exposition au Louvre consacrée "Au royaume d'Alexandre le Grand", ce grand conquérant qui fascinait Louis XIV et surtout Napoléon.
De nombreux films nous ont familiarisés avec ce que nous connaissons de la vie de celui-ci malgré de nombreuses légendes véhiculées dans une vie si courte mais si riche. Par contre La Macédoine, son pays d'origine, nous est beaucoup moins familière (de nombreuses découvertes sont récentes). Cette lacune est comblée par l'exposition de plus de 500 oeuvres retraçant l'histoire de cette région depuis le XVeme siècle avant notre ère jusqu'à la Rome impériale.
Quelques aspects absolument remarquables de l'exposition (il en est d'autres) : les couronnes à feuilles d'or, le portique des Incantadas, un sarcophage attique particulièrement mis en valeur, ainsi que la splendide parure en or ornant la sépulture d'une reine.
Une exposition hors du commun. On peut seulement regretter que nous n'en sachions pas beaucoup plus sur la vie et l'épopée de ce grand conquérant.
Cette expression purement parisienne remonte à 1871 lorsque Jules Ferry fit remplacer le marché aux volailles par le siège de la Polce judiciaire, au Quai des Orfèvres.
J'y ai découvert une auteure britannique : Olivia Manning (1908 1980) - écrivaine et critique littéraire britannique.
Son livre "la fortune des armes" se décline en trois tomes : 1/ La fortune dissipée 2/ Les montagnes de Thessalie 3/ Les vents du désert
C'est l'histoire d'une jeune couple - qui se marie très vite à Londres - on est à la veille de la seconde guerre mondiale - elle galeriste - lui professeur d'anglais travaillant pour le british council à Bucarest.
Les livres parlent de leur quotidien : Bucarest où la jeune femme se rend - sans connaître la langue – ni les coutumes. Ils se font des amis divers et variés tel le prince Yakimov - fauché et notoire pique assiettes, Ils quittent Bucarest pour la Grèce, puis à l'approche des troupes hitlériennes partent pour l'Egypte.
Je ne fréquente pas les bibliothèques du 12ème, mais celle de la rue Mouffetard, étant une fana et inconditionnelle du 5ème ardt, et ce depuis plus de 50 ans (j'en ai 68).
Cette bibliothèque. est très fournie en livre (n'oublions pas que le 5ème est l'arrondissement parisien où se trouvent les plus "grands cerveaux : Tels que Pierre Gilles de Gennes, Charpark et consorts, et de nombreux hommes et femmes politiques). Il est très facile de rencontrer Jacques DELORS allant chercher son journal ou Max GALLO avec lequel il devise.
Comme tous les ans l'Eglise Suédoise tient une vente de Noël les :
vendredi 25 nov de 11h à 20h samedi 26 nov de 11h à 19h dimanche 27 nov de 12h à 17h
Église suédoise - 9 rue Médéric - Paris 17e - métro Courcelles - bus 30 ou 84
On y trouve des décorations de Noêl, quelques articles pour la maison et de l'alimentation dont de très bons biscuits à la cannelle et possibilité de déguster un vin chaud - l'ambiance est toute suédoise et fort sympathique.
Connaît-on le principe du gemmail ? Concurrent du vitrail ? Pas vraiment, même s'il s'agit du travail du verre.
Sa technique particulière donne un résultat qui rappelle celui de la peinture, mais consiste en la superposition de morceaux de verre teinté afin d'obtenir des effets de dégradés et d'intensité des couleurs, généralement très vives, tout en composant des formes concrètes : visages, fleurs, paysages etc..
Contrairement au vitrail, ici pas d'emploi de plomb qui coupe le motif.
Vu de loin, le gemmail présente tout à fait l'aspect de la peinture, mais, translucide, de près on découvre une multitude de petits morceaux qui les uns sur les autres donnent un relief plus ou moins prononcé, jusqu'à 5 cm d'épaisseur. Le tout est éclairé par l'arrière, à plusieurs endroits ; lumière et transparence feront l'effet désiré.
Ces véritables tableaux lumineux "les Gemmaux", sont évidemment très lourds. Ils peuvent être fixés au mur, ou simplement posés sur un meuble, puisque extrêmement décoratifs.
Après avoir reçu l'historique de cet art et son évolution par l'artiste lui-même, nous avons pu apprécier le travail par une démonstration.
Au départ un modèle est proposé, après l'avoir suivi pour l'emplacement des coloris, l'artiste "le gemmiste" place le fond et applique tous les morceaux de verre, coupés à main nue et à l'oeil, afin de juxtaposer puis superposer les différents tons pour en donner plus ou moins de luminosité ou de profondeur tout en respectant les figures souhaitées.
Beaucoup de talent, de goût, de patience pour ces réalisations, pour ce travail ? Non, pour une véritable passion, celle de toute une vie !
Si cet art remonte aux années 30, il a été florissant dans les années 50, mondialement exporté. Ces dernières années peu de publicité n'a été faite pour le promouvoir, même si la station de métro Franklin Roosevelt a été décorée de quelques panneaux. Il serait désolant que toutes ces oeuvres magnifiques restent dans l'ombre, voire tomber dans l'oubli.
Visite découverte fort intéressante, un régal pour les yeux.
Un régal des yeux que cette visite de l'atelier Gemmail. Je ne savais pas ce que j'allais découvrir en m'inscrivant ; j'ai été surprise et enchantée de contempler ces véritables tableaux de verre lumineux.
Des interprétations de toiles de grands maîtres comme nous l'a dit notre hôte, mais aussi et surtout de très beaux visages de couleurs, tout en douceur pour certains... magnifique travail qui mériterait mieux que cet entrepôt pour une telle exposition, malgré l'accueil très sympathique qui nous avait été réservé.
Merci Arvem pour cette incursion dans un monde de lumière.
La Maison de Victor Hugo présente jusqu'au 5 janvier 2012 dans l'exposition "Arnulf Rainer/Victor Hugo, Surpeintures" une soixantaine de "surdessins" d'Arnulf Rainer ayant avant tout comme "source" des oeuvres de Victor Hugo.
Si vous voulez plus d'informations sur les "surdessins" et voir la façon de travailler d'Arnulf Rainer, un film est projeté dans le cadre de l'exposition. Vous serez pour le moins étonnés.